lundi 12 juillet 2021
Jacques Halbronn L'épanouissement du monde juif. Un parcours, une quéte depuis 1966
Jacques Halbronn
L'épanouissement du monde juif, Un parcours, une quête depuis 1966
Avant la création du Cercle d'Etudes et de Recherche sur l'Identité juive (CERIJ (cf les Cahiers du CERIJ, en ligne sur la plateforme https://fr.scribd.com/document/425752414/Cahiers-Du-Cerij-dir-Jacques-Halbronn), en 1978, il y avait eu la création 12 ans plus tôt du Mouvement International pour l'Epanouissement du Peuple Juif
Document de base à approuver exposant les conceptions mipepjistes/
Nous soutenons trois thèses :
le génie et le non génie constituent deux espèces différentes
Le peuple juif est un peuple de génies
Le génie, le juif doivent refuser d'être exploités et s'unir
Ces thèses admises, l'épanouissement du peuple juif est possible
Israel n’est pas encore né. Israel vivra lorsque l’être juif ap-paraitra sans écran. Israel n’a été jusqu’alors qu’un em-bryon traversant les stades inférieurs de l’évolution juive. Je propose un combat à ceux qui se savent Juifs et pour qui Israel n’est pas autre qu’eux-mêmes, à ceux qui connaissent l’art de la guerre. Laissons nos frères sommeiller jusqu’après la bataille. Ne croyez pas, compagnons d’armes, ceux qui clament ; Israel est petit, les Juifs ne croient plus en eux-mêmes, Israel n’existe pas. Car si Israel est petit, le monde l’est encore plus car Israel encore naissant a construit l’homme et sa puissance. Car si les juifs ne croient plus en eux-même, c’est parce qu’ils se sont égarés, que le guide avait disparu. Mais irions-nous croire ces Juifs qui n’ont pas de voix, qui anonnent ce qu’on leur a appris dans des écoles, dans des pays qui ne sont pas les écoles, les pays des Juifs ?
Car si Israel n’existe pas, si Israel n’est pas Peuple en face de toutes les peuplades interchangeables, qui nous dira pour-quoi Israel ne s’est pas évanoui comme ceux qui lui contes-tent la vie- après avoir plongé dans le creuser où tout de-vient boue ?
Le peuple juif est un peuple de génies car les Juifs n’ont pu se stabiliser, s’assimiler dans la dispersion, ils sont restés dans une situation provisoire (…)La constitution d’un peuple de génies par le rassemblement des génies dispersés dans le monde est impossible, utopique car seule l’histoire permet à des individus de pouvoir vivre paisiblement, constructivement, en communauté, pour un but collectif.
(..) D’où est issue la religion juivr, a-t-elle été imposée à des individus ne constituant rien auparavant qui fût cohérent ? On a coutume, parfois de voir dans l’acceptation de la religion juive la naissance des juifs. Ce qui signifie qu’avant cette époque, celle de Moïse et des tables de la Loi, les Juifs ne se distinguaient en rien des autres peuple.
La religion n’a pas fait le Juif, c’est le Juif qui a peu à peu forgé sa religion La religion n’a pas été conservée pour des raisons culturelles mais c’est parce qu’elle a été conservée par nécessité intérieure du Juif que la culture juive s’est maintenue. (…)Si le peuple juif n’était qu’une création artifi-cielle et éphémère, interchangeable et élastique, un siècle après la dispersion romaine, le peuple juif aurait rejoint les souvenirs des civilisations perdues
Le peuple de l’astrologie = peuple juif.
Démonstration non scientifique, non astrologique (l’astrologie est très limitée en Astrologie des peuples)
On s’efforcera d’abord de justifier le choix du peuple jui f en tant que peuple qui mérite d’être mis à part et dont les membres possédent des facultés de création qui permettent à l’humanité de progresser/. Ensuite, l’on montrera que le peuple Juif est en face, aujourd’hui, d’une reconsidération de ses traditions, qu’il doit prendre conscience de sa nature profonde. Le Peuple juif est né non point de son histoire mais avant son Histoire.
