LA LANGUE SACREE, CENTRALE, LE FRANCAIS
Approche théologique et historico-critique des langues
lundi 31 mars 2025
Jacques halbronn Linguistique comparée (Famille latine/Sémitique). Epistémologie. Préfixes et Suffixes
Jacques halbronn Linguistique comparée (Famille latine/Sémitique). Epistémologie. Préfixes et Suffixes
Nous avons déjà eu l'occasion de rappeler que la finale en "ed" du prétérit et du participe passé en anglais venait de l'ancien français (les bleds); ce qui pose la question de l'usage de l'accent sur la lettre "e" en français "moderne".
Le cas de l'infinitif nous semble particulièrement intéressant à étudier au prisme du rôle du verbe auxiliaire avoir tant pour le passé que pour le futur. Il a mangé, il mangera.
Il est clair, en effet, qu'initialement, le passé composé de la première conjugaison ne se terminait pas par un "é" Rappelons que la conjugaison en "ir" n'est pas concernée (écrit/e).
Or, nous avons dans le dispositif actuel
Il a mangé / il mangera.
Il a écrit, il écrira On peut se demander si au départ, on n'avait pas "il a écrire" au lieu "il a écrit" puisque, au futur, on trouve il écrira et non pas il écrita (sic).... Mais l'on peut se demander si on n'avait pas à l'origine, il a manger , ce qui conduit logiquement à il mangera. Nos observations visent la consonne "r" , dans les deux groupes, laquelle aurait disparu dans les deux cas si ce n'est que l'emprunt de l'anglais au français met en avant une finale en "ed" du participe français et non pas en "er". La finale er semble être au demeurant sensiblement plus attestée que la finale ed. Un infirmier/une infirmière etc. On devrait donc ne pas changer la prononciation française en vigueur mais rétablir l'écrit, sachant que, selon nous, l'infinitif est neutre à l'écrit et n'est impacté par des marqueurs qu'à l'oral Le mise en place du é reléve d'un facheux alignement de l'écrit sur l'oral, ce qui vient sensiblement perturber l'agencement grammatical.
D'une façon générale, l'accent -quel qu"il soit( sur le "e" tend à éliminer une consonne, tout comme l'apostrophe une voyelle. L'anglais "forest" correspond au français "forêt tout comme l'allemand Fenster au français fenestre.
En fait, le français procéde à l'inverse de l'hébreu:préfixation du passé et suffixation du futur; Selon nous, il faut partir de l'infinitif et compléter par le verbe avoir, soit en position préfixale, soit en position suffixale. Au niveau de l'écrit, on en restera à la forme infinitive avec le dans tous les cas de figure J'ai manger(sic) (devenu manged (cf le "ado" de l'espagnol), puis mangé), et je mangerai. On aura forme en "er" pour le participe passé, au masculin et en ère, au féminin. Cela ne devrait pas trop surprendre vue la fréquence en français des finales en er et ere. exemple Premier/première. Logiquement, le passé devrait correspondre à des préfixes et le futur à des suffixes. C'est le cas pour les langues latines et notamment pour le français: j'ai mangé (ed,er), je mangerai, Le verbe avoir a ici valeur d'affixe. A contrario, les langues sémitiques inversent le processus en usant du suffixe pour marquer le passé et du préfixe pour marquer le futur. Cela pourrait s'expliquer pour l'hébreu en raison du "vav conversif" (usité dans Genése I, avec le Vayomer) tout comme dans la "Shema Israel" avec le VaAhavta)) car cette pratique ( dont nous ignorons son existence pour l'arabe) va faire - comme son nom l'indique - d'un passé un futur et d'un futur un passé. C'est ainsi que "tu aimeras" devient dans le "Shema Israel" "tu as aimé" alors que '"il a dit" devient "et il dira"! On pourrait aussi s'intérroger tant qu'à faire sur la question de la lecture de gauche à droite ou de droite à gauche qui distingue les deux familles de langues.
