jeudi 30 septembre 2021
mardi 28 septembre 2021
lundi 27 septembre 2021
Jacques Halbronn Il y a racisme quand on ne recrute et ne fréquente qu'un certain type de personnes
Il y a racisme quand on ne recrute et ne fréquente qu'un certain type de personnes
par Jacques Halbronn
De nos jours, il y a un certaine hypocrisie autour de la notion de racisme. Nous en donnerons deux illustrations
I Les fréquentations
Que dire des personnes qui ne fréquentent que des gens qui leur ressemblent, comme par hasard. Qui se ressemble s'assemble, dit l'adage.
Un groupe hyper homoégne dans sa composition ne pourrait il être taxe de "racisme" et la famille est l'exemple même,de facto, d'une forme d'exclusion de fait de ceux qui n'ont pas le même "type".
Il serait donc intéressant - par le biais de l'image, de montrer à quel point un certain grégarisme physique est la régle.
II Le recrutement
Que dire des sociétés qui n'emploient à certains postes qu'un seul et même type de personne? Par exemple, à la Bibliothèque Nationale, l'on ne peut qu'observer un recrutement très spécifique. N'est ce pas là une forme de racisme de par une telle "préférence ethnique?
Le probléme, c'est que ce type de "politique" genére à son tour du racisme et l'on sait que les Juifs , par exemple, auront eu à subir les conséquences de leur spécialisation imposée comme préteurs à gage. On est dans un cercle vicieux.
Certes, l'on peut comprendre que les gens aiment se retrouver "entre eux" mais cela ne constitue t-il pas un apartheid de facto, de leur fait même si l'on est dans le déni?
JHB
27 09 21
mercredi 22 septembre 2021
lundi 20 septembre 2021
samedi 18 septembre 2021
jacques Halbronn La dialectique entre le producteur et le consommateur au prisme du rapport Hommes -femmes.
Jacques Halbronn La dialectique entre le producteur et le consommateur au prisme du rapport Hommes-femmes
Depuis longtemps, nous avions émis la pensée selon laquelle celui qui prend trop de plaisir à gouter ce que le monde a à lui offrir ne sera pas en mesure de puiser en lui même sa source de plaisir. Récemment, nous avons mis l’accent sur l’éclectisme qui caractériserait la psychologie féminine. Nous opposions le philosophe et le « prof de philo ». Celui qui connait trop bien le monde qui l’entoure risque de ne pas se connaitre (« Connais-toi toi même » du frontispice du Temple de Delphes, attribué à Socrate., c’est à dire de ne pas connaitre son « propre mode d’emploi ». Il est plus facile d’apprendre à utiliser une machine qu’à activer ses propres facultés car dans un cas, on est dans le visuel et dans la communication avec autrui alors que dans l’autre, on est livré à soi-même, ce qui commence avec l’apprentissage du langage qui précéde celui de la lecture. Est-il souhaitable qu’un enfant apprenne à se servir de tel appareil au lieu d’exploiter ses propres ressources?
Le contraste est remarquable entre ce que le monde a à nous offrir et ce que nous avons à offrir au monde! Peut-on se plaire dans la compagnie des oeuvres littéraires, plastiques, musicales et en même temps engager une recherche personnelle ne se réduisant pas à former sa bibliothèque ou sa discothéque? Nous posions déjà cette question en 1964 en classe de philo: « est ce que la culture ne doit pas déboucher sur la création? » Il y a là un sevrage nécessaire mais après tout, ne convient-il pas que chacun suive sa propre voie et n’emprunte pas celle qui ne lui correspondrait pas? That is the question!
La question de la « culture » semble bien se situer au coeur du débat car il y a d’un côté les producteurs et de l’autre les consommateurs qui ne jouent pas dans la même cour même s’il y a interaction, interdépendance. Le contraste est frappant entre celui qui vit pour son oeuvre et celui qui se complait à jouir de toutes les facettes de ce que la Culture lui offre, qui collectionne toutes sortes d’oeuvres de toutes sortes d’époques et de pays.. C’est ainsi que les femmes sont fort nombreuses dans le public des concerts et sur scéne et qu’elles ne sont qu’un tout petit nombre parmi les « compositeurs ». Cela ne devrait pas surprendre outre mesure, il nous semble. Contraste entre l’infini de k’ensemble des oeuvres disponibles dans les musées, les bibliothèques et l’enjeu d’une recherche personnelle spécifique étalée dans le temps. Mais alors pourquoi une telle division du travail fait-elle tant probléme encore en ce début de XXIe siècle, au point de devenir un sujet tabou? ne serait ce pas le symptome d’une mauvaise conscience sinon d’une mauvaise foi?
