dimanche 31 juillet 2016

jacques Halbronn Le probléme des interférences au sein d'un même ensemble. Le cas de l'astrologie


Le probléme des interférences au sein d’un même ensemble. Le cas de l’astrologie
par  Jacques Halbronn

Le probléme des corpus est la tentation unificatrice conduisant à modifier les éléments recueillis au sein d’un même ensemble de façon à ce qu’ils s’accordent, qu’ils concordent. Autrement dit,  les risques de distorsion d’une entité quelle qu’elle soit tiennent à une certaine promiscuité, à un mimétisme et, partant; à un syncrétisme.
On  illustrera notre propos avec le canon astrologique que nous connaissons et que nous « pratiquons », que nous travaillons et nous nous attacherons aux commentaire, aux éxégéses de certains textes de la littérature  propre à ce domaine.
Le cas du traitement du signe des Gémeaux  est emblématique d’une certaine dérive herméneutique. Les Gémeaux appartiennent à une série de 12 facteurs associés au découpage de l’écliptique en 12, on parle des signes du Zodiaque dont l’origine remonte aux 12 mois de  certains calendriers (articulés sur les conjonctions des luminaires, Soleil-Lune) Cela reléve du méta-langage de l’astronomie et n’a en soi au départ aucune portée proprement astrologique comme cela sera le cas par la suite.
Précisément, le fait que l’astrologie cotoie l’astronomie  génére des phénoménes d’interférence qui vont la dénaturer et l’on voit ensuite des astrologues vouloir tirer du sens des noms des signes et des planétes alors  que ce n’est là  que l’oeuvre des astronomes dans un but purement  de localisation et non de signification comme lorsque l’on donne tel nom à telle rue, tel prénom à tel enfant,. L’on en arrive ainsi, par habitude, à véhiculer des séries parfaitement inconsistantes comme celle des noms des mois de l’année, où tout d’un coup on voit apparaitrre septembre, octobre, novembre, décembre « out of space ».. Dès lors qu’une série est incohérente, c’est qu’elle n’ a qu’un rôle purement décoratif et n’offre aucun caractère d’exhaustivité, de suivi.
Cela dit, si l’on entend intégrer le symbolisme zodiacal au sein de l’astrologie, encore faut-il éviter d’y plaquer d’autres dispositifs figurant également au sein de la « traditon » astrologique, présentée comme « unitaire », d’un seul tenant, dans le temps comme dans l’espace (cf le Manifeste de Patrice Guinard sur cette tentation de valider après coup un tel syncrétisme, à coup de structuralisme sauvage)
LE cas des Gémeaux est très représentatif des effets d’une telle dérive et nous l’avions signalé il y a plus de 20 ans, notamment dans notre article « ‘Astrologie » de l’Encyclopaedia Universalis. Il est clair pour tout observateur objectif  que l’iconographie du signe représente un couple enlacé dans une tonalité très vénusienne  sauf que pour les astrologues « bon teint », il faut y voir l’expression d’une relation intellectuelle (cf André Barbault. LE signes des Gémeaux, Paris, Seuil, 1957, maintes fois réédité jusqu’à ce jour). A aucun moment, Barbaullt ne fait figurer dans un ouvrage riche en illustrations les vraies représentations  de ce signe, telles qu’on les trouve dans les almanachs de la Renaissance. Il préfére nous parler de Castor et Pollux, c’est dire qu’il prend ce qui l’arrange.  Or, dans les Livres d’Heures, le mois de Mai est celui des amours et est représenté par des couples. Et cela tient à quoi? Au fait que dans la Tétrabible (IIe siècle de notre ère), ce signe est associé aux …. Gémeaux selon une distribution qui vise à faire concorder les 7 « planétes  » (luminaires inclus) et les 12 signes, ce qui est déjà un rapprochement douteux en soi mais qui tient  à ce désir de relier tout ce qui fait partie de l’ensemble Astronomie-Astrologie puisque Ptolémée était à la fois auteur d’ouvrages d’astronomie (Almageste) et d’astrologie (Tétrabiblos).  Visiblement le dit Claude Ptolémée de Pélouse n’avait cure de la symbolique des signes.  Pas plus d’ailleurs que ceux qui plaquèrent les 4 Eléménts sur le Zodiaque faisant par exemple du verseau (en latin Aquarius) un signe d’air.. Ces gens là n »étaient pas incohérents. Simplement, le zodiaque pour eux n’avait aucun intérêt au regard du systéme astrologique. Ce n’est que bien plus tard que certains astrologues ont voulu  relier  les différents dispositifs avec la « symbolique  » zodiacale au prix de toutes sortes de gesticulations.
