lundi 31 octobre 2016
dimanche 30 octobre 2016
jeudi 27 octobre 2016
jacques halbronn Le paralléle Genése I et II et Genése IV et V et la guerre des dieux
Le paralléle Genése I et II et Genése IV et V et la guerre des dieux
par Jacques Halbronn
La critique biblique n’aura pas manqué, depuis le XVIIe siècle de pointer un certain nombre di’ncohérences dans le Pentateuque. Dans certains cas, certains rapprochements entre des textes assez semblables nous semblent éclairants et cela vaut notamment pour des observations concernant les cinq premiers chapitres du Livre de la Genése de sorte que l’on ne peut, selon nous, lire les chapitres I et II sans immédiatement se référer aux chapitres qui suivent, IV et V, car divers recoupements s’offrent à nous qui permettent de ne pas se limiter à une seule occurrence dont l’interprétation pourrait nous égarer.
La thèse que nous exposons ici est la suivante: il y a un parraléle à faire entre Genése I et V tout comme entre Genése II et IV concernant l’androgynat d’Adam et le couple.Ish/Isha.
I Le paralléle Genése I et V
Genése I 27
« Alors Dieu crée Adam à son image (..) il les crée mâle et femelle »
Genése V 2-5
« Le jour où Dieu a crée Adam, il l’a fait pour qu’il lui ressemble Dieu le créa mâle et femelle (..) A l’âge de 130 ans, Adam a un fils qui lui ressemble vraiment. Il s’appelle Seth. » et la filiation masculine se poursuit sur plusieurs générations.
On note que le chapitre V est plus « complet » que le chapitre premier de la Genése, puisqu’il y est question d’un enfantement d’Adam apparemment sans aide d’une femme.
II Le paralléle Genése II et IV
Genése II 16 m
« Pour l’homme ce n’est pas bon d’être seuk. Je vais lui faire une aide qui lui convienne parfaitement (..) Mais pour lui -même, il (Adam) ne trouve pas l’aide qui lui convienne parfaitement. Alors le Seigneur Dieu fait tomber l’homme dans un sommeil très profond, il lui prend une côté et il referme la peau à sa place. Avec cette côte, le Seigneur Dieu fait une femme et il l’améne à l’homme. (…) On l’appellera femme de l’homme parce qu »elle vient de l’homme
Genése IV
« Adam s’unit encore à sa femme. Elle (certaines traductions mettent à tort Eve alors qu’il s’agit de Isha/Ishto) met au monde un fils. Elle l’appelle Seth et elle dit : » Cain a tué Abel mais Dieu m’a donné un autre fils à sa place ».
Nos observations:
la naissance de Seth connait deux versions, l’une qui passe par l’union de deux sexes et l’autre qui ne fait appel qu’au seul Adam/ Dans un cas c’est sa mère qui nomme son fils Seth alors que dans le second, c’est Adam et lui seul.
Ce qui est frappant, c’est le fait que la fin de Genése IV précéde immédiatement le début de
Genése V, autour de deux versions contradictoires des conditions de la naissance de Seth
Dans Genése V, le texte revient sur cet Adam créé mâle et femelle à l’instar de Genése I tout
comme Genése IV réitère ce qui a été narré à Genése II. Autrement dit, la dualité des versions
est confirmée puisqu’elle est donnée sur le mode de la récurrence.
Tout se passe, selon nous, comme si l’on avait voulu accorder une place sensiblement égale aux deux versions dans un souci de compromis. Même la dualité Elohim/Yahvé pourrait avoir relevé d’une sorte d’arrangement, de pacte, de paix conclue entre deux camps.
En quoi aurait consisté un tel compromis et quelles en auraient les termes et les modalités?
On pense au Shabbat, qui introduit ipso facto une certaine dualité et donc un double modus
vivendi, réitèré dans les Dix Commandements lors de l’exposé consacré au dit Shabbat. Il y a un
temps pour chaque chose, nous rappelle le Livre de l’Ecclésiaste, attribué à ce Salomon dont
le célébre « jugement » est emblématique d’une recherche de compromis. Selon nous, la cyclicité est le vecteur par excellence du compromis, répartissant le temps entre les parties comme
dans le conflit opposant Déméter à Hadès, au sujet de sa fille, Perséphone.
