mardi 28 février 2017
lundi 27 février 2017
samedi 25 février 2017
jacques Halbronn La mission des Juifs et le destin des femmes dans le Troisiéme Millénaire
La misison des Juifs et le destin des femmes dans le Troisième millénaire
par Jacques Halbronn
fondateur du Centre d’Etude et de Recherche sur l’Identité juive (CERIJ, 1978)
Les deux derniers siècles ont ouvert de nouvelles perspectives à deux populations, celle des femmes et celle des Juifs. Le progrès de leur statut apparut comme le signe d’un progrès de civilisation, dès la fin du XVIIIe siècle.et le destin des femmes Avec le recul, on peut penser dresser un certain bilan autour de telles attentes. Certes, ces deux populations offrent des différences considérables. Les femmes représentent autour de la moitié de la population mondiale, soit plusieurs miliards d’individus alors http://maqor.unblog.fr/2017/02/25/jacques-halbronn-la-mission-des-juifs-et-le-destin-des-femmes-dans-le-troisieme-millenaire/http://maqor.unblog.fr/2017/02/25/jacques-halbronn-la-mission-des-juifs-et-le-destin-des-femmes-dans-le-troisieme-millenaire/que les Juifs ne totaliseraient pas plus de 20 milions de personnes.
Or, pour dire les choses carrément, tout se passe comme si avec 20 millions de représentants (dont la moitié de femmes, qui plus est), les Juifs avaient pesé plus lourd que ces masses féminines en terme de contribution majeur au progrès de l’Humanité. il y a urait là comme une anomalie!
La « question juive » est apparue sous un jour tout à fait nouveau au XIXe siècle en raison même de la « laicisation » des Juifs, souvent bien éloignés de leurs pratiques ancestrales et synaogales. Cela a conduit au demeurant à la confection de la contrefaçon- à l’approche du XXe siècle, des Protocoles des Sages de Sion, visant à montrer qu’en dépit des apparences, les juifs n’avaient pas foncièrement changé et étaient restés aussi hostiles au christianisme qu’à l’époque talmudique. (ct notre ouet le destin des femmesvrage Le sionisme et ses avatars au tournant du XXe siècle, Ed Ramkat, 2002)
Au cours des 200 dernières années, le nombre de Juifs qui se sont illustrés est considérable et il serait assez vain d’en dresser ici une liste dont les fleurons les plus illustres restent peut être ceux de Marx, Freud et Einstein, et ce par delà la question assez secondaire de la conversion au christianisme de tel ou tel car loin de nous l’idée que la croyance religieuse ait quoi que ce soit à voir avec le fait d’être juif ou non. En revanche, l’on ne considérera pas le cas des personnes converties au judaisme car ce n’est pas d’elles dont il s’agit ici pas plus que de la récupération des thèmes juifs par d’autres religions comme le christianisme ou l’Islam.
Quel sens doit-on accorder à cette hyper-présence juive au monde non point sur le plan quantitatif – comme pour les femmes qui auront produit une énorme quantité d’enfants, du fait de la baisse de la mortalité en bas âge- mais sur le plan qualitatif et ce en dépit des persécutions (pogroms dans la Russie tsariste des années 1880-1900) et des exterminations (Shoah des années 1941-45),que ce soit en diaspora ou au sein de l’Etat d’Israël, fondé en 1948?
