La misison des Juifs et le destin des femmes dans le Troisième millénaire
par Jacques Halbronn
fondateur du Centre d’Etude et de Recherche sur l’Identité juive (CERIJ, 1978)
Les deux derniers siècles ont ouvert de nouvelles perspectives à deux
populations, celle des femmes et celle des Juifs. Le progrès de leur
statut apparut comme le signe d’un progrès de civilisation, dès la fin
du XVIIIe siècle.et le destin des femmes Avec le recul, on peut penser
dresser un certain bilan autour de telles attentes. Certes, ces deux
populations offrent des différences considérables. Les femmes
représentent autour de la moitié de la population mondiale, soit
plusieurs miliards d’individus alors http://maqor.unblog.fr/2017/02/25/jacques-halbronn-la-mission-des-juifs-et-le-destin-des-femmes-dans-le-troisieme-millenaire/http://maqor.unblog.fr/2017/02/25/jacques-halbronn-la-mission-des-juifs-et-le-destin-des-femmes-dans-le-troisieme-millenaire/que les Juifs ne totaliseraient pas
plus de 20 milions de personnes.
Or, pour dire les choses carrément, tout se passe comme si avec 20
millions de représentants (dont la moitié de femmes, qui plus est), les
Juifs avaient pesé plus lourd que ces masses féminines en terme de
contribution majeur au progrès de l’Humanité. il y a urait là comme une
anomalie!
La « question juive » est apparue sous un jour tout à fait nouveau au
XIXe siècle en raison même de la « laicisation » des Juifs, souvent
bien éloignés de leurs pratiques ancestrales et synaogales. Cela a
conduit au demeurant à la confection de la contrefaçon- à l’approche du
XXe siècle, des Protocoles des Sages de Sion, visant à montrer qu’en
dépit des apparences, les juifs n’avaient pas foncièrement changé et
étaient restés aussi hostiles au christianisme qu’à l’époque talmudique.
(ct notre ouet le destin des femmesvrage Le sionisme et ses avatars au
tournant du XXe siècle, Ed Ramkat, 2002)
Au cours des 200 dernières années, le nombre de Juifs qui se sont
illustrés est considérable et il serait assez vain d’en dresser ici une
liste dont les fleurons les plus illustres restent peut être ceux de
Marx, Freud et Einstein, et ce par delà la question assez secondaire de
la conversion au christianisme de tel ou tel car loin de nous l’idée que
la croyance religieuse ait quoi que ce soit à voir avec le fait d’être
juif ou non. En revanche, l’on ne considérera pas le cas des personnes
converties au judaisme car ce n’est pas d’elles dont il s’agit ici pas
plus que de la récupération des thèmes juifs par d’autres religions
comme le christianisme ou l’Islam.
Quel sens doit-on accorder à cette hyper-présence juive au monde non
point sur le plan quantitatif – comme pour les femmes qui auront produit
une énorme quantité d’enfants, du fait de la baisse de la mortalité en
bas âge- mais sur le plan qualitatif et ce en dépit des persécutions
(pogroms dans la Russie tsariste des années 1880-1900) et des
exterminations (Shoah des années 1941-45),que ce soit en diaspora ou au
sein de l’Etat d’Israël, fondé en 1948?
Nous pensons qu’il y a là quelque forme de programation, fixée de
longue date, selon un certain calendrier que l’on peut être tenté de
connecter avec la théorie des ères précessionnelles (Ere du Verseau). La
théorie à laquelle nous adhèrons n’est pas celle d’un Paul Le Cour mais
plutôt celle esquissée par l’astrologue et compositeur
franco-américain, Dane Rudhyar (mort en 1985) lequel attachait de
l’importance au fait que l’étoile fixe Régulus était déhttp://maqor.unblog.fr/2017/02/25/jacques-halbronn-la-mission-des-juifs-et-le-destin-des-femmes-dans-le-troisieme-millenaire/sormais passé
-dans le cadre du zodiaque tropical- du signe du Lion à celui de la
Vierge. Pour notre part, nous sommes nés avec Mars à la charnière de ces
deux signes et donc en conjonction avec Régulus. Nous n’entendons pas
insister ici sur l’historique de cette théorie née justement à la fin du
XVIIIe siècle en France, notamment mais pas seulement avec un Charles
François Dupuis et son Origine de tous les cultes (cf notre thèse d’Etat
Le texte prophétique en France, sur le site propheties.it)
En tout état de cause, tout se passe comme si le peuple juif s’était
réveillé,un peu comme dans la Belle au Bois Dormant; d’une sorte de
sommeil métaphysique. Cela aura correspondu à la Révolution Française et
à cette émancipation des Juifs de France, appelée de ses voeux par
l’abbé Grégoire.
La sociologie nous apparait comme un domaine privilégié pour le génie
juif – de Marx à Durkheim et Mauss , jusqu’à Lévi-Strauss et Edgar
Morin. Car la sociologie est pour nous la conscientisation du
fonctionnement des sociétés et nous pensons que les Juifs ont mission de
conduire à la conscience les forces qui nous animent et bien entendu
cela vaut aussi pour la psychanalyse freudienne quand elle traite du
Complexe d’Oedipe en tant que constante de la condition humaine.