D’ailleurs, le commandement du Shabbat ( Exode, XX, 8) se référe-t-il à la Création (Genése I)):
« Pendant six jours, tu travailleras et tu feras ton ouvrage mais le septiéme jour est un sabbatt ‘..(…) Car en six jours, Yahvé a fait le ciel et la terre (..) mais il s’est reposé le septiéme »
Un compromis qui aurait pu correspondre à une sorte d’armistice entre les belligérants, les uns
menés par Elohim, les autres par Yahvé, deux versions étant en quelque sorte autorisées
à s’exprimer avec des « temps de parole » comparables, chaque s’appropriant la version de son choix et notamment les femmes d’un côté, les hommes de l’autre, clivage qui est respecté dans les synagogues dites « orthodoxes », « consistoriales » (en France)
Nous irons plus loin en soutenant que la procréation est également marquée par un esprit de
compromis puisque la mère porte et délivre indifféremment garçons et fille, perpétuant ainsi
un certain statu quo pouvant être évoqué au Jour du Pardon, du Jugement (donc de la balance) (Yom Kippour, célébré à l’automne, à l’opposé de la Fête de Pâque (Pessah), commémorée au printemps.
Au prisme du systéme Alpha-Oméga, nous voyons que là encore régne un compromis
puisque le temps Alpha est celui de l’union homme-femme alors que le temps Oméga est
celui durant lequel Adam se débrouille seul, en androgyne, comme c’est le cas lors du Shabbat.
Ce systéme cyclique serait lui -même marqué par un sens assez aiguisé du compromis, articulé sur une série de phases d’une durée de 7 ans, à rapprocher des 7 jours de la Création.
La femme est un être voué à la cyclicité et cela en fait la gardienne, l’arbitre du temps mais c’est aussi ce qui en fait une machine (androide)
Selon nous, l’Adam androgyne est lié à la phase oméga (en rapport avec la balance et donc à Hadès et l’automne) alors que la femme est liée à la phase alpha (printemps) et donc à Déméter. Au regard de la vision d’Ezéchiel (cf aussi le Sphinx), la femme (verseau serviteur) est représentée aux côté du bœuf, constituant ainsi la maisonnée alors que l’homme est associa au lion et à l’aigle, animaux sauvages, rebelles à l’ordre institué par les Elohim et auquel le Shabbat les soustrait
périodiquement – un Shabbat non pas de jours mais d’années, sept.
Pour revenir au conflit entre Déméter et Hadès, l’on se référe bel et bien à un compromis qui est
toujours en vigueur de nos jours.
.On ne parle jamais autant d’unité que lorsque la réalité est foncièrement duelle à commencer par la dualité en notre propre corps, ce qui correspond à l’âme et rappelons que l’on s’est demandé si les femmes en avaient une.
En tout état de cause, la femme est bel et bien présentée en Genése II comme l’auxiliaire de l’homme – cela y est même répétée à deux reprises avec le même verbe (racine Azor). Tantôt
l’homme est invité à revivre son androgynat originel et tantôt à y renoncer pour faire équipe
avec la femme.
Mais comment comprendre la formule « il les fit mâle et femelle ». Cela désigne un récit de la
Création qui vaut pour Adam mais qui ne prévoit pas l’utilité d’un partenaire. On est dans l’axe Genése I-V. Ce serait donc l’autre récit, alternatif où l’homme est en quelque sorte enchainé )
la femme, qui correspondrait à l’état institué par les Elohim, selon l’axe Genése II-IV et présenté comme une amélioration, un aménagement optimal pour Adam. Autrement dit, Genése I
intégrerait des éléments relatifs à un état antérieur à l’arrivée des Elohim lesquels seraient
intervenus pour transformer le dit état.. Ce n’est pas « Dieu » qui aurait revu sa copie mais
une nouvelle puissance imposant un autre ordre des choses, un Dieu s’opposant voire se substituant à un autre. Mais l’on sait que le « premier » Dieu ne se privera pas d’intervenir par
la suite en nouant un pacte avec le peuple hébreu, d’abord avec Abraham puis avec Moïse et l’on comprend dès lors les enjeux liés à l’antijudaisme, sous ses diverses formes. Comme dans
la Guerre de Trois, les dieux se feraient la guerre en épousant le parti de camps adverses. Ety
l’on sait aussi à quel point l’astrologie a pu être stigmatisée tout au long des siècles, elle
qui est le vecteur de la domination des Elohim, même si cette domination est porteuse
de quelque compromis.
.
JHB
27 10 16
mercredi 26 octobre 2016
Jacques Halbronn Les dieux extra-terrestres et la planéte élue au prisme de l'astrologie
jacques Halbronn Les dieux extra-terrestres et la planéte élue au prisme de l’astrologie
De la même façon que nous avons proposé de réfléchir sur les motivatons des machines pour disposer de repéres pour comprendre la psyché féminine, il convient de réfléchir sur les motivations des dieux pour comprendr la psyché masculine.