JHB 31 03 25
jeudi 27 mars 2025
jacques halbronn Linguistique comparée. Epistémologie. Le probléme des accents sur la lettre "e" en français.
jacques halbronn Linguistique comparée. Epistémologie. Le probléme des accents sur la lettre "e" en français.
Nous avons déjà eu l'occasion de rappeler que la finale en "ed" du prétérit et du participe passé en anglais venait de l'ancien français (les bleds); ce qui pose la question de l'usage de l'accent sur la lettre "e" en français "moderne".
Le cas de l'infinitif nous semble particulièrement intéressant à étudier au prisme du rôle du verbe auxiliaire avoir tant pour le passé que pour le futur. Il a mangé, il mangera.
Il est clair, en effet, qu'initialement, le passé composé de la première conjugaison ne se terminait pas par un "é" Rappelons que la conjugaison en "ir" n'est pas concernée (écrit/e).
Or, nous avons dans le dispositif actuel
Il a mangé / il mangera.
Il a écrit, il écrira On peut se demander si au départ, on n'avait pas "il a écrire" au lieu "il a écrit" puisque, au futur, on trouve il écrira et non pas il écrita (sic).... Mais l'on peut se demander si on n'avait pas à l'origine, il a manger , ce qui conduit logiquement à il mangera. Nos observations visent la consonne "r" , dans les deux groupes, laquelle aurait disparu dans les deux cas si ce n'est que l'emprunt de l'anglais au français met en avant une finale en "ed" du participe français et non pas en "er". La finale er semble être au demeurant sensiblement plus attestée que la finale ed. Un infirmier/une infirmière etc. On devrait donc ne pas changer la prononciation française en vigueur mais rétablir l'écrit, sachant que, selon nous, l'infinitif est neutre à l'écrit et n'est impacté par des marqueurs qu'à l'oral Le mise en place du é reléve d'un facheux alignement de l'écrit sur l'oral, ce qui vient sensiblement perturber l'agencement grammatical.
D'une façon générale, l'accent -quel qu"il soit( sur le "e" tend à éliminer une consonne, tout comme l'apostrophe une voyelle. L'anglais "forest" correspond au français "forêt tout comme l'allemand Fenster au français fenestre.. Une réforme du français écrit impliquerait la suppression de tous les accents et de toutes les apostrophes qui ne sont que des aides à la prononciation, ce qui reléve d'une tradition orale qui a généralement su se maintenir en franiçais. En fait, c'est tout l'enseignement de la lecture orale de l'écrit qui serait à revoir.
En fait, à la base, à un stade indéterminé, on a l'infinitif lequel, à l'oral, selon la conjoncure, se transmure en futur par l'adjonction du verbe avooir ou en passé en plaçant le verbe avoir en position préfixale Il importe de séparer clairement les deux temps, de l'indétermination et de la détermination;
JHB 28 03 25
jacques halbronn Linguistique comparée. Le français et son traitement de l'accompli et de l'inaccompli.
jacques halbronn Linguistique comparée. Le français et son traitement de l'accompli et de l'inaccompli.