Nous pensons qu’il y a là quelque forme de programation, fixée de longue date, selon un certain calendrier que l’on peut être tenté de connecter avec la théorie des ères précessionnelles (Ere du Verseau). La théorie à laquelle nous adhèrons n’est pas celle d’un Paul Le Cour mais plutôt celle esquissée par l’astrologue et compositeur franco-américain, Dane Rudhyar (mort en 1985) lequel attachait de l’importance au fait que l’étoile fixe Régulus était déhttp://maqor.unblog.fr/2017/02/25/jacques-halbronn-la-mission-des-juifs-et-le-destin-des-femmes-dans-le-troisieme-millenaire/sormais passé -dans le cadre du zodiaque tropical- du signe du Lion à celui de la Vierge. Pour notre part, nous sommes nés avec Mars à la charnière de ces deux signes et donc en conjonction avec Régulus. Nous n’entendons pas insister ici sur l’historique de cette théorie née justement à la fin du XVIIIe siècle en France, notamment mais pas seulement avec un Charles François Dupuis et son Origine de tous les cultes (cf notre thèse d’Etat Le texte prophétique en France, sur le site propheties.it)
En tout état de cause, tout se passe comme si le peuple juif s’était réveillé,un peu comme dans la Belle au Bois Dormant; d’une sorte de sommeil métaphysique. Cela aura correspondu à la Révolution Française et à cette émancipation des Juifs de France, appelée de ses voeux par l’abbé Grégoire.
La sociologie nous apparait comme un domaine privilégié pour le génie juif – de Marx à Durkheim et Mauss , jusqu’à Lévi-Strauss et Edgar Morin. Car la sociologie est pour nous la conscientisation du fonctionnement des sociétés et nous pensons que les Juifs ont mission de conduire à la conscience les forces qui nous animent et bien entendu cela vaut aussi pour la psychanalyse freudienne quand elle traite du Complexe d’Oedipe en tant que constante de la condition humaine.
Mais on ne saurait appréhender un phénoméne quel qu’il le soit sans le mettre en dialectique avec un autre,à savoir en l’occurence le dossier de la condition des femmes. On a dit que la disproportion numérique entre ces deux ensembles ne saurait nous en dissuader. Bien plus, tous les arguments mis en avant par les femmes et leurs supporters masculins, quant aux pesanteurs sociologiques expliquant la modicité et la médiocrité de leurs réalisations individuelles – combien de noms de femmes célébres retient-on sur deux siècles, par delà celles dont on parle sur le moment et qui seront vite oubliées?- Si nous étions une femme, nous éprouverions quelque amertume au vu des succés remportés par tant de personnalités juives; et qui, à n’en pas douter, leur portent ombrage et désamorcent l’argument des obstacles et des barrages et des barrières sociaux. Pour les femmes, les Juifs sont un témoin génant de leurs limites. Tout indique au contraire, en effet, que dans trente ans s’ici 2050, le constat risque fort d’être le même, à savoir que les femmes ne seront pas parvenues à franchir un certain « plafond de verre » non point, selon nous, lié à une question conjoncturelle, politique mais bien à une question structurelle, voire ontologique.
Il y aurait d’ailleurs selon une certaine répartition des rôles ehttp://maqor.unblog.fr/2017/02/25/jacques-halbronn-la-mission-des-juifs-et-le-destin-des-femmes-dans-le-troisieme-millenaire/ntre l’entité « Juifs » et l’entité ‘femmes », les Juifs étant chargés de faire bouger les représentations pour éviter la sclérose et les femmes ayant vocation à assurer le bon déroulement d’une certaine cyclicité automatique, liée d’http://maqor.unblog.fr/2017/02/25/jacques-halbronn-la-mission-des-juifs-et-le-destin-des-femmes-dans-le-troisieme-millenaire/ailleurs à certaines configurations astrales (cf nos travaux sur l’astrologie alpha-oméga). Autrement dit, les Juifs constitueraient le fer de lance du monde masculin face au monde féminin marqué par la multipilcation, la reproduction et la transmission. Face à la dynamique cyclique des femmes (cf le cycle menstruel lié à la sexualité), on trouve une dynamqie linéaire, liée sinon à la fin des temps, du moins à l’aboutissement, programmé de longue date, d’un processus en train d’advenir depuis déjà un bon bout de temps alors même que durant ces deux derniers siècles, les femmes ne seront point parvenus à se rendre indispensables dans le palmarés des plus grands génies de la musique, du cinéma, de la philosophie, des sciences humaines tant et si bien que les femmes continuent à habiter un monde masculin, se contentant au bout du compte à alimenter une courbe démographique non maitrisée dont les effets économiques et écologiques feront de plus en plus probléme.
