vendredi 29 août 2025

jacques halbronn Linguiustique Contribution à la recherche/description étymologique. Problématique des préfixes

jacques halbronn Linguiustique Contribution à la recherche/description étymologique. Problématique des préfixes Le présent texte fait suite à celui que nous avons récemment consacré à la théorie générale des affixes. Il apparait que les travaux consacrés à l'étymologie des verbes ne prennent pas suffisamment en compte la signification des préfixes et se contentent d'une approche sémantique en aval. Les préfixes "ent", "ver" 'for" dans les langues d'origine germanique, sont, en principe, correspondre au français é, i, "dé"-dis Ainsi verschwinden est à rapprocher de évanouir, vers valant pour "é" (ex). Quid de verstehen qui se traduit par "comprendre" en français alors que ver est un préfixe privatif et "com" un préfixe inclusif? En allemand, "stehen bleiben" indique de la stabilité, un statu quo, une position immobile (contraire de mobile) Le "ver" est donc a priori voué à mettre fin à une position établie, ce qui n'est pas loin du doute cartésien, comme "ent". Quant à l'anglais "understand" également traduit en français par comprendre, le verbe "stand" équivaut à l'allemand "stehen" alors que under diffère de "ver". Prenons le cas de développer, il est le contraire d'envelopper. Ce qui signifie sortir d'un enveloppement, d'un blocage. En allemand, entwickeln. sur le web; "En allemand, Entwicklung « développement » se relie au verbe wickeln « enrouler, envelopper », lui-même du germanique wicke « mèche, tresse, charpie », qui rejoint l'idée de la paille." cette explication est confuse car elle ne souligne pas l'opposition entre développer et envelopper en passant à côté du blocage propre à "envelopper,", le préfixe "en"(in, contraire de ex) indiquant un processus d'englobement! Sur le web '1. Vx, rare, Ôter ce qui enveloppe (quelque chose) de manière à en étaler le contenu. Développer un paquet. Synon. déballer, défaire, ouvrir; anton. emballer, envelopper.Il eut à peine le temps de développer le paquet, que déjà elle était revenue (Martin du G., Thib.,Belle sais., 1923, p. 876). 2. P. méton. Étendre, étaler. Nous avons là deux exemples (ver-stehen, dé-velopper) d'étymologies généralement déconnectées par rapport à leur préfixe privatif d'ôter, de soustraire/ Il 'agirait donc de restituer avec de tels préfixes, l'idée de déblocage qui n'est pas immédiatement perçue avec "comprendre" (prendre avec, ajouter, accepter) Dans le cas de verboten (anglais forbiden), il s'agirait d'un contre ordre, bieten signifiant ce que l'on demande/commande/ Wzb: "Traduction de "abide" en français · respecter · se conformer · demeurer · se soumettre · supporter · observer · rester · obéir." web Old English forbeodan "forbid, prohibit" (past tense forbead, plural forbudon, past participle forboden), from for- "against" + beodan "to command" (from PIE root *bheudh- "be aware, make aware"). Common Germanic compound (compare Old Frisian forbiada, Dutch verbieden, Old High German farbiotan, German verbieten, Old Norse fyrirbjoða, Swedish förbjuda, Gothic faurbiudan "to forbid"). Cette présentation ne met pas assez en évidence le fait que forbid (ce qui est mis "hors" (fuori (italien), fuera (espagnol), forain/foreign (français, anglais Foreign Affairs) s'oppose à bide. tout comme interdire devrait s'opposer à "dire"/ En fait, cela signifie "contredire", contre ayant été confondu avec "entre" Ainsi, understand aurait le même sens que verstehen si l"on saisi que under est mis pour "contre" Mais le préfixe "inter" du français (interdire) vaut ici pour "contre", ce qui explique que 'l'on soit passé en anglais à "under" On notera la similitude entre "inter" et l'allemand "ent" qui dériverait de "inter". Forbid s'oppose à abide. En conclusion, l'on n'aura généralement pas rendu la dimension privative des préfixes : dé, ent, inter. De telles carences d'analyse sont selon nous symptomatiques d'une certaine déperdition de la dialectique, à savoir que toute action comporte son opposé alors même que les préfixes privatifs impliquent que l'on détermine à quoi ils s'opposent. JHB 29.0 25