On aura compris qu'il n'est pas question pour nous de valider un quelconque statu quo dès lors qu'il ne correspond pas à nos exigences critiques et ce, quand bien même, le dit statu quo aurait été valider tant dans l'espace que dans le temps social. C'est ainsi, qu'à l'aune de nos dernières réflexions, il ressort que la formation actuelle du futur en français (entre autres langues latines) reléve d'un contre-sens comme il apparait de par la comparaison avec l 'hébreu (entre autres langue sémitiques)
Au départ du systéme matriciel, le passé se servait de préfixes et le futur de suffixes. comme dans le cas de l'hébreu lequel pratique, dans le Pentateuque le vav conversif. C'est ainsi que l'énoncé des Dix Commandements passe par l'usage repété de la lettre Thav, correspondant à la deuxiéme peronne (At/ata/Atem) en position préfixal (le futur étant assimilé à l'impératif)
Par ailleurs, le passé en hébreu et en arabe est marqué par un suffixe repris du pronom personnel A cela près que le passé de la première personne du singulier est en "tou" ou en "ti" alors qu'il devrait être en "ni", "nou", calqué sur la première personne (Ani Ana, Anahnou) Il y a là une anomalie impactant l'ensemble des langues sémitiques tout comme nous avons pu relever des anomalies impactant l'ensemble des langues latines; Autre anomalie, en hébreu, la seconde personne du singulier aura été inversée: At et Ata correspondent actuellememen au Tu féminin et au Tu masculin alors que cela devrait être l'inverse, la forme At est tyiquement masculine du fait qu'elle ne rend pas de finale vocalique. (cf l'exemple du français petite/petit) Or, le probléme va affecter la formation du verbe français au passé -première personne- qui se présente de nos jours avec une finale en "ta" et non en "t". Prenons le cas du Shema Israel. qui débute par VeAhavta" (vav inversif) : tu aimeras, s'adressant à tout homme juif
En réalité, le français, au niveau matriciel, grammatical, fonctionne sur les deux registres. Avec l'auxiliaire avoir, il contrôle aussi bien le passé (composé) que le futur. J'ai aimé versus J'aimerai.
JHB 27 03 25
mardi 25 mars 2025
jacques halbronn Critique inguistique. Première Partie
es halbronn Critique linguistique. Iere partie
On aura compris qu'il n'est pas question pour nous de valider un quelconque statu quo dès lors qu'il ne correspond pas à nos exigences critiques et ce, quand bien même, le dit statu quo aurait été valider tant dans l'espace que dans le temps social. C'est ainsi, qu'à l'aune de nos dernières réflexions, il ressort que la formation actuelle du futur en français (entre autres langues latines) reléve d'un contre-sens comme il apparait de par la comparaison avec l 'hébreu (entre autres langue sémitiques)
Au départ du systéme matriciel, le passé se servait de préfixes et le futur de suffixes. comme dans le cas de l'hébreu lequel pratique, dans le Pentateuque le vav conversif. C'est ainsi que l'énoncé des Dix Commandements passe par l'usage repété de la lettre Thav, correspondant à la deuxiéme peronne (At/ata/Atem) en position préfixal (le futur étant assimilé à l'impératif)
Par ailleurs, le passé en hébreu et en arabe est marqué par un suffixe repris du pronom personnel A cela près que le passé de la première personne du singulier est en "tou" ou en "ti" alors qu'il devrait être en "ni", "nou", calqué sur la première personne (Ani Ana, Anahnou) Il y a là une anomalie impactant l'ensemble des langues sémitiques tout comme nous avons pu relever des anomalies impactant l'ensemble des langues latines; Autre anomalie, en hébreu, la seconde personne du singulier aura été inversée: At et Ata correspondent actuellememen au Tu féminin et au Tu masculin alors que cela devrait être l'inverse, la forme At est tyiquement masculine du fait qu'elle ne rend pas de finale vocalique. (cf l'exemple du français petite/petit) Or, le probléme va affecter la formation du verbe français au passé -première personne- qui se présente de nos jours avec une finale en "ta" et non en "t". Prenons le cas du Shema Israel. qui débute par VeAhavta" (vav inversif) : tu aimeras, s'adressant à tout homme juif
JHB 25 03 25
Jacques halbronn Astrologie septennale et Anthropolinguistique
jacques halbronn Astrologie septennale et Anthropolinguistique.
L’interdisciplinarité est une absolue nécessité pour valider un dispositif a fortiori quand le même auteur maitrise les différents domaines qu’il lui incombe de connecter. Dès lors, nous dirons que la phase cardinale, en Astrologie septennale, correspond à l’oral, au « fini » alors que la phase mutable correspond à l’écrit en raison de sa polysémie et de son indétermination
Récapitulons, l’oral est lié au passage de la puissance à l’acte, mettant fin à l’indéfinition de l’écrit. A l’oral, on est dans la cristallisation des clivages, c’ »est donc un stade ultime, final, un aboutissement, un accouchement et non pas un commencement, ce qui doit caractériser le stade cardinal. A contrario, la phase de Saturne en signes mutables correspond à un début,, à l’enfance comme au départ d’une course dont on ignore l’identité du vainqueur à l’arrivée.