La situation aujourd'hui
L'observateur qui revient d'un voyage en Israël se croit le droit d'utiliser l'expression Juif israélien. Cela est condam-nable non en tant qu'objet d'étude mais parce qu'il ne sait rien du Juif, de l'être juif pas plus ,semble-t-il d'ailleurs que de l'être non juif ou d'autres séries d'êtres. Il y a simple manque de cohérence dans sa pensée.
Que voit l'observateur superficiel ? Des existants présentant des caractères originaux mais ni plus ni moins originaux que les caractères nationaux de chaque Etat, des struc-tures agricoles, industrielles, propres à la région. Bref cela semble comparable à celle de toute étude politico-sociale. Ainsi, l'observateur conclut que dans les cadres actuels, le Juif israélien est ceci ou cela. Aucun doute ne traverse son esprit ; il a décrit ce qu'il a vu, ce qui était. Voilà l'exis-tant juif ou mieux un des existants juifs Il ne saurait être contesté coutumièrement l'exactitude de la description même sous les angles les plus délicats. Toutefois, l'erreur est évidente dans le principe même du travail entrepris ; il est inadmissible de ne pas situer l'existant juif 1967 dans son évolution de même qu'il est inadmissible de ne pas déter-miner -ou chercher à déterminer -et en cas d'échec le re-connaître – la source de cette « évolution » même. Sinon à quoi rime cet effort de définition que l'observateur consi-dère comme bien innocent ? (…) Ainsi, l'observateur qui revient d'Israel revient avec une série d'énigmes, de questions à résoudre.(...) Ces questions sont : quel est l'être juif, que peut-il devenir, quelle est la politique préférable pour accentuer l'évolution de l'être puisque toute politique doit avoir cet objectif ? Le grand tort des dirigeants juifs et cela concerne donc l'ensemble de la population israélienne (..) c'est d'essayer de faire progresser des êtres qu'ils ne connaissent pas,
Une politique juive
Le Peuple juif est formé d'individus juifs alors que les autres peuples forment des individus par l'emprise de leur cadre sans que ces individus aient conservé une nature in-dépendante. Le Juif conserve des capacités créatrices dis-parues sous l'emprise du Social. (…) Le Juif est un génie en puissance . Il est doué de la faculté de dépassement (par op-position à celle d'assimilation passive) qui évite la dégéné-rescence -(...) mais la question se pose de déterminer les ca-pacités des individus non à l'ombre de critères dégénérés et manquant l'essence de l'individu mais à l'aide de critères neufs et indépendants de la culture non juive. L'astrologie est ce moyen parfaitement objectif. L'Astrologie plonge au fond de l'être et en dégage sa vocation unique (..) L'Astrolo-gie, loin de détruire la liberté et l'indépendance humaine les rend effectives alors qu'elles ne l'étaient pas en n'obligeant pas l'individu à suivre une voie qui ne le concerne pas en profondeur (..) Une véritable démocratie est enfin possible où ceux qui sont les plus capables d'épanouir les autres soient connus et suivis en sachant que le cours de l'histoire est un perpétuel renouvellement (..) L'astrologie si elle est répandue et pratiquée par tous les citoyens d'Israel mettra obligatoirement les meilleurs à sa tête (pour une période donnée) et puisera dans les ressources juives enfin mises à jour les moyens de remplir son destin biblique »
DEUXIEME PARTIE Le CERIJ (Cercle d’Etude et de Re-cherche sur l’Identité Juive)