Pour mieux nous faire comprendre, prenons l’exemple de la prédation Il y a deux types d’oiseaux de proie ceux qui tuent et ceux qui consomment la proie, la charogne- abandonnée- on les appelle des charognards. Voyons ce qu’on trouve sur Wikipedia à propos du « vautour charognard »:
« C’est un charognard, se nourrissant essentiellement de cadavres d’animaux et des déchets qu’il repère en survolant la savane et les alentours des habitations humaines, y compris les décharges et les abattoirs. Il se déplace souvent en troupe et est très abondant. Dans une grande partie de son territoire, il y en a toujours plusieurs de visibles haut dans le ciel à n’importe quel moment durant la journée. »
Il y a comme un lien entre le charognard et la mort comme si cette bête avait peur du vivant qu’il était incapable d’atteindre.
Cette parabole du charognard que nous proposons exprime assez bien le décalage entre le producteur et le consommateur de culture, en prenant le terme culture au sens large de production intellectuelle, artistique, scientifique. En fait, il y a là plusieurs acceptions du mot « création »: une compilation, une anthologie ne peuvent-elles pas être qualifiées de « »créations »? Celui qui programme un récital à partir de pièces de divers « compositeur » n’accomplit-il pas, à sa manière, un acte « créatif »? D’ailleurs, le terme même de « compositeur » prête à confusion puisque composer c’est combiner, arranger, ordonner, ce qui peut relever du domaine du « charognard », de celui qui accommode différents mets d’origines diverses, pour en faire un « plat »? On touche là à la notion de syncrétisme, d’une unité instaurée après coup à partir d’éléments de sources très variées, dans le temps et dans l’espace. A contrario, ce qui est vivant déconcerte: cela bouge encore, cela n’est pas terminé, « parfait ». Ce qui est mort est plus facile à gérer. On sait qu’en musique, les concerts accordent bien plus de place aux compositeurs morts qu’aux vivants.
Autrement dit, l’instinct des producteurs ne serait pas celui des consommateurs, cela relève de logiques différentes. Le producteur n’a pas une mentalité de charognard et le consommateur est habitué à se plaire à des produits déjà reconnus, établis. Le producteur a l’instinct du chasseur alors que le consommateur « chasse » le producteur, entend s’approprier son gibier. Le consommateur arrive en second. Il met en forme ce que le producteur a su attraper au vol. De la même façon, la femme transforme le sperme de l’homme en un embryon qui donnera naissance à un « nouveau né ». Elle arrive en second et le sperme ayant jailli dans son vagin n’est plus de même nature que celui qui circulait chez l’homme avant le stade de l’éjaculation… On retrouve ici la dialectique de la matière et de la forme. Et rappelons le début du Livre de la Genése: On notera que « Dieu » ne sait pas exactement où son action, son impulsion va le mener. Il constate, après coup, que c’est « bon »
Dieu dit: « Que la lumière soit! » Et la lumière fut.
ד וַיַּרְא אֱלֹהִים אֶת-הָאוֹר, כִּי-טוֹב; וַיַּבְדֵּל אֱלֹהִים, בֵּין הָאוֹר וּבֵין הַחֹשֶׁךְ. 4 Dieu considéra que la lumière était bonne,
Mais le texte nous dit
אֱלֹהִים, מְרַחֶפֶת עַל-פְּנֵי הַמָּיִם. 2 Or la terre n’était que solitude et chaos; des ténèbres couvraient la face de l’abîme, et le souffle de Dieu planait à la surface des eaux.
Cela signifie qu’avant cette « création », il existait déjà quelque chose qui allait devoir être transformé. Cette « création » correspond donc bien à un second temps et en ce sens « Dieu » s’apparenterait à un charognard qui se sert de ce qui est déjà là, qui préexiste et ce « chaos », c’est le vivant.
Le travail de ces deux poupulations doit être distingué. Le charognard explore tout ce qui est resté à l’abandon – il n’a plus qu’à se servir – alors que le vrai chasseur, le vrai prédateur est à l’affut d’une proie en mouvement. Il peut mettre beaucoup de temps pour y parvenir et ne saurait se contenter de ce qui traine ici et là et se présente inerte sur son chemin. On aura compris que les motivations ne sont pas les mêmes et que le ressenti des uns ne sera pas celui des autres. Le charognard ne connaitre pas le plaisir d’un contact premier avec un réel sauvage, il devra se contenter de ce qui a déjà été défloré. L’avantage pour le charognard, c’est qu’il a devant lui un champ illimité de possibles, puisqu’il a mis la barre plus bas alors que le prédateur devra se surpasser pour vivre l’expérience du « premier contact », de la première fois. Le charognard est condamné à n’arriver qu’au second rang.
JHB
18 09 21
jeudi 16 septembre 2021
jacques Halbronn Les prophétes Ezékiel et Jérémie comme source du Ecoute Israel: DABER? KOTEV, SHOMEA
Jacques Halbronn les prophétes Ezékiel et Jérémie comme source du Ecoute Israel: DABER, KOTEV, SHOMEA
Il importe de bien prendre la mesure du Ecoute Israel qui est caractéristique du syncrétisme judaique.