Théologiquement, la Création est une conclusion qu’il faut assumer d’entrée de jeu. C’est le temps cardinal (le fait accompli) qui laissera la place, à la fin du cycle de 7 ans à un état gazeux-en mutation On doit donc prévoir avec l’entrée de Saturne en Bélier (thème du Colloque des 29-30 mars) à 840 jours (soit 2 ans et 4 mois) durant laquelle, l’ordre établi par la Création de notre monde, devra être respecté.
JHB 25 03 25
lundi 24 mars 2025
jacques halbronn Anthropolinguistique Epistémologie. De l’infinitif au futur . La suffixation à l’oral
jacques halbronn Anthropolinguistique Epistémologie. De l’infinitif au futur . La suffixation à l’oral.
Nous avions déjà signalé que le futur en français dérivait de l’infinitif. Le mot même d’infinitif est à rapprocher d’indéfini. Dans notre dispositif, il correspond à un état virtuel, latent en attente de précision, d’orientation à l’instar de l’adjectif et du participe.
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Le verbe à l’infinitif et le verbe conjugué
. »Tous les verbes sont conjugués. Le verbe à l’infinitif est toutefois conjugué à un mode impersonnel, sans sujet. Il est aussi la forme nominale du verbe ».
Un tel second stade reléve au départ de l’oralité alors que le premier se situe au niveau de l’écrit lequel s ‘ouvre à plusieurs lectures, du moins avant qu’une certaine pratique n’en vienne à le corrompre, en l’alignant abusivement sur l’oral, ce qui aura égaré bien des linguistes dans leur entreprise de description des langues.
Le passage à l’oral implique un processus d’addition, de suffixation. C’est ainsi que l’infinitif « manger » donnera « mangerai », en se servant du verbe avoir ‘ai, as, as, ons etc). L »anglais n’a pas su adopter cette approche suffixale et, comme l’allemand, il fait précéder l’infinitif d’un auxiliaire (shall, will, werden )
La suffixation caractérise le genre et à l’oral – mais seulement à l’oral, il convient de préciser le masculin et le féminin. L’anglais a raison de ne pas le préciser en amont (oral) mais il ne réussit pas pour autant à marquer le genre. Il en reste donc même à l’oral au stadde « neutre ». L’allemand , quant à lui, distingue déjà à l’écrit le genre à commencer par l’usage de l’article indéfini (ein (e) mais là encore, il ignore la régle que pratique le français quand il distingue à l’oral le « un » (perte du n) et le « une » (maintien du n). Idem pour petit et petite. D’autres langues comme l’italien ou l’espagnol, se contentent du « o » pour marquer le masculin et du « a » pour marquer le féminin au lieu de jouer sur l’alternance voyelle/consonne comme en français (Jean/ Jeanne) Dans le cas de l’hébreu, l’adjectif au féminin comporte un « a » final (d »où le shewa rendu phonétiquement par une apostrophe) mais au masculin, il se termine par une consonne: qatan; q’tana -(petit/petite) mais sans recourir à la diphtongaison. A ce propos, rappelons que l’apostrophe élimine les voyelles alors que l’accent (sur le e) élimine les consonnes à l’oral, ce qui a d’ailleurs conduit le participe français en « ed à remplacer le d par un é (ce dont témoigne l’emprunt anglais) mais dans ce cas, cela compromet la formation du féminin de la première conjugaison du français en « er » , ce qui n’est pas le cas, en revanche, pour l’infinitif en « ir » : écrit (e).
Il est temps de reformuler les régles de prononciation du français mais en insistant sur l’importance du stade oral car il importe de rétablir la conscience de l’état neutre à l’écrit, ce que l’anglais a réussi à faire mais sans parvenir à clarifier correctement le processus phonologique/
JHB 24 03 25
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