vendredi 25 février 2022

Jacques Halbronn Lingusitique. La question du verbe "être" dans les langues germaniques

Jacques Halbronn Linguistique La question du verbe « être » dans les langues germaniques La question du verbe « être » en anglais a de quoi déconcerter plus d’un . On nous dit que l’infinitif est « to be », expression bien connue dans le Hamlet de Shakespeare: to be or not to be. Mais normalement un infinitif se conjugue, se décline sous des formes qui en dérivent. Or, en anglais, le verbe être, quel que soit le pronom personnel utilis, ne restitue cette forme « be » qui semble bien unique en son genre si ce n’est qu’on la trouve en allemand dans « ich bin », » du bis, respectivement première et deuxiéme personne du singulier. Autant dire que ce « to be » est une impasse en anglais. Er par ailleurs, l’on trouve la forme « am » et « are », mais aussi « is » pour ce verbe avec les divers pronoms personnels: première personne du singulier et du pluriel, notamment. I am, We are etc/ Aborder l’anglais par le biais du « to be » est la pire façon qui soit car l’influence du français y est nulle, ce qui est assez exceptionnel! En revanche, pour le verbe ‘avoir », si on fait abstraction du « h » archaique, nous trouvons, have et en français, avons, avez. (en allemand, habe, haben). Avec « to be » l’anglais aura fait de la résistance à l’influence française, c’est l’exception qui confirme la régle. On trouve par ailleurs « being » à la forme progressive et pour désigner un être humain : a human being, On a aussi le participe « been » comme dans »has been ». IL est clair qu’une langue censée être parlée par toute l’Humanité ne peut continuer à perpétuer une telle situation. Il viendra un moment où cela ne sera plus tolérable. Le « to be » est en sursis! JHB 24 02 22

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