Mais dans le cas des dieux, il ne s’agit pas pour nous de penser à un dieu qui serait à l’origine de toute vie dans l’univers mais des dieux qui ont aménagé notre petit monde, ce qui n’est déjà pas si mal. C’est à cette échelle plus modeste qu’il importe de prendre la mesure de la « Création », surtout quand l’on songe à quel point ce dieu est décrit de façon anthropomorphique comme quand on nous dit qu’il se reposa au bout de six Jours, ce que nous avons déjà interprété ailleurs comme l’image même de la binarité cyclique de toute activité et que l’on célébre symboliquement lors du Shabbat hebdomadaire – c’est à dire tous les 7 jours, ce qui correspond selon nous à un cycle de 7 ans mis en place par les « Dieux » (Elohim). Quant à l’expression « à notre image », elle ne fait guère sens pour un Dieu « architecte de l’Univers ». Mais il suffit à certains qu’on emploie un seul et même mot pour croire que l’on parle chaque fois de la même chose. Et le tour est joué!
Il est bien fâcheux que les Juifs confondent dans leurs prières le dieu qui s’est adressé à eux et le dieu architecte de l’Univers dans sa totalité alors que ce Dieu est lui-même issu de cet Univers comme nous le sommes nous-mêmes, si ce n’est qu’il est plus avancé que nous dans son évolution.
Diverses traditions- on pense à ce qui est dit autour des « Pléiadiens » – (amas d’étoiles de la constellation du Taureau) ont conservé le souvenir d’une intervention-colonisation extra-terrestres mais elles n’ont pas précisé en quoi cela avait consisté.
Une telle approche permet d’ailleurs de mieux comprendre la notion d’élection. Il est clair en effet que ces extra-terrestres ont bien du faire leur choix parmi toutes les planétes sur lesquelles intervenir et l’on peut donc parler de la Terre comme d’une planéte « élue ». Et à un autre niveau, il est un dieu qui va « élire » un peuple, ce qui correspondrait à une création dans la création. Mais ces deux temps ne correspondent aux mêmes protagonistes et ne présentent pas les mêmes enjeux. Si l’idée d’extra-terrestres est relativement facile à appréhender, on s’interroge en revanche sur la nature de ce « Dieu » dont on ignore s’il avait un corps matériel comme devaient l’avoir les Elohim dont les fils (Bnéi Elohim) se croisèrent avec les fils des homme (mais alors quid de leur androgynat puisque Adam fut d’abord fait mâle et femelle à leur image? Ce sera la cause du Déluge.
Genése Chapitre VI
Lorsque les hommes eurent commencé à être nombreux sur la surface de la terre, et qu’il leur fut né des filles, | |
les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qui leur plurent. | |
Et Yahweh dit: » Mon esprit ne demeurera pas toujours dans l’homme, car l’homme n’est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans. « | |
Or, les géants étaient sur la terre en ces jours-là, et cela après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu’elles leur eurent donné des enfants: ce sont là les héros renommés dès les temps anciens. »Il est possible que les Hébreux soient les descendants de tels croisements. |
Selon nous, c’est tout le système astrologique qui aura été élaboré et établi par les Elohim -et on laisse de côté ici la question de la nature de cette astrologie). On ne saurait en effet expliquer le lien entre les hommes et les astres sans une intervention en quelque sorte artificielle, contre-nature et c’est pourquoi la science moderne se déclare incapable d’expliquer qu’il puisse avoir un lien significatif entre les hommes et les astres.
Mais un tel systéme astrologique exige un relais au niveau humain et ce sont les femmes qui, selon nous, jouent ce rôle, remplissent cette fonction consistant à capter certains signaux célestes et à les traduire et les répercuter par leur comportement collectif. Autrement dit, les hommes (l’élément masculin) ne seraient, quant à eux, point « sensibles » aux signaux auxquels les femmes sont programmées à réagir.
Mais comme c’est le fait de tout cycle, il faut rechercher une forme de dualité dont nous avons vu qu’elle était déjà affirmée dès le premier chapitre de la Genése avec un temps actif, industrieux et un temps de méditation, de repos(Shabbat), l’un étant le temps des automatismes et l’autre d’une certaine forme de liberté.