C’est dire que les considérations théologiques et éxégétique des Chrétiens et des néo-Chrétiens comme les Moonistes coréens, quant au fait que les Juifs auraient démérité aux yeux de « Dieu » nous semblent bien dérisoires au regard de l’Histoire contemporaine, laquelle confirme de façon indéniable à quel point les Juifs ont une mission qui est précisément en train de s’incarner sous nos yeux, et ce en dépit de la machine infernale que fut la Shoah hitlérienne. Ce que l’on observe relativise singulièrement les petits stratagémes visant à se substituer à ‘Israël », ce qui, il est vrai, est de bonne guerre.
Le peuple « élu » ne l’aura été que dans la perspective des enjeux actuels et cela ne fait pas sens de le juger sur les périodes antérieures ne visant qu’à en assurer la pérennité jusqu’à ce jour, ce à quoi il sera bel et bien parvenu. C’est pour maintenant que l’élection hébraïque fait sens et non pour ce qui s’est passé – vraiment ou prétendument- avec Abraham, Moise ou Jésus. Les Juifs sont les gardiens de cette flamme qu’est la Conscience qui se doit d’être toujours en éveil alors que les femmes incarnent la Subconscience, c’est à dire les affaires courantes, liées à des automatismes, ce qui nous conduit d’ailleurs à les intégrer dans un ensemble incluant les machines, lesquelles ne font qu’imiter ce qui était précédemment dévolu aux animaux et aux auxiliaires domestiques. Cela dit, l’humanité ne saurait être en permanence sur la bréche et périodiquement, il lui faut passer en pilotage automatique.. Nul doute enfin que les Juifs aient à jouer un rôle dans la formulation de l’astrologie de demain, l’ancienne astrologie, bien sclérosée et corrompue, étant de nos jours défendue le plus souvent par des femmes.
JHB
15 02 17
par Jacques Halbronn
fondateur du Centre d’Etude et de Recherche sur l’Identité juive (CERIJ, 1978)
Les deux derniers siècles ont ouvert de nouvelles perspectives à deux populations, celle des femmes et celle des Juifs. Le progrès de leur statut apparut comme le signe d’un progrès de civilisation, dès la fin du XVIIIe siècle.et le destin des femmes Avec le recul, on peut penser dresser un certain bilan autour de telles attentes. Certes, ces deux populations offrent des différences considérables. Les femmes représentent autour de la moitié de la population mondiale, soit plusieurs miliards d’individus alors http://maqor.unblog.fr/2017/02/25/jacques-halbronn-la-mission-des-juifs-et-le-destin-des-femmes-dans-le-troisieme-millenaire/http://maqor.unblog.fr/2017/02/25/jacques-halbronn-la-mission-des-juifs-et-le-destin-des-femmes-dans-le-troisieme-millenaire/que les Juifs ne totaliseraient pas plus de 20 milions de personnes.
Or, pour dire les choses carrément, tout se passe comme si avec 20 millions de représentants (dont la moitié de femmes, qui plus est), les Juifs avaient pesé plus lourd que ces masses féminines en terme de contribution majeur au progrès de l’Humanité. il y a urait là comme une anomalie!