Il est clair qu'Eézkiel ne s'adresse pas à la maison de Juda mais bien à la maison d'Israel
Dans Ezéchiel, ch. III, on emploie le même terme que dans le "Shéma Israel" à savoir le mot "Devarim". C'est sous cette appellation que l'on désigne dans la tradition hébraique les Dix Commandements, Asséret Hadibroth.
"Fils de l'homme, debout! Va auprès de la maison d'Israël et communique-leur mes paroles."
L'on traduit en français par "commandements" par l' hébreu est bien "ehayou hadevarim ha'èlè
acher Anokhi metsavekha hayom al levavekha C'est le verbe DABER qui se retrouve dans les deux passages.
Que les commandements que je te prescris aujourd'hui
soient gravés dans ton cœurc
ב כִּי זֹאת הַבְּרִית אֲשֶׁר אֶכְרֹת אֶת-בֵּית יִשְׂרָאֵל אַחֲרֵי הַיָּמִים הָהֵם, נְאֻם-יְהוָה, נָתַתִּי אֶת-תּוֹרָתִי בְּקִרְבָּם, וְעַל-לִבָּם אֶכְתְּבֶנָּה; וְהָיִיתִי לָהֶם לֵאלֹהִים, וְהֵמָּה יִהְיוּ-לִי לְעָם. 32 Mais voici quelle alliance je conclurai avec la maison d'Israël, au terme de cette époque, dit l'Eternel: Je ferai pénétrer ma loi en eux, c'est dans leur coeur que je l'inscrirai; je serai leur Dieu et ils seront mon peuple.
Ce texte du Shéma est également à rapprocher de Jérémie XXXI à propos de la Nouvelle Alliance: 3C'est dans leur coeur que je 'inscrirai" C'est le verbe KOTEV qui se retrouve dans les deux passages
On parlera de syncrétisme quand les utilisateurs de ces textes n'ont plus conscience de l'origine et de l'enjeu à la base. Ezékiel s'adresse aux ennemis de la maison de Juda et rappelons que Jésus déclare être venu uniquement pour les brebis perdues de la
maison d'Israel. Que le mot ISRAEL en soit arrivé à désigner de nos jours les juifs est source de bien des confusions car l'on interpréte les propos d'Ezékiel comme s'adressant aux Juifs!!!
On notera l'accent mis sur le Verbe SHOMEA écouter dans Ezékiel Ch3 "Ils ne veulent pas m'écouter"..
ז וּבֵית יִשְׂרָאֵל, לֹא יֹאבוּ לִשְׁמֹעַ אֵלֶיךָ--כִּי-אֵינָם אֹבִים, לִשְׁמֹעַ אֵלָי: כִּי כָּל-בֵּית יִשְׂרָאֵל, חִזְקֵי-מֵצַח וּקְשֵׁי-לֵב הֵמָּה. 7 Mais la maison d'Israël ne consentira pas à t'écouter, car ils ne veulent pas m'écouter; car la maison d'Israël tout entière a le front rétif et le coeur endurci.
Signalons que le Deutéronome, le cinquiéme de Pentateuque - commence par "Devarim" et est désigné ainsi dans la tradition juive
א אֵלֶּה הַדְּבָרִים, אֲשֶׁר דִּבֶּר מֹשֶׁה אֶל-כָּל-יִשְׂרָאֵל, בְּעֵבֶר, הַיַּרְדֵּן: בַּמִּדְבָּר בָּעֲרָבָה מוֹל סוּף בֵּין-פָּארָן וּבֵין-תֹּפֶל, וְלָבָן וַחֲצֵרֹת--וְדִי זָהָב. 1 Ce sont là les paroles que Moïse adressa à tout Israël en deçà du Jourdain, dans le désert, dans la plaine en face de Souf, entre Pharan et Tofel, Labân, Hacéroth et Di-Zahab.
La confusion dans les esprits vient du fait qu'il est ici question de Moise s'adressant à Israel, ce qui se retrouve dans le Livre de l'Exode. Cela tient au fait que le Pentateuque est largement constitué, selon nous, d'un narratif marqué par les tenants de la maison d'Israel. Le rôle de l'approche "régénérative" est de remédier aux effets du syncrétisme.
JHB
16 09 21
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lundi 13 septembre 2021
Jacques Halbronn Saturne équinoxial comme clef du christianisme et de la Shoah
Jacques Halbronn Saturne équinoxial comme clef du christianisme et de la Shoah
On trouvera deux illustrations marquantes du climat équinoxial par lequel passe Saturne, la moitié du temps, l’autre moitié étant solsticiale, ce qui n’est pas sans nous faire penser à l’accord conclu entre Cérés et Pluton à propos de Proserpine divisant l’année en deux parts égales;
Wikipedia
Proserpine , » passe six mois aux Enfers, le chagrin de Cérès causant la mort des plantes sur la terre (ce qui symbolise notre automne et notre hiver), puis six mois avec sa mère, la joie de celle-ci redonnant vie aux cultures (ce qui correspond à nos printemps et été). »
L’équinoxe tend à abolir toutes les différences tant dans la verticalité que dans l’horizontalité. C »est en analogie avec l’aube et le crépuscule, ce qui rend les perceptions indistinctes.