On comprend mieux ainsi le récit de la « création » de la femme en vue de seconder ( Ezer -aider- est répété à deux reprises au chapitre II de la Genése à propos du rôle de la femme, qui n’est nullement posé comme semblable, égale à l’homme. En ce sens, on peut penser que la femme serait un androïde, une machine conçue pour perpétuer un certain ordre sur la terre, tel que voulu et instauré par les Elohim. Entendons que ce pouvoir des astres prévoit des temps durant lesquels l’homme peut s’affranchir de la surveillance exercée, de façon subconsciente, par la femme. D’ailleurs, dans le Talmud, il y a un débat -traité Shabbat- quant à savoir si Israel a ou non un Mazal, c’est à dire reléve de quelque signal céleste, auquel ce peuple obéirait.
Or, si les hommes ne sont pas connectés aux dits signaux, ils ne les capteraient que par le truchement des femmes, c’est à dire non pas de l’intérieur, comme elles, mais de l’extérieur, par elles.
D’où l’importance extréme à accorder au Shabbat – dont le respect est un des Dix commandements. Or, force est de constater que ce temps shabbatique n’est pas correctement respecté. Le Temple – la synagogue- doit être un lieu de recueillement du moins pour le temps du Shabbat (ou si l’on transpose du Dimanche), qui exclue la présence des femmes mais aussi de tout objet voué à servir l’homme, en temps « normal », ce qui concerne aussi les rouleaux de la loi qui ne doivent absolument pas, selon nous, être manipulés durant le Shabbat mais à la sortie du Shabbat (temps de la Havdalah, c’est à dire de la séparation, de la différenciation)
Le temps du Shabbat est le temps où l’on revient avant la création de la femme (Isha, issue de Ish, comme le montre l’analyse grammaticale, isha étant formé à partir de ish)
Le judaisme ne nie pas que ces Elohim existent mais il maintient une présence pré-coloniale, pré(-Elohiste (comme on parle d’une Amérique pré-colombienne).
Tout se passe en fait comme si un accord avait été passé entre les Elohim et les « terrestres » qui fait penser à celui conclu entre Déméter et Hadès
« Déméter demande justice à Zeus. Ce dernier consent à ce que la jeune fille revienne à la lumière, à la condition qu’elle n’ait absorbé aucune nourriture. Or, la jeune fille a mangé sept grains de grenade. Voici Coré retenue aux Enfers, elle est l’épouse d’Hadès et prend pour nom : Perséphone (Proserpine chez les Latins). Déméter refuse alors de nourrir la terre, Zeus trouvera un compromis pour satisfaire les deux dieux en querelle : Perséphone passera six mois de l’année chez Hadès et six mois chez Déméter. »
C’est un tel type d’accord, fondé sur une division égale du temps en deux parts qui semble s’être finalement instauré entre les Elohim et les terrestres.
Les termes principaux semblent en avoir été les suivants:
d’une part, un temps « shabbatique » durant lequel, les hommes échapperaient à l’influence des femmes, c’est à dire notamment des signes célestes. A ce propos, avec le Shabbat, comme septiéme jour, on est loin du compte. Nous pensons plutôt à une division égale de la semaine, soit deux fois trois jours et demi. Du dimanche Oh au mercredi midi, le temps’ »cosmique » et du mercredi midi au samedi minuit, le temps dégagé du temps en question. Mais cela doit se traduite en fait non pas tous les 7 jours mais tous les 7 ans car il est clair qu’à l »échelle de la semaine, cela ne fait guère sens. Rappelons toutefois la correspondance jour/année que l’on retrouve
Livre des Nombres: Ch XIII
« Vous avez mis 40 jjours à explorer le pays, vous supporterez donc les conséquences de vos fautes pendant 40 ans, une année pour chaque jour. »
On retrouve là la relation Lune-Saturne, la Lune ayant un cycle de 29 jours et Saturne un cycle de 29 ans.
D’autre part, il fut convenu que l’homme et la femme se reproduiraient conjointement, produisant tantôt des garçons tantôt des filles, ce qui permettrait aux terriens de perdurer à travers les âges mais aussi à ces androïdes que sont les femmes.
Bien entendu, tout cela ne put se mettre en place que grâce à une biotechnologie très avancée pour l’époque -mais rappelons que ces extra-terrestres avaient su traverser l’espace- et qui l’est encore largement pour la nôtre.