La « question juive » est apparue sous un jour tout à fait nouveau au XIXe siècle en raison même de la « laicisation » des Juifs, souvent bien éloignés de leurs pratiques ancestrales et synaogales. Cela a conduit au demeurant à la confection de la contrefaçon- à l’approche du XXe siècle, des Protocoles des Sages de Sion, visant à montrer qu’en dépit des apparences, les juifs n’avaient pas foncièrement changé et étaient restés aussi hostiles au christianisme qu’à l’époque talmudique. (ct notre ouet le destin des femmesvrage Le sionisme et ses avatars au tournant du XXe siècle, Ed Ramkat, 2002)
Au cours des 200 dernières années, le nombre de Juifs qui se sont illustrés est considérable et il serait assez vain d’en dresser ici une liste dont les fleurons les plus illustres restent peut être ceux de Marx, Freud et Einstein, et ce par delà la question assez secondaire de la conversion au christianisme de tel ou tel car loin de nous l’idée que la croyance religieuse ait quoi que ce soit à voir avec le fait d’être juif ou non. En revanche, l’on ne considérera pas le cas des personnes converties au judaisme car ce n’est pas d’elles dont il s’agit ici pas plus que de la récupération des thèmes juifs par d’autres religions comme le christianisme ou l’Islam.
Quel sens doit-on accorder à cette hyper-présence juive au monde non point sur le plan quantitatif – comme pour les femmes qui auront produit une énorme quantité d’enfants, du fait de la baisse de la mortalité en bas âge- mais sur le plan qualitatif et ce en dépit des persécutions (pogroms dans la Russie tsariste des années 1880-1900) et des exterminations (Shoah des années 1941-45),que ce soit en diaspora ou au sein de l’Etat d’Israël, fondé en 1948?
Nous pensons qu’il y a là quelque forme de programation, fixée de longue date, selon un certain calendrier que l’on peut être tenté de connecter avec la théorie des ères précessionnelles (Ere du Verseau). La théorie à laquelle nous adhèrons n’est pas celle d’un Paul Le Cour mais plutôt celle esquissée par l’astrologue et compositeur franco-américain, Dane Rudhyar (mort en 1985) lequel attachait de l’importance au fait que l’étoile fixe Régulus était déhttp://maqor.unblog.fr/2017/02/25/jacques-halbronn-la-mission-des-juifs-et-le-destin-des-femmes-dans-le-troisieme-millenaire/sormais passé -dans le cadre du zodiaque tropical- du signe du Lion à celui de la Vierge. Pour notre part, nous sommes nés avec Mars à la charnière de ces deux signes et donc en conjonction avec Régulus. Nous n’entendons pas insister ici sur l’historique de cette théorie née justement à la fin du XVIIIe siècle en France, notamment mais pas seulement avec un Charles François Dupuis et son Origine de tous les cultes (cf notre thèse d’Etat Le texte prophétique en France, sur le site propheties.it)
En tout état de cause, tout se passe comme si le peuple juif s’était réveillé,un peu comme dans la Belle au Bois Dormant; d’une sorte de sommeil métaphysique. Cela aura correspondu à la Révolution Française et à cette émancipation des Juifs de France, appelée de ses voeux par l’abbé Grégoire.
La sociologie nous apparait comme un domaine privilégié pour le génie juif – de Marx à Durkheim et Mauss , jusqu’à Lévi-Strauss et Edgar Morin. Car la sociologie est pour nous la conscientisation du fonctionnement des sociétés et nous pensons que les Juifs ont mission de conduire à la conscience les forces qui nous animent et bien entendu cela vaut aussi pour la psychanalyse freudienne quand elle traite du Complexe d’Oedipe en tant que constante de la condition humaine.
Mais on ne saurait appréhender un phénoméne quel qu’il le soit sans le mettre en dialectique avec un autre,à savoir en l’occurence le dossier de la condition des femmes. On a dit que la disproportion numérique entre ces deux ensembles ne saurait nous en dissuader. Bien plus, tous les arguments mis en avant par les femmes et leurs supporters masculins, quant aux pesanteurs sociologiques expliquant la modicité et la médiocrité de leurs réalisations individuelles – combien de noms de femmes célébres retient-on sur deux siècles, par delà celles dont on parle sur le moment et qui seront vite oubliées?- Si nous étions une femme, nous éprouverions quelque amertume au vu des succés remportés par tant de personnalités juives; et qui, à n’en pas douter, leur portent ombrage et désamorcent l’argument des obstacles et des barrages et des barrières sociaux. Pour les femmes, les Juifs sont un témoin génant de leurs limites. Tout indique au contraire, en effet, que dans trente ans s’ici 2050, le constat risque fort d’être le même, à savoir que les femmes ne seront pas parvenues à franchir un certain « plafond de verre » non point, selon nous, lié à une question conjoncturelle, politique mais bien à une question structurelle, voire ontologique.