L’idéologie du christianisme nous semble bien correspondre à l’équinoxialité en télescopant les hiérarchies tant entre les hommes qu’entre les dieux car Jésus reléve selon nous de plusieurs statuts de divinité, il est dans le « en même temps ».
Si l’on passe au XXe siècle, l’on trouve l’événement de la Shoah, de l’Holocauste qui se déroule pendant une période équinoxiale de Saturne et l’on peut supposer que certains textes de (saint) Paul auront été maqués au sceau d’une période équinoxiale (cf Epitre aux Galates, aux Hébreux etc)
Dès 1939, Saturne passe sur le point vernal, à 0° Bélier et la « solution finale » sera mise en oeuvre en 1941 Saturne passera à 0°cancer, donc en phase solsticiale, en juillet 1944, et c’est la fin du rêve européen si ce n’est que 7 ans plus tard, l’Union Européenne commencera à se mettre en place (1957 Le traité de Rome), ce qui réalise en quelque sorte, sous d’autres modalités, la configuration de la phase équinoxiale précédente.
Ce passage équinoxial de 1941 sera fatal pour les Juifs tout comme, dans un autre registre, l’émergence du christianisme. On aura compris que les Juifs sont plus favorisés par la solsticialité qui conforte les repéres et les clivages que par l’équinoxialité.
On notera que la Guerre des Six Jours en 1967 éclate au moment où Saturne passe en bélier, soit un cycle complet de Saturne après la Solution finale déclenchée en 1941 et la survie de l’Etat d’Israel aura certainement été en jeu à ce moment là.
On terminea en précisant que les configurations astres, en anthropocosmologie, ne permettent pas de connaitre à l’avance comment elles se traduiront exactement dans les faits. Il faut un Hitler ou un Nasser pour que les choses prennent telle ou telle tournure. Autrement dit, ce n’est aucunement la « rareté » d’une configuration qui déterminera la gravité d’un événement, ce qui peut tenter les astrologues qui se servent des planétes au delà de Saturne. C’est là une regrettable dérive.
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vendredi 10 septembre 2021
mercredi 8 septembre 2021
mardi 7 septembre 2021
lundi 6 septembre 2021
Jacques Halbronn Les Dix Commandements ou le Manuel du converti
Jacques Halbronn
Les Dix Commandements ou le manuel du converti.
Quelle est la véritable portée de ce qu'on appelle les Dix Commandements? On ne peut selon nous les dissocier du "Ecoute Israel" tant ce texte y renvoie et à qui s'adresse-t-il sinon à un certain "Israel"? On retrouve d'ailleurs cette référence dans l'Evangile selon Marc Ch.12
29. Jésus répondit: "Voici le premier(commandement) : Écoute, Israël, le Seigneur, notre Dieu, est l'unique Seigneur"
Cela ne devrait point surprendre dans la bouche de celui qui déclarait:
Matthieu 15:24 " Je n'ai été envoyé qu'aux brebis perdues de la maison d'Israël"
Dans l'Epitre aux Hébreux, c'est le texte de Jérémie qui est repris (Ch XXXI)
".Je mettrai Mes lois dans leurs cœurs, Et Je les écrirai dans leur esprit… », ce qui reprend le texte du Ecoute Israel.
On voit bien que Jésus s'adresse à une population qui n'est ni celle des Juifs, ni celle des pâiens mais à une société en marge du monde juif, qui est celle des Israélites. C'est là une distinction qui échappe à beaucoup de commentateurs qui ne comprennent pas un tel statut intermédiaire.
Autrement dit, les Dix Commandements seraient indissociables du " Shéma Israel" et cette injonction se retrouve dans plusieurs passages des livres "prophétiques" de l'Ancien Testament. En aucune façon, ce sont les Juifs qui sont ainsi interpellés!
Les recommandations qui leur sont faites visent une société jugée corrompue, comme celle des Israélites, qui se sont rebellés contre la maison de Juda, à la mort du roi Salomon et qui ont introduit leurs croyance au sein même du Pentateuque et notamment du Livre de l'Exode où il est constamment question des "fils d'Israel"; (Beney Israel). Certains objecteront, non sans une certaine dose de naiveté, que le Livre de l'Exode traite d'une époque antérieure au temps de Salomon. C'est vouloir ignorer le processus de l'antidatation qui est la clef de la rhétorique prophétique!
