samedi 20 septembre 2025

Jacques halbronn Linguistique. L'anglais dominé par le français. Le cas de la Slovaquie et de l'impact du hongrois.

What is the evidence behind the idea that English uses Romance words for meat and Germanic words for animals because of Norman domination post-1066? I've seen quite a lot of claims that the reason English says pork for the meat, and pig for the animal is due to the Norman Conquest, with Norman French aristocratic speakers eating the foods and Anglo-Saxon Old/Middle English speaking peasants raising the animals. If memory serves, this even shows up as a linguistic theory in Sir Walter Scott's Ivanhoe. I've never seen an actual academic paper providing evidence in favour of this theory, and I was wondering what the actual evidence is for this being anything other than a popular science theory? Is there another potential reason why this might have occurred? Are there other languages with similar issues (e.g. does a place like Slovakia, historically dominated by a Hungarian aristocracy, have a similar divide between foodstuff/animal terminology?) JHB 20 09 25

mercredi 17 septembre 2025

jacques halbronn Linguistique comparée des affixes. dans la formatiion des verbes. Morphosémantique. Le cas du shewa

jacques halbronn Linguistique comparée des affixes. L'hébreu et l'allemand. Morphosémantique. Le cas du shewa. Si l'on trouve desaffixes en hébreu, c'est d'abord en ce qui concerne la conjugaison des verbes au passé et au futur selon un processus relativement proche du cas français si ce n'est qu'il forme le futur avec un préfixe et le passé avec un suffixe, à l'inverse du français.. L'allemand pour former le futur utilise des auxiiaires, comme l'anglais, en position préfixale alors que le français et les autres langues latines forment le futur avec le recours à des suffixes, issus de l'auxiliaire aavoir (cf nos étude antérieures). Les carences préfixales de l'hébreu apparaissent quand on compare l'allemand entdecken et l'hébreu legaloth.לגלות את האהבות שלהם. Alors qu'en allemand comme en français, découvrir se décompose avec couvrir et le préfixe "d" équivalent du préfixe "ent" en allemand (en italien dis-coperta)), la forme hébraïque ne renvoie pas à son contraire qui reléve d'un tout autre radical.לְכַסוֹת Lechassot. Même le verbe comprendre en hébreלְהָבִין (léhavin)u ne comporte pas de préfixe comme en anglais, en allemand, en espagno understand,verstehen ,entender etc Alors que l'on dit couramment que le verbe hébréique se constitue autour d'un radical, le français offre tout un jeu de préfixe autour de venir grâce aux préfixes: devenir, revenir, advenir, parvenir, ce qui reléve de la morphosémantique, c'est à dire de verbes partageant un même sens mais avec des variations., là où l'hébreu proposera des racines différentes les unes des autres On en conclura que l'hébreu n'a pas une approche économique de la formation des verbes. Certes, il pratique la conjugaison pour un verbe donné mais il ne permettra pas au locuteur d'effectuer des rapprochements en jouant sur les variantes préfixales. La question des affixes est, selon nous, inséparable de celle du shewa. Comme nous l'avons montré, le shewa sert en français à souder l'affixe au radical, Dans le cas du futur; je mangerai (manger-ai), on a un shewa. Quel est l'usage du shewa en hébteu, alors qu'il n'a qu'un usage limité des affixes? Au passé, l'hébreu usera du shewa ; hahshv(e) nou: nous avons pensé מה שחשבנו mah chekhachavenou, j'ai appris où me mettre pour avoir le ballon. (lamad(e)ti) בעיקרון למדתי איפה להציב את עצמי כדי לתפוס א . Rappelons que pour nous, l'usage du shewa ne fait sens que lors du passage de l'écrit à l'oral. JHB 17 09 25

mardi 16 septembre 2025

jacques halbronn Linguistique comparée. La dialectique écrit- oral et la relation franco-anglaise/

jacques halbronn Linguistique comparée. La dialectique écrit- oral et la relation franco-anglaise/ C'est en abordant de front les deux langues que nous serons en mesure de restituer les fondements de la Langue Sacrée, originelle, don des dieux. L'anglais par ses emprunts maladroits au français nous aura permis de restituer un état primitif du français au point que l'on puisse parler d'un binome franco-anglais (cf notre mémoire de 1989 sur la Description du françaisn sur SCRIBD) Un cas tout à fait éclairant est celui de Early, Lucky et happy en anglais à compare à comparer avec le français " de bonne heure", bien ou malheureux, Les adjectifs "bon" et "mal" sont des affixes préfixaux qui ne doivent intervenir qu'à l'oral, et n'ont pas leur place à l'écrit, ce qui serait prématuré, dans le cadre triangulaire qui est le notre, à plus d'un titre. Il ressort que l'anglais a emprunté de tels termes à l'écrit sans savoir que ceux-ci devaient impérativement être précisés, complétés à l'oral en bien ou en mal. Happy ''à rapprocher de happen, ce qui arrive) est calqué sur le français Heur(e) et doit être précédé d'un préfixe positif ou négatif à l'oral; On dira "à la bonne heure" et non "à l'heure" tout comme on parlera d'un malheur. Quant à " de bonne heure",il a donné en anglais l'adverbe "early" non précédé d'un préfixe positif ou négatif. Quant à Lucky, il renvoie aussi à l'heure (c'est le Five O'clock" anglais). L'anglais fait précédé Luck de Good ou de Bad à la différence de happy. On a le cas de Likely qui est un calque du français "vraisemblable" mais sans le préfixe "vrai" et un équivalent anglais. Dire que quelque chose est semblable ne veut rien dire: semblable à quoi ? En revanche, l'on pourrait penser que "happy" pourrait signifier être à l'heure mais là encore c'est le préfixe qui a pour tâche de préciser s'il en est ainsi. JHB 16 09 25