Mais on ne saurait appréhender un phénoméne quel qu’il le soit sans
le mettre en dialectique avec un autre,à savoir en l’occurence le
dossier de la condition des femmes. On a dit que la disproportion
numérique entre ces deux ensembles ne saurait nous en dissuader. Bien
plus, tous les arguments mis en avant par les femmes et leurs supporters
masculins, quant aux pesanteurs sociologiques expliquant la modicité et
la médiocrité de leurs réalisations individuelles – combien de noms de
femmes célébres retient-on sur deux siècles, par delà celles dont on
parle sur le moment et qui seront vite oubliées?- Si nous étions une
femme, nous éprouverions quelque amertume au vu des succés remportés par
tant de personnalités juives; et qui, à n’en pas douter, leur portent
ombrage et désamorcent l’argument des obstacles et des barrages et des
barrières sociaux. Pour les femmes, les Juifs sont un témoin génant de
leurs limites. Tout indique au contraire, en effet, que dans trente ans
s’ici 2050, le constat risque fort d’être le même, à savoir que les
femmes ne seront pas parvenues à franchir un certain « plafond de
verre » non point, selon nous, lié à une question conjoncturelle,
politique mais bien à une question structurelle, voire ontologique.
Il y aurait d’ailleurs selon une certaine répartition des rôles
ehttp://maqor.unblog.fr/2017/02/25/jacques-halbronn-la-mission-des-juifs-et-le-destin-des-femmes-dans-le-troisieme-millenaire/ntre l’entité « Juifs » et l’entité ‘femmes », les Juifs étant chargés
de faire bouger les représentations pour éviter la sclérose et les
femmes ayant vocation à assurer le bon déroulement d’une certaine
cyclicité automatique, liée d’http://maqor.unblog.fr/2017/02/25/jacques-halbronn-la-mission-des-juifs-et-le-destin-des-femmes-dans-le-troisieme-millenaire/ailleurs à certaines configurations
astrales (cf nos travaux sur l’astrologie alpha-oméga). Autrement dit,
les Juifs constitueraient le fer de lance du monde masculin face au
monde féminin marqué par la multipilcation, la reproduction et la
transmission. Face à la dynamique cyclique des femmes (cf le cycle
menstruel lié à la sexualité), on trouve une dynamqie linéaire, liée
sinon à la fin des temps, du moins à l’aboutissement, programmé de
longue date, d’un processus en train d’advenir depuis déjà un bon bout
de temps alors même que durant ces deux derniers siècles, les femmes ne
seront point parvenus à se rendre indispensables dans le palmarés des
plus grands génies de la musique, du cinéma, de la philosophie, des
sciences humaines tant et si bien que les femmes continuent à habiter un
monde masculin, se contentant au bout du compte à alimenter une courbe
démographique non maitrisée dont les effets économiques et écologiques
feront de plus en plus probléme.
C’est dire que les considérations théologiques et éxégétique des
Chrétiens et des néo-Chrétiens comme les Moonistes coréens, quant au
fait que les Juifs auraient démérité aux yeux de « Dieu » nous semblent
bien dérisoires au regard de l’Histoire contemporaine, laquelle confirme
de façon indéniable à quel point les Juifs ont une mission qui est
précisément en train de s’incarner sous nos yeux, et ce en dépit de la
machine infernale que fut la Shoah hitlérienne. Ce que l’on observe
relativise singulièrement les petits stratagémes visant à se substituer à
‘Israël », ce qui, il est vrai, est de bonne guerre.
Le peuple « élu » ne l’aura été que dans la perspective des enjeux
actuels et cela ne fait pas sens de le juger sur les périodes
antérieures ne visant qu’à en assurer la pérennité jusqu’à ce jour, ce à
quoi il sera bel et bien parvenu. C’est pour maintenant que l’élection
hébraïque fait sens et non pour ce qui s’est passé – vraiment ou
prétendument- avec Abraham, Moise ou Jésus. Les Juifs sont les gardiens
de cette flamme qu’est la Conscience qui se doit d’être toujours en
éveil alors que les femmes incarnent la Subconscience, c’est à dire
les affaires courantes, liées à des automatismes, ce qui nous conduit
d’ailleurs à les intégrer dans un ensemble incluant les machines,
lesquelles ne font qu’imiter ce qui était précédemment dévolu aux
animaux et aux auxiliaires domestiques. Cela dit, l’humanité ne saurait
être en permanence sur la bréche et périodiquement, il lui faut passer
en pilotage automatique.. Nul doute enfin que les Juifs aient à jouer
un rôle dans la formulation de l’astrologie de demain, l’ancienne
astrologie, bien sclérosée et corrompue, étant de nos jours défendue le
plus souvent par des femmes.
JHB
15 02 17
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