En 1978, nous fondions le CERIJ avec Claude Ra-phael Samama (http://plus.wikimonde.com › wiki › Claude-Raphaël_Samama, voir ses Réflexions nouvelles sur des questions juives. (Maison-neuve et Larose, 2007,
La première période ne dura que 2 ans et nous relançames le CERIJ dix ans plus tard lors de la dynamique propre au judaisme laic, représentée notamment par Albert Memmi. Les Cahiers du CERIJ connurent également ces deux temps et Claude Samama fut chargé à partir de 1992 de la rédaction en chef des Cahiers dont nous étions l’éditeur et le Directeur de la publication, avec un siége social sis à dans les locaux de nos Editions de la Grande Conjonction.. (.https://fr.scribd.com/document/425752414/Cahiers-Du-Cerij-dir-Jacques-Halbronn) Nous représentions le CERIJ au sein du Comité de Liaison des Associations Juives Laïques et en 1993, tout en étant président du CERIJ, nous devenions à l’instigation de son président Elie Garbartz, Se-crétaire Général de l’association Liberté du Judaisme et nous fimes appel à Doris Bensimon, en 1994, que nous avions eu comme professeur à l’ INALCO pour présider l’association. C’est dans le cadre de cette relation LDJ- CERIJ que fut organisé notamment un Colloque en 1995-(cf l’historique. http://www.liberte-du-judaisme.fr/1-notre-histoire)
Revenons sur les textes fondateurs du CERIJ, que l’on com-parera avec ceux du MIPEPJ, 12 ans plus tôt, donc après la Guerre du Kippour (1973) ainsi qu’une nouvelle expérience israélienne en 1976.
Genése du CERIJ, par Jacques Halbronn
En Juin 78, le projet de constituer une association juive axée sur les problémes d’une diaspora moderne, avait été lancé. Un texte signalait qu’il fallait « trouver un moyen terme entre le repli sur la famille des Juifs religieux et le nationa-lisme en un lieu étroit, véritable lit de Procuste- qui fait passer l’essence juive par un moule singulièrement apauvrissant » (…) Lors d’un entretien avec Claude Samama, en novembre 78, l’idée de retenir le principe d’un refus de cette alternative comme point de départ d’une association était reprise et aboutissait à l’idée de « modéles dominants ». Le CERIJ s’est constitué autour de cette problématique.
Les premières réunions du CERIH firent bientôt apparaitre la nécessité d’un autre type de clivage, celle du vécu et celle des idéologies. L’une puiserait dans la mémoire et la sensibilité de chacun, l’autre cernerait les grands mythes qui pésent sur le judaisme moderne. En d’autres termes, à la notion de « modèle dominant » comme axe dominant (..) allait se substituer , au cours des réunions, un autre axe, celui d’un judaisme viscéral, naturel, vivant et celui d’une confrontation avec un certain terrorisme idéologique qui serait aussi bien celui du Sioniste que celui de l’Antisémite (au sens sartrien)
Comment le principe des « modéles dominants » se fond –il dans celui que l’on a appelé des « orientations méthodolo-giques » ? En ce que la dialectique religieux/sioniste se ven-tile précisément entre le Vécu- le religieux- et l’idéologique –le Sionisme. On ajoutera que le religieux est en dialec-tique, lui-même, avec l’assimilation tout comme le sionisme l’est avec l’antisémitisme.
Le Juif se trouve donc bien pris entre deux déterminismes : celui qui l’accroche à son passé et où il puise partie de son identité et celui qui lui propose des représentations du futur – l’aboutissement sioniste. On dira donc que leVécu est lié (..) à un héritage et l’idéologique à une interprétation à usage collectif de l’Histoire du Peuple Juif, à la fin du XIXe siècle.