Il y aurait d’ailleurs selon une certaine répartition des rôles ehttp://maqor.unblog.fr/2017/02/25/jacques-halbronn-la-mission-des-juifs-et-le-destin-des-femmes-dans-le-troisieme-millenaire/ntre l’entité « Juifs » et l’entité ‘femmes », les Juifs étant chargés de faire bouger les représentations pour éviter la sclérose et les femmes ayant vocation à assurer le bon déroulement d’une certaine cyclicité automatique, liée d’http://maqor.unblog.fr/2017/02/25/jacques-halbronn-la-mission-des-juifs-et-le-destin-des-femmes-dans-le-troisieme-millenaire/ailleurs à certaines configurations astrales (cf nos travaux sur l’astrologie alpha-oméga). Autrement dit, les Juifs constitueraient le fer de lance du monde masculin face au monde féminin marqué par la multipilcation, la reproduction et la transmission. Face à la dynamique cyclique des femmes (cf le cycle menstruel lié à la sexualité), on trouve une dynamqie linéaire, liée sinon à la fin des temps, du moins à l’aboutissement, programmé de longue date, d’un processus en train d’advenir depuis déjà un bon bout de temps alors même que durant ces deux derniers siècles, les femmes ne seront point parvenus à se rendre indispensables dans le palmarés des plus grands génies de la musique, du cinéma, de la philosophie, des sciences humaines tant et si bien que les femmes continuent à habiter un monde masculin, se contentant au bout du compte à alimenter une courbe démographique non maitrisée dont les effets économiques et écologiques feront de plus en plus probléme.
C’est dire que les considérations théologiques et éxégétique des Chrétiens et des néo-Chrétiens comme les Moonistes coréens, quant au fait que les Juifs auraient démérité aux yeux de « Dieu » nous semblent bien dérisoires au regard de l’Histoire contemporaine, laquelle confirme de façon indéniable à quel point les Juifs ont une mission qui est précisément en train de s’incarner sous nos yeux, et ce en dépit de la machine infernale que fut la Shoah hitlérienne. Ce que l’on observe relativise singulièrement les petits stratagémes visant à se substituer à ‘Israël », ce qui, il est vrai, est de bonne guerre.
Le peuple « élu » ne l’aura été que dans la perspective des enjeux actuels et cela ne fait pas sens de le juger sur les périodes antérieures ne visant qu’à en assurer la pérennité jusqu’à ce jour, ce à quoi il sera bel et bien parvenu. C’est pour maintenant que l’élection hébraïque fait sens et non pour ce qui s’est passé – vraiment ou prétendument- avec Abraham, Moise ou Jésus. Les Juifs sont les gardiens de cette flamme qu’est la Conscience qui se doit d’être toujours en éveil alors que les femmes incarnent la Subconscience, c’est à dire les affaires courantes, liées à des automatismes, ce qui nous conduit d’ailleurs à les intégrer dans un ensemble incluant les machines, lesquelles ne font qu’imiter ce qui était précédemment dévolu aux animaux et aux auxiliaires domestiques. Cela dit, l’humanité ne saurait être en permanence sur la bréche et périodiquement, il lui faut passer en pilotage automatique.. Nul doute enfin que les Juifs aient à jouer un rôle dans la formulation de l’astrologie de demain, l’ancienne astrologie, bien sclérosée et corrompue, étant de nos jours défendue le plus souvent par des femmes.