La preuve de ce désintérêt des astronomes cette fois pour la mythologie dont tant d’astrologues pensent qu’elle fait partie intégrante du champ astrololgique tient au choix même totalement aléatoire, des dieux utilisés pour désigner le Septénaire.; Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne. Qui de Neptune, de Pluton, de Cérés etc ?  Nos astrologues nous répondront candidement que ces dieux désignent désormais des planétes inconnues de l’Antiquité,  oubliant de préciser que ce sont les astronomes qui les ont ainsi baptisées,  à partir de la fin du XVIIIe siècle si bien que celui qui apprend l’astrologie actuellement ne prend pas conscience d’un tel décalage qui s’est maintenu pendant plusieurs millénaires. Car comment sous estimer l’importance de Neptune et de Pluton et expliquer que ces dieux soient absents du dit Septénaire? La seule explication est qu’il n’y avait pas de place pour tout le monde et qu’il a bien fallu faire un choix! Apparemment, personne ne s’en est offusqué  à l’époque  vu que l’on savaiit que cela ne portait pas à conséquence. La Chrétienté d’ailleurs a toléré l’usage de ces noms notamment au Moyen Age dans la littérature qui paraissait. Et ce ne sont que les astrologues modernes qui les prennent « à la lettre », au sérieux. Rappelons d’ailleurs qu’avant de porter ces noms de dieux, les astres avaient reçu d’autres désignations. Mais comme pour le Zodiaque, les astronomes se sont amusés à emprunter les éléments d’une série (Pänthéon) bien connue
La morale de cette histoire, c’est qu’au sein d’un même ensemble, les risques d’interférence, de contresens ne peuvent que se multiplier et l’on pourrait en dire autant  du canon des Ecritures, ce que n’a pas manqué de faire la critique biblique (cf Pierre Monat. Histoire de la Bible. Ed Perrin, 2013). Dans le cas du canon nostradamique, la tentation aura également été  grande depuis le XVIe siècle,  de tout rapporter à un seul  et même auteur et à une seule et même époque (cf nos travaux sur ce sujet et notamment notre post doctorat : Naissance de la critique nostradamique au XVIIe siècle, EPHE 2007)
Que dire des pays comportant un bi voire un trilinguisme? Cela a donné en Angleterre une langue bâtarde, mélange du parler français (normand)  et du parler anglo-saxon qui fait de ce qu’on appelle l’anglais une langue bigarrée,  discontinue sur le plan morpho-sémantique  du fait même du « brassage », du melting pot (creuset) comme disent les partisans de l’immigration..
On pourrait parler à la questiion de la question  juive, avec un ensemble de populations extraordinairement diverses culturellement du fait de la multiplicité même des diasporas dans le monde. Même en France, cette diversité des origines crée un ensemble fort hétérogéne et  quel sens aurait la recherche d’une unité au delà d’un certain modus vivendi minimal?
L’idée de vouloir tout concilier, tout intégrer, aura conduit à dénaturer de nombreux textes, notamment du fait de l’emprunt entre des eléménts  censés faire partie d’un même ensemble. Il ne n’agit pas pour nous de mettre en cause la constitution d’ensembles embrassant un grand nombre de données mais de mettre en garde contre certains excés de corrélation. Il est préférable que chaque élément se ressource, retrouve sa logique interne plutôt que de se préter à des interprétations fantaisistes qui brouillent notre compréhension et conduisent à accepter les discours en renonçant à y voir clair. Et c’est alors -deus ex machina- qu’intervient la Pratique  qui va sauver la mise, à coup de synthèse produite par l’astrologue au regard de son client. ..Avec un « ça marche » qu’il faudrait compléter par un « ça marche quand même ».