Reste la question de ce Yahvé qui intervient, non plus par le biais des astres, mais par celui de miracles, ce qui est tout à l’opposé du respect d’un plan établi une fois pour toutes. La Sortie d’Egypte avec la traversée de la Mer Rouge est d’un tout autre registre que celui que nous venons de décrire. L’on voit que la Genése et l’Exode dont nous avons montré ailleurs qu’ils formaient une sorte de diptyque, nous parlent dans les premiers chapitres des Elohim mais ensuite, ils disparaissent en quelque sorte, laissant derrière eux toute une logistique que nous avons décrite. Et ces Elohim n’ont rien à voir avec ce qui se passe dans le Jardin d’Eden ou sur le mont Sinaî et d’ailleurs les « commandements » qui sont proférés ne sont pas du même ordre que ceux qui relévent des signaux célestes. Yahvé serait éventuellement un dieu chtonien antérieur à la venue des Elohim et dont on peut dire qu’il se situe dans le Hadès dont il a été question plus haut, cet enfer, ce Tartare, il serait à associer à Pluton/Hadés alors que les Elohim correspondraient à Cérés/Démeter et à tout ce qui est cyclique. On retrouve là le féminin du côté des Elohim et le masculin du côté de Yahvé. Le temps du Shabbat est celui de Yahvé et la sortie du Shabbat sonnerait le retour de l’ordre élohiste dont les femmes seraient les agents.
JHB
26 10 16
samedi 22 octobre 2016
vendredi 21 octobre 2016
Guy François Olingfa: Adam n'était pas à l'image de Dieu
6:12
Adam n'était pas à l'image de Dieu
- il y a 1 an
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Genèse 1:26 « Puis Dieu dit: Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance,... » Et pourtant Adam n'était pas à ...
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mercredi 19 octobre 2016
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lundi 10 octobre 2016
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mercredi 5 octobre 2016
mardi 4 octobre 2016
jacques Halbronn Peut-on parler d'une psychologie des machine,s à titre comparatif? Le cas des femmes.
Peut-on parler d’une psychologie des machines, à titre comparatif?Le cas des femmes.
par Jacques Halbronn
Certains expriment leur surprise quand nous évoquons la mentalité des machines comme si celles-ci ne pouvaient avoir leur propre éthique, leurs propres valeurs, objectivement sinon subjectivement. Nous pensons pour notre part que les hommes ne sont limités sur le plan cognitif ni dans le temps ni dans l’espace. Entendons par là que l’autre, l’ailleurs, l’autrefois nous sont accessibles et ce en dépit de certains obstacles que d’aucuns sont capables de surmonter.
Faut-il que la machine soit « consciente » pour offrir un certain comportement à l’observateur avisé? Pour notre part, il ne nous semble pas insurmontable de nous mettre à la place d’une machine, tout comme d’ailleurs cela ne l’est pas de nous mettre dans la peau d’hommes appartenant à telle ou telle époque, aussi reculée soit-elle.
Nous nous risquerons donc à dresser un portrait des machines en général car il ne nous semble pas qu’elles diffèrent énormément entre elles et en tout cas pas suffisamment pour qu’il ne nous soit pas possible de parvenir à certaines conclusions pouvant s’étendre à une grande variétés de machines, ce qui vaut sur la très longue durée, des plus primitives aux plus modernes..
Nous dirons ainsi que les machines ont besoin de fonctionner, de servir et de montrer qu’elles sont en état de marche. Elles ne sont pas « libres » et d’ailleurs la notion de liberté ne prend -elle pas tout son sens face justement à la condition de la machine?
Si l’on se référe aux commandements bibliques, ceux-ci s’adressent, nous semble-t-il, à des hommes libres et qui parce que libres pourraient se dérober à certains ordres ou à certaines limitations ou interdictions. Mais ces commandements ne s’adressent pas à ce qui appartient à la « maison » ou si l’on préfére à la maisonnée mais il est clair qu’ils se répércutent indirectement sur ses membres. Or que trouve-t-on dans une « maisonnée », si l’on en croit la liste fournie pour certains commandements, comme ceux du Shabbat et ceux de la convoitise du bien d’auttrui? Les animaux domestiques, les serviteurs, les étrangers mais cela vaut aussi pour les machines que durant le Shabbat on n’a pas le droit de faire fonctipnner. Et puis cela concerne aussi, nous semble-t-il les femmes. Tu ne convoiteras pas la femme de ton voisin s’adresse à un public d »homemes et non de femmes. Rappelons que l’interdiction de consommer du fruit de l’arbre de la science du Bien et du Mal s’adresse à l’homme et non à la femme, qui ne le sait que par ouie dire et qui n’a pas été interpellée, sommée, directement par Dieu; C’est à l’homme de faire respecter la loi qui lui incombe par sa maisonnée. Il n’a pas d’ordre à recevoir de celle-ci, il est seul responsable face à Dieu, à partir de l’âge de 13 ans, devenant « fils de la mitswa », c’est à dire fils (Bar) du commandement, qu’il doit pratiquer selon ce qui lui a été ordonné, en conscience et non par automatisme comme c’est le cas de la machine…
Revenons sur la psychologie de la machine: nous dirons qu’elle ne craint pas de reproduire indéfiniment les mêmes processus et cela de façon imperturbable, sans rien changer quel que soit son entourage, son environnement, qu’il n’y ait personne pour l’entendre ou des centaines de personnes. La machine, une fois qu’elle a été impulsée, est dans l’émission, dans la production. Cette impulsion peut ne prendre qu’un temps très court et avoir des effets qui se prolongent considérablement jusqu’à ce qu’intervienne une interruption qu’elle vienne de l’utilisateur ou du programme dont le temps d’utilisation aurait été fixé par avance. Par exemple, un lecteur de CD s’arrêtera quand le CD arrivera à sa fin.