Il va de soi que le sionisme – tout comme l’antisémitisme – se nourrissent du vécu juif pour le lire d’une certaine ma-nière. On ne saurait nier, en particulier, que les facteurs re-ligieux inspirent certaines formulations sionistes (retour à Jérusalem) ou antisémites (peuple déicide) mais il n’y a pas, au sens strict, au XXe siècle, d’idéologie religieuse en tant que telle, à part entière, puisqu’il s’agit d’une donnée cultu-relle extrémement riche (…) Cela dit, il est certain que l’identité juive-sujet central de la réflexion du CERIJ- se forme à partir d’un certain nombre de représentations mais aussi – pourquoi pas – de qualités intrinséques qui n’ont que peu de rapport avec les modéles politiques du sionisme et de l’antisémitisme car on s’accordera pour reconnaitre que ni l’assimilation, ni la croyance religieuse ne donnent actuellement prise à un mouvement politique qui les incar-nerait en tant que telles. Assimilation et pratique ou foi reli-gieuse restent même pour les idéologies sioniste et antisé-mite des questions individuelles sur lesquelles on ne cherche pas à avoir vraiment prise »
Problématique : que signifie être juif en 1979 ?
La question nous viendrait déjà d’un héritage depuis tou-jours reprise : douter, réfléchir sur soi, entreprendre la qué-te de son identité., contester l’idéologie régnante et les défi-nitions figées , se remettre en question sans cesse semble bien être une des constantes d’une inquiétude spiri-tuelle juive qui traverse le temps.
La question n’est donc pas nouvelle. Elle se pose néanmoins aujourd’hui avec une acuité nouvelle. Un nombre de plus en plus grand de juifs ne se satisfont plus des réponses apportées par les institutions officielles du judaisme et se reconnaissent moins encore dans ce qu’on pourrait appeler les « modéles dominants » , en tout cas dans les discours qui nous environnent. (…) Ce long passé religieux nous a pourtant transmis une tradition, une culture, une histoire qui nous marquent profondément et dont il ne s’agit pas de minimiser l’importance . La question est justement de savoir comment intégrer cet héritage dans une culture juive actuelle et plus vivante. Le sionisme, l’autre pôle du discours moderne de l’identité juive peut-il jouer ce rôle ? Il ne constitue pas une idéologie monolithique et ses dimensions, les courants dont il est traversé, sont multiples. (..) Mais ce qui reste incontesté, ce qui fait l’unité des sionistes et qui constitue le sionisme en modèle dominant dans lequel un certain nombre de juifs ne se reconnaissent pas, c’est qu’il pose l’Etat d’Israel comme le seul destin historique possible.
Les Juifs qui n’adhèrent pas à ce principe fondamental de centralité et qui ne sont plus intégrés à la comunauté reli-gieuse se trouvent ainsi , de fait, relégués à la périphèrie fautive et honteuse du judaisme. Si ces femmes et ces hommes juifs qui ne s’y retrouvent plus s’engagent alors sur la voie d’une assimilation plus ou moins radicale,forcée ou factice, c’est bien souvent au prix du refoulement de cette dimension constitutive de leur être, ce processus entrainant des conséquences néfastes pour leur personnalité et leur existence »
Le CERIJ se propose justement –tel fut son premier texte- de « favoriser une réflexion de groupe sur les modéles histo-riques et psychosociologiques qui servent de référence à la conscience et à l’identité juive : promouvoir des re-cherches concernant l’évolution des modéles . (…) Pour me-ner à bien ces travaux (…) il a été envisagé de constituer dans un avenir proche des groupes d’échange sur des thèmes liés à l’existence juive en tous ses aspects cultu-rel, éducatif, sociologique, psychanalytique. Deux grandes méthodologies y seront mises en œuvre : l’une ‘exitsten-tielle » permettant à chacun de faire le point avec lui-même ; de mettre en jeu un discours qui n’est plus, le plus souvent, conscient, de confronter son identité avec celle d’autres Juifs sans partir nécessairement du principe que tous sont d’accord sur l’essentiel, bref de faire exprimer au réel les conditions cachées d’un certain imaginaire mais aussi de son univers symbolique où se jouent destin et his-toire collective. L’autre « épistémologique » en quête d’une information aussi lucide et complète que possible sur les modéles prédéterminés, préétablis, qui se sont ac-cumulés et combinés sans fin. Par- delà toute dérobade dans le dialogue indispensable avec le non Juif, sans refuser de préter l’oreille au discours antisémite, quelles que soient les formes dans lesquelles il se love ou peur de réveiller les problémes pour peu qu’on s’y arrête.