Si l'on étudie les Dix Commandements, l'on perçoit en creux qu'on est dans Sodome, face à une société corrompue/ Que l'on pense au dialogue de Dieu avec Abraham à propos de l'absence de "Justes", de tsadiqim (Livre de la Genése)
comme celle des Israélites et qui va devoir se repentir, ce qui est à la base de l'enseignement "chrétien" de Jésus.
Ce serait une insulte que d'adresser de tels commandements aux membres de la maison de Juda et la référence à l'Egypte et donc au Livre de l'Exode est, comme on l'a dit plus haut, suspecte. Est il besoin de rappeler à un Judéen "Tu n'auras pas d'autre Dieu que moi". ou le respect du Shabbat? Quant à la convoitise de la femme du prochain, qui se voit interdite, de quelle société peut-il bien s'agir sinon de Sodome? En fait, aucun de ces commandements ne fait sens pour un Juif qui se respecte tant ils relèvent de l'évidence. C'est donc bien aux gens de la maison d'Israel que cette liste s'adresse, à ceux qui voudraient s'amender, se corriger.
Je suis l'Eternel, ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Egypte, de la maison de servitude.
Tu n'auras pas d'autre Dieu que moi.
Tu ne prononceras pas le nom de Dieu en vain.
Souviens-toi du jour du sabbat.
Honore ton père et ta mère.
Tu ne tueras point.
Tu ne commettras pas d'adultère.
Tu ne voleras point
Tu ne feras pas de faux témoignage.
Tu ne convoiteras ni la femme, ni la maison, ni la terre, ni rien de ce qui appartient à ton prochain.
On ne s'étonnera donc point que le Ecoute Israel récité à la synagogue ne mentionne pas explicitement cette liste insultante à la dignité/ Cette liste ne vaut que pour un public d'Israelites repentis (qui ont adoré le Veau d'Or(Exode) alors qu'elle est gravée dans toutes les synagogues sur des "tablettes" murales.
Il reste que le texte du Ecoute Israel ne mentionne pas ou plus les Commandements: il faut se contenter d'une formule vague:
"Que les commandements que je te prescris aujourd’hui soient gravés dans ton cœur" Quels commandements? On attend la suite mais elle ne vient pas. Pourquoi? Probablement parce qu'elle mentionne des actes impurs!
Le simple fait de dire à quelqu'un "ne fais pas ceci", laisse entendre que cela pourrait se produire, qu'on peut le craindre. Rappelons que c'est Moise qui délivre les Dix Commandements aux "Benei Israel"
On aura compris qu'une telle situation ne peut plus durer. On ne peut tenir le même discours à deux populations de cultures et de moeurs différentes. Cela ne rime à rien:
L'on peut certes réciter le Shéma Israel en présence de ceux à qui cela s'adresse. Mais tout se passe comme si, ceux qui le récitent de nos jours, y voyaient le nec plus ultra de la spiritualité juive à moins que l'on ne nous explique qu'il n'est pas ici question du Décalogue. Mais dans ce cas, pourquoi dire "Ecoute Israel". On n'en sort pas!
Ce Shéma Israel nous fait penser à la prière chrétienne méprisante sur les Juifs "impies", qui a été abandonnée il n'y a pas si longtemps.
JHB
06 08 21
Jacques Halbronn : Saturne et le septénaire de la semaine. Planétes ou dieux?
Jacques Halbronn : Saturne et le septénaire de la semaine. Planétes ou dieux?
Question complexe que celle des relations entre Mythologie, Hémérologie, Astronomie et Astrologie ; 7 jours de la semaine dont les noms recoupent ceux des planétes connues de l'Antiquité mais qui appartiennent aussi à l'Olympe alors que d'autres dieux n'ont pas servi -et pour cause- à nommer les planétes du systéme solaire, du moins pas avant la fin du XVIIIe siècle.
En pratique, l'astrologie semble bel et bien et depuis longtemps, estimé que la mention des dieux renvoyait ipso facto aux planétes concernées/. Est-ce à dire que cela doit tenir compte de la position de la planéte "dans le ciel"? On peut en douter, notamment pour les jours de la semaine mais aussi pour diverses répartitions en termes et décans, notamment où l'on voit mal comment l'astronomie de position aurait son mot à dire. Le cas de Manilius est remarquable en ce qu'il attribue aux signes des noms de dieux qui ne correspondent pas nécessairement à ceux dont se sert l'astronomie/ D'où notre question : planétes ou dieux? Toute l'histoire de la littérature astrologique depuis au moins 2000 ans aura dépendu de la réponse.
L'enjeu est de taille dans la mesure où en dépend l'usage que l'astrologie a à faire de l'astronomie. Si ce sont des dieux dont il est question, pas besoin des services de l'astronomie. Le cas des domiciles des planétes est emblématique: plusieurs lectures sont envisageables du dispositif figurant dans la Tétrabible de Ptolémée (IIe siècle après JC). Soit l'indication des dieux-planétes renvoie à la réalité physique des astres, soit elle n'est qu'une répartition au même titre que les 4 Eléments ou les , entre autres, pour un alphabet comme clef de lecture d'un texte écrit. Mais, comme souvent, la pratique consensuelle en vigueur permettrait de passer outre à de telles interrogations.