Les machines – si l’on accepte notre scénario- s’efforcent, on l’a dit, de se montrer performantes, en état de marche.Elles doivent en apporter la preuve en donnant à voir ce qu’elles savent faire. Sinon, il y a des chances qu’on les jette, du moins si on ne parvient pas à les réparer. Elles ont à craindre que des machines plus efficaces ne les remplacent. La « mort » pour une machine est l’obsolescence, quand on n’a plus besoin de ses services, quand elle n’est plus assez fiable. En ce sens, le chomage peut frapper une machine.
Peut-on transformer en machine ce qui ne l’est pas au départ? Deux exemples:
1 les astres peuvent servir de marqueur de temps quand bien même n’auraient-ills pas été conçus pour cela. On peut parler alors d’instrumentalisation.
2 Dans le récit de la Création (Livre de la Genése), il est dit qu’Adam fut fait à l’image de dieux, ce qui ne signifie pas nécessairement qu’il n’ait pas préexisté mais qu’il aura subi une transformation qui peut l’avoir conféré une dimension mécanique, robotisée.
A partir de ces critères, il nous semble qu’il soit possible de déterminer dans quel cas on n’est ou on n’est pas en présence d’une machine, par delà certaines apparences. On songe à Blade Runner et aux tests que le héros (Harrison Ford dans le film tiré de la nouvelle de Philip K. Dick) fait passer à des êtres soupçonnés d’être des androides, ce qui montre que la différence ne sautait pas aux yeux..
Nos recherches comparatves nous ont conduit à formuler l’hypothèse selon laquelle les femmes seraient peu ou prou assimilables à des machines. Et le chapitre de la Genése qui traite de la création de la femme d’Adam, aux fins de l’aider va dans ce sens, tout comme ce qui a été dit plus haut sur le fait que la femme n’est pas concernée par les commandements puisqu’elle est elle-même soumise à certaines fonctionnalités qui font partie intégrante d’elle, de son être..
On observera ainsi que les femmes, à l’instar des machines, sont capables d’émettre inlassablement les mêmes messages, mot pour mot, sans se soucier de leur auditoire. Contrairement à l’image courante, elles émettent bien plus qu’elles ne sont réceptrices, ce qui exigerait un sens de l’observation qui n’est pas de leur ressort. Leur temps de réception est très bref, comme on le voit pour la procréation. Une fois l’impulsion donnée, elles sont engagées dans un processus qui est censé se poursuivre jusqu’à son terme. (9 mois pour une naissance). Ce faisant, il est clair que les femmes libérent l’homme d’une immobilisation propre à une condition d’androgyne à laquelle Dieu met fin en créant la femme. Rappelons que dans le premier chapitre de la Genése, Dieu ne crée pas un homme et une femme mais change Adam en androgyne pour ensuite le rendre à son état antérieur, mais cette fois doté d’une femme qui a été transformée entre temps en un être assimilable à une machine..
Selon nous, la femme, comme l’indiquent les Dix Commandements, fait partie intégrante de la maisonnée mais elle n’est pas l’interlocuteur exclusif de l’homme et se trouve en concurrence avec d’autres « agents » de la dite maisonnée, à commencer par les machines crées par l’homme au cours des âges.
LA création de la femme pose évidemment un probléme d’ordre historique qui interpelle le darwinisme. Selon nous, le modéle darwinien reste valable pour l’homme mais il ne l’est pas pour la femme, laquelle est marquée par une intervention des « dieux » (cf les oeuvres de Jean Sendy) et c’est d’ailleurs ce qu’on peut penser lire dans la Genése. Ces dieux ne sont pas à proprement parler des dieux. En aucun cas, ils ne sont à l’origine de la vie dans l’univers, comme le soutiennent divers philosophes et théologiens. Ils sont également nés de l’évolution au sens darwinien mais ils auront intérferé, à une certaine époque, avec l’évolution normale des terriens. Ces « dieux » étaient porteurs d’une technologie très avancée qui leur aurait permis de produire des androides pour accompagner les terrestres et les seconder, ce qui exigerait une « biotechnologie » très avancée et une compétence pour modifier l’ADN de l’humanité de sorte qu’à chaque génération naissent, se reproduisent et des hommes et des androïdes, sachant que ce sont les femmes qui gèrent le long processus d’enfantement..