lundi 25 août 2025

jacques halbronn Linguistique Nouveau projet de description diachronique du français. Rôle central du verbe avoir

jacques halbronn Linguistique Nouveau projet de description diachronique du français. Rôle central du verbe avoir Dans une précédente étude, nous avions souligné toute l’importance qu’il convenait d’accorder à l’auxiliaire avoir dans la conjugaison française du passé et du futur, avec dans un cas un rôle préfixal ‘ce qui vient avant, qui précéde, et dans l’autre un rôle suffixal (ce qui vient ) Mais des recherches ultérieures ont mis en évidence que ce rôle était encore plus ample que nous l’avions envisagé à condition de ne pas s’en tenir à la situation actuelle de cette langue, en adoptant une approche diachronique, au coeur de notre méthodologie. Nous avions signalé un certain nombre d’anomalies dans la pratique des codes de passage de l’écrit à l’oral, français, en particulier en ce qui concerne la troisiéme personne du pluriel, tant en présent qu’en imparfait de l’indicatif. Il chante/ils chantent, il chantait, ils chantaient. Rappelons que la troisiéme personne du pluriel du verbe avoir est en « ont » (ce qui vaut aussi pour l’auxiliaire être: ils ont, ils sont)¨On trouve ce suffixe « ont » dans des verbes comme « font ». Selon nous, au départ, la troisiéme personne du pluriel avait bien ce suffixe « ont », ce qui donnerait ils chantont et non ils chantent, ils chantiont et non ils chantaient.,tout comme vous chantez donne à l’imparfait vous chantiez (cf La Cigale et la fourmi) La diphtongue nasale « on » se retrouve à la première personne du pluriel de l’indicatif présent mais aussi de l’imparfait : nous mangeons, nous mangions (avec le i intercalé). On retrouve le même phénoméne en italien avec le suffixe en « o » tant pour la première personne que pour la troisième personne du pluriel. Ce n’est pas le cas en espagnol, où seule la première personne du pluriel est dotée d »‘un suffixe en « o ». Comment expliquer la disparition du suffixe en o en français moderne. pour marquer la troisiéme personne du pluriel, hormis le cas des auxiliaires et du verbe faire ‘ils font » dont on sait qu’il est assimiable à un auxiliaire comme l’atteste l’anglais avec son usage du « do » (notamment, pour les formes interrogatives et négatives) alors même que la forme « ont » est attestée pour marquer le futur (ils mangeront mais « ils mangent; ils mangeaient? Nous avons montré que le français jouait à l’oral, sur la suppression et l’addition de consonne pour marquer le passage du masculin au féminin : petit/petite et l’on sait que l’écrit a pu s’aligner sur l’oral comme dans le cas du participe passé de la première conjugaison, avec le rôle imparti à l’accent: manged devenant mangé., selon notre reconstitution, à partir de l’emprunt anglais au français, ce qui donne aimée au ieu d’aimede. Dans le cas qui nous interpelle ici à propos de la troisiéme personne du pluriel de l’indicatif présent et imparfait, on est en droit de penser que la prononciation de cette forme diphtonguée du O était tombée en désuétude à l’oral, ce qui aura fini par impacter l’écrit. la forme en « ent » étant réputée « muette ». Cela expliquerait qu’en anglais, la première et la deuxième personnes du singuler ne se distinguent pas quand on passe au pluriel. I sing, We sing, ce qui conduit à une forme de neutralité comme dans le cas du traitement de l’adjectif et du participe non impactés par les marqueurs de genre. ,l JHB 28 08 25

samedi 16 août 2025

jacques halbronn Sociolinguistique L'anglais, prophétie annoncés pour une langue déchue