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jeudi 28 juillet 2016

Pour une reconnaissance de la réalité objective d'une aristocrate juive de France. Toxicité du déni

Pour une reconnaissance de la  réalité objective d’une aristocratie juive de France.Toxicité du déni.
par  Jacques Halbronn,
Centre d’études et de recherche sur l’identité juive (CERIJ, fondé en 1978)
Il y a des identités plus ou moins fantasmées ou purement juridiques et il y a des identités qui s’ancrent sur une réalité objective. On a coutume de dire que l’on ne devient pas juif  mais qu’on assume une « origine ». Mais qu’en est-il de ces Juifs qui se déclarent et qui s’affirment Juifs de France. Au prix de quelle « conversion », une telle  affirmation est-elle recevable,?  Qui des groupes qui se constituent autour d’une forme d’imposture, de mimétisme, d’usurpation?
Car par delà le lien qui est  affirmé  entre les juifs de France et l’Etat d’Israël dans l’espace et la Terre d’Israël dans le temps, se pose aussi la question du lien des Juifs de France avec l’histoire de la France mais aussi de leur lien avec les communautés de leurs aieux plus réels qui ont vécu hors de France, il y a seulement quelques générations, qu’il s’agisse du Maghreb, de la Mittel Europa,, de la Turquie ou de l’Egypte etc, etc; Sous ce dernier angle, les similitudes avec les immigrés arabes du Maghreb sont évidemment bien plus flagrantes, ne serait-ce que par le fait d’un certain bagage linguistique  qui n’a rien à voir ou si peu avec une identité  liée à Israel, d’hier ou d’aujourd’hui ou à la France : judéo-langues comme le yiddish, le judéo-espagnol, le judéo-arabe etc..,  Il n’est pas rare d’ailleurs que l’on rencontre une certaine incrédulité chez les Juifs de France quand on se référe à un judaisme de souche française, expression qui ne semble pas pleinement comprise ou qui est quelque part refoulée en ce qu’elle est génante au niveau identitaire. le moins que l’on puisse dire, c’est qu’en tout état de cause, l’existence d’une sorte d’aristocratie juive en France n’est pas appréciée comme elle le mériterait au regard de l’image de la communauté juive de France. Or,  une telle  question ne saurait être évacuée par un, haussement d’épaules, ne serait-ce qu’au regard de la psychanalyse. on sait le traumatisme lié à l’adoption  et que sont ces juifs de France venus d’ailleurs sinon des adoptés, des « convertis »,? Est-ce une bonne chose que ceux qui parlent au nom de la communauté juive de France soient issus du Maghreb ou du fin fonds de l’Europe?
Certes, on nous dira que ce sont ces juifs issus de l’immigration -ou du moins leur famille  sur un certain nombre de générations-  qui aiment le plus la France puisqu’ils l’ont désiré de l’extérieur. Mais toutes proportions gardées,  doit-on brader le judaisme  français de la sorte? En tout cas, un tel clivage nous semble aussi déterminant que celui qui distingue juifs religieux et juifs laïcs mais il est en quelque sorte refoulé, plus ou moins vécu subconsciemment, ce qui peut conduire à des expressions qu’il conviendrait d’identifier, générant des comportements problématiques.  On pense notamment à ces juifs de France qui vivent leur rapport à Israel de façon confuse : incapacité à apprendre sérieusement l’hébreu moderne, émigration toujours reportée vers Israël, autrement dit un rapport fantasmatique avec des identités ressenties comme factices en comparaison de celles qui renvoie aux origines famiiiales, le plus souvent étrangères au monde français métropolitain et le fait pour les juifs d’Algérie d’avoir  bénéficié du Décret Crémieux (en 1870) n’en aura pas fait -sauf exception des juifs de France, dès lors qu’ils sont restés dans leur milieu d’origine avec le traumatisme qu’aura finalement produit le départ  et le déracinement dans les années soixante; le seul fait de parler français n’en fait pas ipso facto des juifs de France à part entière.