Texte élaboré par Denise Bartfeld, Claude Raphael Sama-ma, Jacques Halbronn
Le CERIJ est né d’un constat et d’une volonté . Il se vou-drait ce lieu où s’expriment les individus qui ont jusqu’ici leur judaisme dans le silence d’une solitude où ; non recon-nus par les leurs, ils ne sont pas forcément acceptés par les autres. » (à compléter)
Troisième temps
En 2013, nous avons commencé à fréquenter régulièrement les synagogues « libérales » et avons amorcé une « critique biblique ».(cf sur SCRIBD notre mémoire sur la notion d’Alliance qui nous aura conduit à une remise en cause de la pratique religieuse en vigueur. Rappelons que dès 1979, nous avions obtenu un Doctorat en Etudes Orientales, à l’EPHE en Sciences des Religions, à la suite de notre di-plôme aux Langues ‘O (INALCO). Nous avons également fréquenté certains milieux Chrétiens marqués par diverses formes d’antijudaisme, notamment dans le cadre de « cafés philos » que nous avons animés et filmés 2017-2020.
En effet, l’on ne peut s’en prendre à un modèle sans l’avoir étudié en profondeur car sans cela, le dit modèle risque fort de se perpétuer indéfiniment. De même, avons-nous revisité les conditions d’émergence du christianisme, notam-ment autour du clivage entre les deux royaumes qui se fi-rent face à la mort de Salomon, la maison d’Israel et celle de Juda, ce qui nous a conduit à nous interroger sur la perti-nence du nom d’Israel pour nommer l’Etat « juif ».
En 1966, on l’a vu, nous avions rapproché le Juif de notre description du génie et certains traits nous étaient apparus communs à ces deux phénoménes. De fait, il nous semble heureux, méthodologiquement, de procéder par rapproche-ment voire par analogie plutôt que de rester polarisé sur un seul et même domaine. Traiter du génie, quelque part, était plus facile à gérer que de traiter du Juif. De même nous avons récemment proposé de rapprocher le Juif du type « jupitérien », ce qui constitue une approche ternaire ayant valeur heuristique , selon une démarche inter/trans-disciplinaire. En montrant la conflictualité entre le monde jupitérien et le monde saturnien, nous apportions un nouvel éclairage à la problématique de l’antisémitisme. La fonction du Jupitérien – dont le personnage de Jésus nous semblait une illustration édifiante- a vocation à libérer une société des « modéles » dont elle est tributaire et bien entendu, cela ne va pas sans résistance de la part des membres du groupe concerné. Bien entendu, le Jupitérien –le génie-le Juif ne peuvent être que minoritaires et dispersés pour mener à bien leur mission « salvatrice ». S’ils ne disparaissent pas, c’est qu’il y a là un systéme qui maintient et perpértue cette dialectique Jupiter-Saturne, et l’on pourrait dire qu’il s’agit là d’un plan « divin « si l’on entend par divin non pas la Nature (Deus sive Natura) mais une Création dans la Création, le Jupitérien introduisant un troisiéme niveau de création. Or, c’est le deuxiéme niveau qui exige de repenser la théologie car le Dieu de la Bible n’est ni l’homme comme créateur ni le premier moteur mais un état intermédiaire. Il nous aura donc fallu –comme on peut le voir, plusieurs décennies pour trouver la bonne perspective. Déjà en 1966, l’astrologie était présente dans notre discours et nous disposions peu ou prou de toutes les pièces du puzzle sans effectuer toutes les corrélations nécessaires, du fait que cette astrologie aura dû entre- temps se transformer profondément. L’interdisciplinarité exige en effet de faire avancer les différents domaines en présence et de n’en figer aucun.
JHB
08 07 21
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