jacques halbronn Sociolinguistique L'anglais, prophétie annoncés pour une langue déchue Le XXIe siècle sera-t-il fatal pour le régne de la langue anglaise? Nous pensons pouvoir annoncer son abandon au cours des prochaines décennies, en un siècle qui sera de plus en plus marqué par l'IA car l'anglais ne fait vraiment pas le poids au prisme des exigences de rationalité, de cohérence, par rapport au français qu'il aura remplacé indument, tout en étant d'ailleurs considérablement marqué, par les emprunts (lexique, calque, affixes). Il serait extrémement surprenant que l'anglais puisse survive entre langue mondiale de la planéte Terre au delà de 2050. Cela dit, il faudra que le français accepte un certain toilettage pour retrouver la place qui lui revient et qui fut la sienne des siècles durant de Londres jusqu'à Moscou. De nos jours, l'anglais est devenu la langue d'une puissance dominamte, les Etats Unis d'Amérique et seul un français réformé sera en mesure de lui tenir tête et être à la longue préféré et finalement imposé. Dans les années 1987-95, nous avons présenté divers mémoires sur le sujet non sans rencontrer des obstructions (par les rapports négatifs de MM. Frédéric François et Haim Vidal Sephiha nous empêchant de parvenir à la soutenance, bien qu'approuvés par notre directeur Louis- Jean Calvet (Université Paris V) JHB 16 08 25