Un tel débat n’est évidemment pas sans évoquer les rapports entre juifs et Chrétiens, les juifs rappelant aux Chrétiens qu’ils ne  sont au mieux que des « juifs » d’adoption, de conversion, voire d’imitation, alors que ces mêmes juifs sont objectivement dans une situation comparable à l’endroit des Juifs de souche française. Situation qui nous fait songer à la mauvaise foi décrite par Sartre.
Si deux facteurs ont  brouillé l’image des juifs en France, c’est bien d’une part le sionisme  qui conduisit des juifs à se polariser sur une terre étrangère  et de l’autre l’immigration juive vers la France qui conduisit à une autre forme de polarisation vers la France. la communauté juive de France est marquée par ces deux expressions tout aussi  fantasmatiques l’une que l’autre, même si le rapport à la France reléve d’un passage à l’acte , ce qui ne supprime nullement la dimension fantasmatique voire qui pourrait l’exacerber tout comme le juifs qui fait son Alyah est dans le même rapport imaginaire avec l’Etat d’Israêl, tout en s’y trouvant à demeure. chacun sait que le juif qui émigré en Israël n’est citoyen israélien qu’au regard du droit et non de la réalité sociologique;  En ce sens,  tant le sionisme que l’impérialisme français auront déstabilisé  nombre de communautés juives installées  bien avant l’émergence de ces idéologies, générant des migrations plus ou moins pathogénes sinon toxiques dont il est d’ailleurs difficile d’apprécier toute la force de l’impact, y compris en ce qui concerne la Shoah.;
Il faudrait peut être arréter de vouloir faire comme si les juifs de souche française n’existaient pas, avaient disparu alors qu’ils existent bel et bien, tant ceux dont les aieux ont  vécu dans les territoires de la papauté, autour d’Avignon et de Carpentras, que ceux qui se sont enracinés en Alsace, sans parler des juifs du bordelais; Certes, ces régions – par la force de l’interdiction des juifs de rester dans le royaume de France, appartiennent-ils aux marges géographiques, autour de l’axe Rhin-Rhône qui joua longtemps le rôle de frontière;  En l’occurrence, les juifs d’alsace se trouvent-ils séparés du monde germanique par le  Rhin, ce qui a forgé leur spécificité et leur rapport très ancien avec la France tandis que les juifs du Pape étaient culturellement parfaitement en phase avec la Provence située de l’autre côté du Rhône;  Autrement dit,  les juifs de France sont des juifs « RR » ((rhénan-rhodanien) marqués profondément par ce grand axe fluvial qui passe par Strasbourg  et  Lyon,  Avignon, jusqu’à Marseille. Ce sont ces Juifs qui furent les premiers d’Europe à être émancipés et pas seulement tolérés comme des citoyens de second ordre, aux droits limité et non les juifs issus de l’immigration par delà la Méditerranée ou au delà  cette frontière fluviale dont on vient de parler.
Il serait  heureux qu’au sein de toute structure juive, l’on assumât pleinement la référence à ces juifs de souche française qui préparèrent- de par leur présence,   l’arrivée des juifs venus d’ailleurs, qui en furent si l’on veut les précurseurs; Il serait bon ainsi que dans les synagogues, il y eut une référence à ces juifs et pas seulement à la France et à Israël, de façon à ne pas rester au stade d’une identité fantasmée. Les Chrétiens de nos jours éprouvent le besoin de rappeler l’interface juive dans leur rapport à la révélation; De même, les Juifs immigrés en France, ou en tout cas issus de l’immigration- doivent  considérer les Juifs de souche française comme une interface incontournable et indispensable  avec la France. Il serait bon d’ailleurs que cette question soit au cœur du dialogue avec  le christianisme et l’Islam en France de façon à rappeler que les juifs de France sont regroupés autour d’une aristocratie installée depuis des siècles