Pour notre part, nous pensons que de tels dispositifs demandent pour fonctionner de disposer d'un curseur unique voué à subir des variations au cours de son périple, lesquelles variations ne relèveraient point de la position des planétes célestes associées au signe traversé mais des "symboles" mythologiques correspondant, ce qui est d'ailleurs le cas pour la symbolique zodiacale, quand le soleil passe du bélier au taureau, par exemple ou si l'on transpose de Mars à Vénus, non point en tant que planétes mais en tant que valeurs..
On en arrive, paradoxalement, à conclure que cette multiplicité de répartition de facteurs exigerait le recours à un vecteur unique. Mais ce n'est pas la conclusion à laquelle sont parvenus la très grande majorité des traités astrologiques, à travers les siècles, probablement d'ailleurs sous l'influence des astronomes voulant prendre l'astrologie sous leur coupe.
Il reste que le nombre de planétes ainsi circonscrit renvoie au 7, chiffre de la Lune et de Saturne et cela signifie que l'astrologie doit s'articuler sur ce nombre 7, soit les quart des cycles de la Lune et de Saturne. Mais seul Saturne est censé être l'interface entre les différents plans.
On nous objectera que la mythologie prévoit plus de 7 dieux. Il fallait bien faire un choix, certes. Mais Est-ce un hasard si les dieux qui sont "laissé pour compte" sont ceux qui furent avalés par leur père Kronos-Saturne comme si Saturne qui clôturait la série des 7 astres- comme étant le plus lent et le plus éloigné- avait fermé la porte à ceux qui voulaient en rajouter;
On peut aussi penser que les noms des jours de la semaine comme celui des sept "planétes" pourrait indiquer le caractère de chacune des 7 années du cycle saturnien, depuis le Soleil jusqu'à Saturne. La première année correspond au moment où Saturne passe sur l'axe équinoxial ou sur l'axe solsticial, soit les 4 signes dits "cardinaux" et la dernière année serait l'année "sabbatique", soit saturnienne. (on parle de "congé sabbatique" auquel on a droit tous les 7 ans.
Wikipédia:
"Le concept de « congé sabbatique » trouve son origine dans la pratique biblique de la shmita qui est liée à l'agriculture. Selon Lévitique 25, les Juifs vivant en Terre d'Israël doivent faire observer une pause d'un an à leurs champs tous les sept ans et les laisser en jachère (sens moderne : « gel des terres »). La shmita fait ainsi écho au shabath, la pause hebdomadaire que les Juifs doivent respecter une nuit et un jour en fin de semaine, où tout travail doit s'arrêter."
dimanche 5 septembre 2021
samedi 4 septembre 2021
vendredi 3 septembre 2021
Jacques Halbronn Critique de la notion de création associée au Dieu universel
Jacques Halbronn Critique de la notion de création associée au Dieu universel
Selon nous, le dieu "premier" n'est pas un "créateur". On le comparera à l'homme par rapport à la femme. Le créateur est celui qui travaille un matériau préexistant/ C'est le "sous dieu" qui peut être qualifié de "créateur" . Le sperme de l'homme n'est pas créateur, c'est la femme qui conduit le processus à son aboutissement "créatif".
Ainsi, le récit de la Genése sur la "création" renverrait à un dieu "féminin".; à un deus faber qui fabrique un monde limité qui est le notre, celui de notre Humanité, de notre Terre, de notre Ciel./
La création serait donc liée à un deuxiéme stade comme il ressort d'ailleurs du récit de la Genése ainsi réinterprété.
La création est liée à l'objet, à l'objectif, à l'objectivation, à un aboutissement alors que le "premier mobile" est pur élan, impulsion, ensemencement.
Notre humanité occupe un espace limité dans l'Univers et elle ne saurait être et avoir été l''oeuvre d'un Dieu "universel" et en ce sens notre humanité serait marquée par un amour, une élection, donc d'un horizon restreint, réduit, ce qui est propre au féminin. D'ailleurs, dans la Genése, il est indiqué que Dieu est dualité masculin et féminin et c'est la partie féminine qui aura créé notre monde.
Jésus est le produit du deuxiéme stade et en ce sens représente un troisiéme stade également créatif, mais à un niveau subalterne, se situant non pas dans la fabrication du monde mais dans la façon de l'habiter et de le préserver de la sclérose et de l'altération. C'"est le registre du politique.
C'est dire que les trois niveaux théologiques que nous avons décrits dans nos travaux depuis un certain temps sont souvent allégrement fondus et confondus en un seul.