jacques halbronn Linguistique. Essai de théorie générale des affixes

jacques halbronn Linguistique. Essai de théorie générale des affixes La thèse que nous proposons, dans la continuité tardive de nos précédents travaux, produits sous la conduite de Louis Jean Calvet(né en 1942) et achevés respectivement, il y aura une quarantaine d'années, en 1987 et 1989 (Université Paris V), est axée sur la dialectique de l'écrit et de l'oral et notamment sur le phénoméne du Shewa. sur le web Calvet " apporte un témoignage critique sur son parcours à la fois humain et scientifique. Il met ainsi en perspective avec les débats actuels sur la sociolinguistique, sa biographie langagière, les motivations de son orientation scientifique -sociolinguistique-, ses choix méthodologiques, et, plus avant, requestionne avec Thierry Bulot, quelques-uns des axes majeurs de ses travaux: la glottophagie, l’écologie des langues, les liens entre langue(s) et signe(s), la chanson, la sociolinguistique urbaine, les politiques linguistiques… Tout cela sur le ton libre de la conversation et avec le souci de rendre des propos complexes accessibles au plus grand nombre, comme à chaque production (écrite ou orale) de Louis-Jean Calvet." Selon nous, il s'agit de passer de la linguistique saussurienne binaire (signifiant/signifié) à une approche ternaire, triangulaire (signifiable, signifié,signifiant), le "signifiable" correspondant à un stade neutre, polysémique, polyphonologique. Selon nous, les affixes relévent de l'oralité, en ce qu'ils viennent encadrer le stade écrit du signifiable en tenant compte de la contextualité. C'était, au départ, à l'oral qu'étaient censés intervenir les affixes dans toute leur diversité : déclinaison, conjugaison, articles, pronoms etc. se plaçant devant ou à la queue du "radical", qu'ils soient ou non "collés", "soudés" à celui -ci, ce qui relévera de l'usage du "shewa" charge de faire, de renforcer et en quelque sorte occulter la jonction. Quand, en français, à l'oral, l'on dit " tu verras l'chemin", l'article défini débouche sur une "liaison" de consonnes "L'Ch. Mais l'oral aura déteint sur l'écrit, d'où les apostrophes ("L'amitié" et les accents. Le futur , en français, pratique couramment le shewa à partir de l'infinitif, que nous qualifions de "neutre" manger à l'écrit donne à l'oral mangerai, à prononcer mang'rai. SElon nous, l'on aura voulu aligner l'écrit sur l'oral, estompant ainsi la conscience de la dialctique dont il s'agit ici. Cela conduit de facto à un double régime: tantôt le locuteur voit son passage de l'écrit à l'oral balisé par avance, soit -comme dans l'exemple précédent- il lui reviendra la tâche d'accomplir le travail complémentaire. Dans l'enseignement scolaire du français (FLE, notamment), une telle option ne nous semble pas explicitée comme il conviendrait. Nous pensons redéfinir ainsi le rôle du shewa. Dans la phrase présentée plus haut "sur le chemin", l'on confond le premier " e" qui assure une fonction "affixale" lien entre l'article défini et un radical et le second qui selon nous n'a pas pas à être réalié car il ne sert à rien. On doit dire "l'chemin" et non "lech"min", le e de chemin est un faux Shewa. Dans le cas du démonstratif masculin, le "ce" vient se coller sur le radical : ce livre devient "c'livre" à l'oral, même s'il n'y a pas d'apostrophe, laquelle n'a pas de raison d'être à l'écrit, comme on s'en est expliqué. (cf jacques halbronn Linguistique. La pratique du Shewa) . En français, le shewa joue un rôle central comme marqueur de genre: petit (masculin) et petite ('féminin). Au stade neutre, le mot n'a pas à être prononcé mais seulement épelé. Le mot écrit basculera à l'oral selon le contexte; En ce sens, nous qualifierons le français de "langue contextuelle" et en quelque sorte "quantique" (cf Shroediger), on y gère l'indétermination.(Heisenberg) Si l'on prend le cas de l'allemand avec le "neutre" Klein (petit), il existera au féminin (kleine) avec e et au masculin sans e comme en français si ce n'est que Klein implique qu'au masculin, il y aura diphtongaison, laquelle ne sera pas réalisée au féminin, ce qui maintiendra le "n" final disparu, phonologiquement au masculin. Ce qui nous améne à constater la perte des codes de prononciation permettant de connecter valablement l'écrit et l'oral. Abordons donc la question des traditions orales dans l'histoire des langues. L'énfant est confronté à l'oral avant d'aborder l'écrit dans un second temps, ce qui vaut notamment pour les langues sémitiques lesquelles à l'écrit ne fournissent pas les voyelles, ce qui correspond bel et bien au schéma que nous avons décrit (cf l'affaire du tétragramme). On ne sait pas de nos jours comment on "parlait" l'hébreu, probablement tout autrement que ce qui se passe en "hébreu moderne". L'arabe semble avoir moins perdu le contact avec sa tradition orale du fait d'une Histoire moins chaotique. C'est ainsi, le pronom personnel de la seconde personne du singulier 'ant en arabe et en hébreu אַתָה (prononcé "ata") le "n" a disparu en hébreu mais l'arabe a perdu sa diphtongaison tout comme l'allemand. Il est courant que le "n" ne soit plus réalisé, comme c'est le cas en espagnol, autre langue matin mais plus corrompue que le français lequel aura su généralement, préserver ses diphtongues (cas du tildé) sur le web: 1. Signe en forme de S couché (˜) qui se met au-dessus du n, en espagnol, lorsqu'il se prononce [ɲ] (ex. España). 