en France et ne l’ayant parfois quittée que pour rester à sa frontière (Alsace et Comtat Venaissin )  n’oubliant jamais leur origine. En ce sens, les juifs de Bordeaux sont eux issus d’un autre monde, ibérique (notamment Portugal)  et n’ont pas la même légitimité historique, les mêmes lettres de noblesse, que les juifs « RR »  qui n’auront fait que revenir vers la France, à l’instar de ces juifs des Pyrénées venus vivre en Avignon au  quatorziéme siècle  et  dont nous sommes issus par notre père maternel (Carcassonne) étant issu par notre grand- père  paternel des juifs de Strasbourg.
Il nous faut dénoncer les effets d’un déni chez ces Juifs de France, qui sont un peu les ouvriers de la onziéme heure en rappelant que dans chaque nation, il y a une façon spécifique d’être juif  qui s’est mise en place avec le temps, inscrivant ainsi le juif dans le paysae de la dite nation.  Ceux qui arrivent sur le tard auraient tout intérêt à laisser les  représentants les plus légitimes du franco judaisme – ces « israélites »- tenir la barre en n’important pas des valeurs  venus d’ailleurs.  Or, on a pu observer qu’une certaine mauvaise conscience de ces Juifs immigrés en France peut les conduire à tenir des discours alimentant l’antisémitisme du genre : de toute façon, nous sommes tous des immigrés, que cela soit sur trois générations ou sur trente, cela revient au même! Autrement dit, ces Juifs là sont prêts à  relativiser la signification d’une présence juive séculaire voire millénaire  pour ne pas avoir à reconnaitre  aux Juifs descendants de ce judaisme français  ancré profondément dans l’Histoire de la France une quelconque prééminence, épousant ainsi  un discours considérant les Juifs de France, toutes catégories confondues, comme des étrangers, jouant ainsi la politique du pire de façon totalement irresponsable. Ces Juifs immigrés ne se privent pas de transmettre à leurs enfants une telle présentation des choses et quelque part se liguant contre les Juifs de souche française dont l’existence même les perturbe.. On nous parle alors d’un judaisme constitué d’une mosaique sans ancrage dans une terre, ce qui permet de substituer une approche synchronique atemporelle à une diachronie fondée sur une réalité historique. Une telle attitude est intolérable et néfaste, qui au fond assimile la situation des Juifs de France à celle des arabes maghrébins,  et ce d’autant plus que ces Juifs immigrés ont dans leur imaginaire – car leur identité est essentiellement de l’ordre de l’imaginaire- la référence à Israël, à la façon dont les arabes maghrébins se référent au monde arabe dans son ensemble et notamment à la Palestine. Simulacre d’autant plus délirant que cette référence à Israel est purement virtuelle à la différence du lien qui unit les arabes maghrébins  à leurs origines. Situation schizophrénique chez ces Juifs qui les conduit à substituer à leur ascendance récente (Maghreb, pays de l’ancienne Europe de l’Est etc)  une ascendance à la fois pseudo-française et pseudo-israélienne, telescopant leur propre réalité  en se référant à la fois  à un présent immédiat en France à partir duquel ils réinventent leur passé  et à la fois  un passé mythique biblique qui les référe à Israel… Bien pis, ces Juifs du Maghreb seront les premiers à mettre en avant le probléme de l’Islam  plutôt que celui d’une culture maghrébine dont ils sont marqués, de façon à éviter tout amalgame qui  engloberait  l’ensemble des immigrés du Maghreb  toutes religions confondues. Autrement dit, ils mettraient ainsi de façon irresponsable le débat sur le plan religieux pour éviter qu’il soit posé sur le critère culturel.



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JHB
28; 07 16

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jeudi 21 juillet 2016

Colloque des intellectuels juifs de langue française 19 -20 mars 2017