Ce deuxiéme stade est généralement mal compris et on veut à tout prix l'assimiler soit au premier, soit au troisiéme stade alors que notre monde reléve bel et bien du deuxiéme stade. Et nous disposons de tout un encadrement de repéres visuels: depuis la planéte Saturne se joignant successivement et alternativement à quatre étoiles associées aux équinoxes et aux solstices, étoiles qui varient au rythme de la précession des équinoxes, dont les étoiles dites "royales" ont perpétué la marque mais bien évidemment, ces étoiles, on l' a dit, n'ont pu correspondre que pour un temps donné à l'alignement sur les axes équinoxiaux et solsticiaux. A ces repéres de temps, viennent s'ajouter des repéres qui structurent notre espace social comme la différence anatomique entre hommes et femmes ou celle entre les couleurs de peau.
En effet, ces repéres nous montrent que le temps n'est pas uniforme et que notre Humanité comportent des degrés, des strates qui apparaissent à l'observateur ou comme l'alternance des phases. Cette double approche, c'est l'anthropocosmologie.
Avec l'homme et la femme, l'on retrouve la dialectique des premier et deuxiéme stade et c'est en ce sens que notre humanité est à l'image, à la ressemblance de "Dieu". L'homme est doté d'un génie qu'exploite la femme en conférant une forme à ce qui n'est que matière..
JHB
03 09 21
jeudi 2 septembre 2021
mercredi 1 septembre 2021
Jacques Halbron Les emprunts abusifs. Linguistique, prophétique, astrologie.
Jacques Halbronn Les emprunts abusifs. Linguistique, prophétique, astrologie.
Posté par nofim le 1 septembre 2021
Jacques Halbronn Les emprunts abusifs. Linguistique, prophétique, astrologique.
On lui donne le doigt et il vous prend le bras :
On parle actuellement de « prêt abusif » de la part des banques mais il faut aussi parler d’emprunt abusif. Où se situe le seuil de l’abus? Dans le cas classique de l’emprunt linguistique, l’on peut ainsi penser que la langue anglaise aura au cours des siècles abusivement emprunté à la langue française au point de risquer de se substituer à cette dernière en proposant une quantité massive de mots français, le plus souvent recupérés tels quels au niveau orthographique. (cf nos mémoires de 1987 et 1989 (sur le plateforme SCRIBD), sous la direction de Louis-Jean Calvet, auteur ‘d’un « Linguistique et Colonialisme.; Petit traité de glottophagie, 1974) Le phénoméne du colonialisme nous semble relever de cette problématique de l’abus, tant chez l’émetteur que chez le récepteur. D’ailleurs le pillage tout comme le plagiat, appartiennent tout à fait à la catégorie de l’emprunt abusif, lequel s’apparente à une forme de mimétisme.
Nous voudrions ici illustrer notre propos en ce qui concerne les rapports Astrologie-Astronomie, lesquels s’inscrivent au coeur de nos travaux historiques. en mettant l’accent sur une dimension jusque là assez mal analysée et décrite. C’est ainsi que l’on peut lire couramment qu’Astrologie et Astronomie ont longtemps été très liées voire inséparable.
Comme en témoigne la présentation « classique » ci dessous trouvée sur la toile et qui mérite quelque commentair.
« Pour les Anciens, astrologie et astronomie étaient synonymes, les Grecs étant les premiers à les distinguer. Au IIème siècle, le savant grec Ptolémée rédige un véritable traité d’astrologie. La débarrassant des superstitions et des incohérences, il en fait une science rigoureuse, basée sur les observations astronomiques et les calculs mathématiques. »
Le texte en question est à l’évidence d’une admirateur de l’astrologie d’où des formules tout à fait excessives. Mais ce texte est révélélateur d’un amalgame délibéré visant à conférer à l’astrologie une aura « scientifique ». Or, nous sommes bien là face à cette notion d »emprunt abusif. Car en réalité,, comme d’ailleurs le note l’astronome Claude Ptolémée lui-même,(IIe siècle e notre ère) ces deux domaines n’offrent nullement les mêmes références, position qui sera reprise par un Eustache Le Noble dans son Uranie de 1697., qui comporte un traité d’astrologie.,
Certes, l’on ne saurait nier le fait qu’astrologie et astronomie ont entretenu quelque relation tout comme un maçon ou un sculpteur vont recourir à quelque matériau pour accomplir leur oeuvre. Toute la question est de déterminer quels sont les « vrais » besoins de l’astrologie pour ce qui est de l’astronomie sachant que comme on l’a vu plus haut il peut y avoir emprunt mais aussi prêt abusif plus ou moins complaisant. En effet, les astronomes, eux mêmes, peuvent avoir été tentés de renforcer les liens entre astronomie et astrologie, plaçant ainsi stratégiquement l’astronomie en position dominante. Dans ce domaine les « torts » peuvent être partagés.