2. Signe utilisé en transcription phonétique pour indiquer une prononciation nasale (ex. [ɛ̃] notant ain, in, ein). " Mais si l'on prend la première personne du pluriel en français et en espagnol, on observera le 'Allons" (Marseillaise) d'un côté et le Vamos de l'autre avec perte du "n" en espagnol et donc de la diphtongaison. Au départ, l'on devait rendre "Vamons" avec retour au tildé que l'on trouve au XVIe siècle dans la Préface à César (de Nostradamus, 1555) laquelle débute ainsi: Celui qui n'est pas initié ne rendra pas les trois nasales de la phrase: "Ton tard aduenemêt, Cesar Nostradame mon fils, m'a faict mettre mô long temps par côtinuelles vigilatiôs nocturnes" Un des écueils de l'emprunt est précisément lié à l'identification des affixes. C'est ainsi que les préfixes de l'arabe n'auront pas été séparés des radicaux auxquels ils étaient adjoints, on pense notamment à l'article défini, ce qui a donné des barbarismes. Il est clair que l'emprunt linguistique exige de séparer le radical de son cadre d'affixes. Inversement, l'anglais ne sera pas parvenu à séparer les suffixes des radicaux, ce qui aura donné indicate (à partir d'indication), communicate, accentuate, separate, evacuate, appreciate etc alors que la forme en "ate" est suffixale. Ajoutons que certains affixes ont fait l"objet de calques : hors la loi devenu outlaw, hors service, out of service, hors de question et out of the question, hormis donnant without. A l'opposé de "hors", on dispose en français de "en", ce qui a donné enjoy, enforce, en power, enact. Or, un emprunt intelligent aurait su distinguer le préfixe "en" du radical "joie" en remplaçant le préfixe français par un préfixe "anglais". En principe, un affixe est un "Janus", comportant une dualité, d'où les notions de préfixes et de suffixe. Cette dualité apparait comme un outil incontournable - il faut toujours à capter une chose et son contraire". C'est le "up and down" de l'anglais, les "hauts et les bas" du français qui ne semblent pas avoir réussi à accéder au statut d'affixe à la différence de "re" et de "dé (dis)". ANNEXES AFFIXE, linguistique 7 articles ARTICLES AFFIXE, linguistique Écrit par Robert SCTRICK 382 mots Lors de l'inventaire des morphèmes d'un système linguistique, on est conduit à distinguer plusieurs sortes d'unités identifiables dans l'ordre phonétique et partageant la caractéristique de se rapporter au plan de la signification : parmi ces unités, les unes ont un contenu... CHAMITO-SÉMITIQUES LANGUES Écrit par David COHEN 2 753 mots – Affixation de morphème : par exemple,l'affixation d'un morphème, s, š, k ou ' selon les langues, au thème verbal lui confère une valeur « causative » ou « factitive » : akkadien kanâšu, « se soumettre », suknûšu, « soumettre » ; égyptien nfr, « être... DÉRIVATION, linguistique Écrit par Nicole QUENTIN-MAURER 302 mots 1. Formation de nouvelles unités du lexique à partir des morphèmes de base et obtenues par addition, suppression ou remplacement d'un affixe au radical du mot. La dérivation est dite impropre lorsque les mots reçoivent une valeur dérivée nouvelle sans modifier leur forme, mais en changeant... FLEXION, grammaire Écrit par Nicole QUENTIN-MAURER 44 mots Modification morphologique d'un mot variable par l'affixation à sa finale de désinences exprimant les catégories grammaticales. On parle également, par extension, de flexion interne en présence d'alternances internes au radical du mot. FRANCE (Arts et culture) - La langue française Écrit par Gérald ANTOINE , Jean-Claude CHEVALIER , Loïc DEPECKER et Françoise HELGORSKY 15 704 mots 2 médias ...réduire à ces emprunts, si visibles soient-ils. Les procédés de composition et de dérivation restent la source principale de renouvellement. Le système des affixes est en cours de redistribution : si -age, -on, -oir, re-, par exemple, paraissent moins productifs, les créations à partir de -isme, -ion,... MORPHOLOGIE, linguistique Écrit par Robert SCTRICK 323 mots Au sens étroit, la morphologie est la partie de la grammaire qui s'occupe de la formation des mots par adjonction d'affixes à des thèmes. En ce sens, morphologie s'oppose essentiellement à syntaxe, ce dernier champ étant l'étude des rapports entre les éléments de la phrase.... MORPHOLOGIE (psycholinguistique) Écrit par Séverine CASALIS et Pascale COLÉ 2 915 mots ...sens véhiculées par la langue, qui peuvent être soit des éléments libres, il s’agit des racines (« dent » dans « dentiste »), soit des éléments liés, les affixes (préfixes et suffixes) qui n’existent pas comme formes libres – et donc ne peuvent apparaître que combinés à d’autres –, mais véhiculent un sens... Encyclopædia Universalis JHB 16 08 25

jacques halbronn Anthropolinguistique; Une langue "saine" doit être f...

jacques halbronn Linguistique . Le phénoméne des calques comme mode ...