Voilà selon nous, ce que nous retenons et de notre observation des machines et de celle des femmes ainsi que de notre lecture des Ecritures sans parler des progrès évidents auxquels il convient de s’attendre au cours des prochaines décennies et qui nous permettront de comprendre à quel degré de sophistication les machines peuvent être conduites.
JHB
05 10 16
par Jacques Halbronn
Certains expriment leur surprise quand nous évoquons la mentalité des machines comme si celles-ci ne pouvaient avoir leur propre éthique, leurs propres valeurs, objectivement sinon subjectivement. Nous pensons pour notre part que les hommes ne sont limités sur le plan cognitif ni dans le temps ni dans l’espace. Entendons par là que l’autre, l’ailleurs, l’autrefois nous sont accessibles et ce en dépit de certains obstacles que d’aucuns sont capables de surmonter.
Faut-il que la machine soit « consciente » pour offrir un certain comportement à l’observateur avisé? Pour notre part, il ne nous semble pas insurmontable de nous mettre à la place d’une machine, tout comme d’ailleurs cela ne l’est pas de nous mettre dans la peau d’hommes appartenant à telle ou telle époque, aussi reculée soit-elle.
Nous nous risquerons donc à dresser un portrait des machines en général car il ne nous semble pas qu’elles diffèrent énormément entre elles et en tout cas pas suffisamment pour qu’il ne nous soit pas possible de parvenir à certaines conclusions pouvant s’étendre à une grande variétés de machines, ce qui vaut sur la très longue durée, des plus primitives aux plus modernes..
Nous dirons ainsi que les machines ont besoin de fonctionner, de servir et de montrer qu’elles sont en état de marche. Elles ne sont pas « libres » et d’ailleurs la notion de liberté ne prend -elle pas tout son sens face justement à la condition de la machine?
Si l’on se référe aux commandements bibliques, ceux-ci s’adressent, nous semble-t-il, à des hommes libres et qui parce que libres pourraient se dérober à certains ordres ou à certaines limitations ou interdictions. Mais ces commandements ne s’adressent pas à ce qui appartient à la « maison » ou si l’on préfére à la maisonnée mais il est clair qu’ils se répércutent indirectement sur ses membres. Or que trouve-t-on dans une « maisonnée », si l’on en croit la liste fournie pour certains commandements, comme ceux du Shabbat et ceux de la convoitise du bien d’auttrui? Les animaux domestiques, les serviteurs, les étrangers mais cela vaut aussi pour les machines que durant le Shabbat on n’a pas le droit de faire fonctipnner. Et puis cela concerne aussi, nous semble-t-il les femmes. Tu ne convoiteras pas la femme de ton voisin s’adresse à un public d »homemes et non de femmes. Rappelons que l’interdiction de consommer du fruit de l’arbre de la science du Bien et du Mal s’adresse à l’homme et non à la femme, qui ne le sait que par ouie dire et qui n’a pas été interpellée, sommée, directement par Dieu; C’est à l’homme de faire respecter la loi qui lui incombe par sa maisonnée. Il n’a pas d’ordre à recevoir de celle-ci, il est seul responsable face à Dieu, à partir de l’âge de 13 ans, devenant « fils de la mitswa », c’est à dire fils (Bar) du commandement, qu’il doit pratiquer selon ce qui lui a été ordonné, en conscience et non par automatisme comme c’est le cas de la machine…
Revenons sur la psychologie de la machine: nous dirons qu’elle ne craint pas de reproduire indéfiniment les mêmes processus et cela de façon imperturbable, sans rien changer quel que soit son entourage, son environnement, qu’il n’y ait personne pour l’entendre ou des centaines de personnes. La machine, une fois qu’elle a été impulsée, est dans l’émission, dans la production. Cette impulsion peut ne prendre qu’un temps très court et avoir des effets qui se prolongent considérablement jusqu’à ce qu’intervienne une interruption qu’elle vienne de l’utilisateur ou du programme dont le temps d’utilisation aurait été fixé par avance. Par exemple, un lecteur de CD s’arrêtera quand le CD arrivera à sa fin.