La thèse que nous soutenons ici va, on l’aura deviné, à l’encontre d’une représentation véritable lieu commun- quant à la représentation de ‘Histoire de l’astrologie et c’est cette emprise de l’astronomie sur l’astrologie qui aura causé sa perte, qu’elle ait été le fait d’un prêt ou d’un emprunt/
Comme le montre Eustache Le Noble; ce sont les astronomes et non les astrologues qui ont « baptisé » les constellations zodiacales et les planétes, et ce non pas dans l’intention d’accorder à ces dénominations quelque signification distinctive. Cela reléve d’un méta-langage et ce rite aura repris de plus belle au XIXe sièclel avec la découverte de planètes et d’astéroïdes qui seront dotées des noms des dieux de l’Olympe non encore utilisés pour ce faire dans l’Antiquité. Il est évident que ce ne sont pas les astrologues qui auront été consultés pour appeler Cérés (1801) ou Neptune.(1846)
Pour en revenir au traité de Ptolémée, cité plus haut; on s’intéressera aux développements qui s’y trouvent quant aux relations planétes-siignes, qui sont souvent désignées comme « Dignités » (cf Article Wikipedia Dignités planétaires) Nous avons récemment montré que le dispositif ainsi exposé est tardif et qu’il avait été altéré. Nous en avons proposé une reconstitution mettant en évidence le fait que la planéte Saturne ne figurait pas initialement dans le dispositif des « maîtrises » et que les domiciles et les exaltations présentaient deux séries de six planétes (Soleil Lune Mercure Vénus, Mars et Jupiter) de six signes et nous avons signalé que l’on retrouve le même cas de figure dans le Sefer Yetsira (Livre de la Création, de la Formation) D’ailleurs, il est clair que le 6 convient mieux au 12 que le 7.. Cet ajout de Saturne se retrouve entériné dans le nom des 7 jours de la semaine encore largement en vigueur de nos jours.
Comment expliquer ce statut spécial de Saturne absent de la disposition première? L’explication est la suivante: Saturne joue le rôle e
curseur universel et l’on ne peut être à la fois au four et au moulin. Saturne est LA planéte dont l’astrologie a besoin pour fonctionner, les autres planétes restant au stade de symboles permettant de baliser et structurer sa révolution de 28 années terrestres, c e qui divisé par 4 (saisons) produit le 7.. Manilius, d’ailleurs un peu avant Ptolémée dans son Astronomicon, attribuait aux 12 signes des noms de dieux dont plusieurs ne correspondaient point à des planétes. On voit donc que la Tétrabible fournit une version corrompue des « Dignités » et nous sommes bien ici en présence d’un prêt abusif de la part de l’astronomie,, d’un cadeau empoisonné. Au lieu de se contenter de Saturne, les astrologues furent incités à se servir de tout ce que l’astronomie avait à leur offrir/? De là serait née cette fable sur la nature des relations étroites entre astrologie et astronomie/
Le cas du Soleli, en astrologie, est de nos jours assez comparable à celui de Saturne puisque le signe de naissance est fixé par la position
du Soleil dans le zodiaque lors de la naissance. On voit ici que l’astrologie n’a besoin pour fonctionner que d’un seu » « curseur universel ». et d’ailleurs cette astrologie est rejetée par les astrologues qui entendent profiter pleinement et extensivement de tout ce que l’astronomie a à leur offrir. Mais ce sont ces derniers qui sont dans l’erreur et dans l’emprunt abusif, étant plus royalistes que le roi.
Selon nous, il serait temps de renoncer à de tels abus, de part et d’autre , ce que n’a pas compri depuis un demi-siècle un Jean Pierre Nicola désireux d’iintégrer tout le système solaire jusqu’à Pluton dan le clavier astrologique (cf le systéme RET). Le prêt abusif aura généré de faux besoins chez les astrologues qui se seront échiné à distribuer des significations spécifiques à chaque planéte, y compris aux planétes « transsaturniennes »/
Nous pensons que de façon plus ou moibs subconscunte ce sont ces comportments abusifs qui aurnt pourri les relations entre astronomes et astrologues alors même que certains astrologues mettent un point d’honneur à exploiter les données astronomiques quitte à se surendetter et à proposer un savoir boursouflé, . Comme écrit André BArbault, puisque a carte du ciel existe, il faut bien lui trouver quelque application (cf De la psychanalyse à l’astrologie, Paris Seuil, 1961) tout comme l’obtention d’un crédit à la consommation entretint des tentations. ce qui débouche sur un cercle vicieux. L’astrologie- devenue monstrueuse- se retrouve gavée, gonflée, saturée d’astronomie. Au lieu d’être axé sur un modéle cyclique simple, avec des périodes universelles de 7 ans, elle se retrouve dotée d’une typologie à 12 signes se substituant aux clivages de sexe et de race, et/ou ‘d »une carte du ciel individuelle qui la mettent en porte à faux avec les sciences humaines..
JHB
01 09 21
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