Les machines – si l’on accepte notre scénario- s’efforcent, on l’a dit, de se montrer performantes, en état de marche.Elles doivent en apporter la preuve en donnant à voir ce qu’elles savent faire. Sinon, il y a des chances qu’on les jette, du moins si on ne parvient pas à les réparer. Elles ont à craindre que des machines plus efficaces ne les remplacent. La « mort » pour une machine est l’obsolescence, quand on n’a plus besoin de ses services, quand elle n’est plus assez fiable. En ce sens, le chomage peut frapper une machine.
Peut-on transformer en machine ce qui ne l’est pas au départ? Deux exemples:
1 les astres peuvent servir de marqueur de temps quand bien même n’auraient-ills pas été conçus pour cela. On peut parler alors d’instrumentalisation.
2 Dans le récit de la Création (Livre de la Genése), il est dit qu’Adam fut fait à l’image de dieux, ce qui ne signifie pas nécessairement qu’il n’ait pas préexisté mais qu’il aura subi une transformation qui peut l’avoir conféré une dimension mécanique, robotisée.
A partir de ces critères, il nous semble qu’il soit possible de déterminer dans quel cas on n’est ou on n’est pas en présence d’une machine, par delà certaines apparences. On songe à Blade Runner et aux tests que le héros (Harrison Ford dans le film tiré de la nouvelle de Philip K. Dick) fait passer à des êtres soupçonnés d’être des androides, ce qui montre que la différence ne sautait pas aux yeux..
Nos recherches comparatves nous ont conduit à formuler l’hypothèse selon laquelle les femmes seraient peu ou prou assimilables à des machines. Et le chapitre de la Genése qui traite de la création de la femme d’Adam, aux fins de l’aider va dans ce sens, tout comme ce qui a été dit plus haut sur le fait que la femme n’est pas concernée par les commandements puisqu’elle est elle-même soumise à certaines fonctionnalités qui font partie intégrante d’elle, de son être..
On observera ainsi que les femmes, à l’instar des machines, sont capables d’émettre inlassablement les mêmes messages, mot pour mot, sans se soucier de leur auditoire. Contrairement à l’image courante, elles émettent bien plus qu’elles ne sont réceptrices, ce qui exigerait un sens de l’observation qui n’est pas de leur ressort. Leur temps de réception est très bref, comme on le voit pour la procréation. Une fois l’impulsion donnée, elles sont engagées dans un processus qui est censé se poursuivre jusqu’à son terme. (9 mois pour une naissance). Ce faisant, il est clair que les femmes libérent l’homme d’une immobilisation propre à une condition d’androgyne à laquelle Dieu met fin en créant la femme. Rappelons que dans le premier chapitre de la Genése, Dieu ne crée pas un homme et une femme mais change Adam en androgyne pour ensuite le rendre à son état antérieur, mais cette fois doté d’une femme qui a été transformée entre temps en un être assimilable à une machine..
Selon nous, la femme, comme l’indiquent les Dix Commandements, fait partie intégrante de la maisonnée mais elle n’est pas l’interlocuteur exclusif de l’homme et se trouve en concurrence avec d’autres « agents » de la dite maisonnée, à commencer par les machines crées par l’homme au cours des âges.
LA création de la femme pose évidemment un probléme d’ordre historique qui interpelle le darwinisme. Selon nous, le modéle darwinien reste valable pour l’homme mais il ne l’est pas pour la femme, laquelle est marquée par une intervention des « dieux » (cf les oeuvres de Jean Sendy) et c’est d’ailleurs ce qu’on peut penser lire dans la Genése. Ces dieux ne sont pas à proprement parler des dieux. En aucun cas, ils ne sont à l’origine de la vie dans l’univers, comme le soutiennent divers philosophes et théologiens. Ils sont également nés de l’évolution au sens darwinien mais ils auront intérferé, à une certaine époque, avec l’évolution normale des terriens. Ces « dieux » étaient porteurs d’une technologie très avancée qui leur aurait permis de produire des androides pour accompagner les terrestres et les seconder, ce qui exigerait une « biotechnologie » très avancée et une compétence pour modifier l’ADN de l’humanité de sorte qu’à chaque génération naissent, se reproduisent et des hommes et des androïdes, sachant que ce sont les femmes qui gèrent le long processus d’enfantement..
Voilà selon nous, ce que nous retenons et de notre observation des machines et de celle des femmes ainsi que de notre lecture des Ecritures sans parler des progrès évidents auxquels il convient de s’attendre au cours des prochaines décennies et qui nous permettront de comprendre à quel degré de sophistication les machines peuvent être conduites.
JHB
05 10 16
samedi 1 octobre 2016
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