JHB
15 02 17
vendredi 24 février 2017
jeudi 23 février 2017
Jacques Halbronn L'Ancien Testament, compromis entre deux raoyaumes, Judah et Israël
L’Ancien testament, compromis entre deux royaumes, Judah et Israël.
par Jacques Halbronn
Les ouvrages d’Israel Finkelstein viennent corrobporer et prolonger nos réflexions sur la question d’Israel à l’époque et dans le contexte bibliques. (cf Le Royaume biblique oublié. Ed Odile Jacob, 2013 etc)
Comme tout un chacun ou presque, nous avions appris qu’avaient existé face à face deux royaumes, à la suite de la mort du roi Salomon, celui de Judah, au sud et d’Israël au nord, que celui d’Israel avait disparu en -722 et celui de Judah avait été marqué en -586 par la destruction du Premier Temple et la Captivité de Babylone.
Un jour, nous avons commencé à nous demander comment dans ce cas, les Hébreux pouvaient être désignés couramment dans le Livre de l’Exode et dans bien d’autres de l’Ancien Testament, sous le terme « Fils d’Israël » (Bnéi Israel)..
Car en admettant même que cette expression ait pu être utilisée avant le schisme, comment avait-elle pu perdurer jusqu’à nos jours sans que cela ne trouble quiconque alors que le nom même d’Israel était associé à un frère ennemi? Il y avait là une invraisemblance troublante.
Par ailleurs, nous avions noté que dans le Livre de la Genése, le rapport entre Jacob et le nom d’Israel n’était avancé que dans un seul et unique chapitre, le 32e.
On s’était également demandé, à un certain stade, comment il se faisait que Judah n’ait pas été compté parmi les « père » (Avoth), à la suite d’Abrahal, Isaac et Jacob alors que Jacob avait désigné,au chapitre 49 de la Génése, Judah, pour diriger la fratrie. Cela dit, le songe de Joseph disait plus ou moins la même chose. Dans un cas, c’est un homme Joseph et dans l’autre, une tribu , bien après la mort du dit Judah, au sein de laquelle émergera la dynastie davidienne contre laquelle se dressera le dit Royaume d’Israel.
Israel Finnkelstein nous donne le fin mot de l’affaire: En voici quelques extraits issus de ses ouvrages dont la Bible dévoilée, Paris, Bayard, 2002, écrit avec N. A. Silbermann. :
« Il est vrai toutefois que certaines traditions israelites furent incorporées dans la Bible hébraïque, qu »il s’agisse du cycle de Jacob dans la Genése etc «
« Cet auteur tira profit du fait qu’après 720 av JC le terme Israel était disponible tant au plan territorial qu’au plan politique
« La chute d’Israel ouvre la voie à un autre « Israel » – les Bnei Israel, le Peuple d’Israel, constitué des douze tribus installées sur l’ensemble du territoire des deux royaumes hébreux. Au cours de cette transformation les textes originaires du Royaume du Nord, seront incorporés à la Bible, pour former une part de la grand épopée hébraique »
« La construction idéologique d’une grande Monarchie unifiée qui aurait régné sur tout le peuple d’Israel (Nord et Sud confondus- à partir de Jérusalem est un produit de cette période »
« La courte existence du royaume d’ »Israel qui dura en tout et pour tout deux petits siècles donna aussi naissance à un concept de grand avenir, le peuple d’Israel »
Résumons-nous, l’afflux de réfugiés du Royaume d’Israel vers le Royaume de Judah, après la défaite de -722 allait changer le caractère du dit Royaume de Judah, lequel devait intégrer ces éléments. En ce sens la chute du Royaume d’Israel mettait fin au schisme et contraignait à la pratique d’une certaine forme de syncrétisme assez hétérogéne.
Cela donna le résultat que l’on connait à savoir des pans entiers de l’Histoire (réelle ou supposée) des Hébreux désignés comme les enfants d’Israël. Certes, l’on nous dira que tel était bien le nom de Jacob à l’occasion de son combat avec l’ange. Mais, il semble bien que cette connexion Jacob-Israel ait été une invention d’Israel.pour tirer la couverture à lui! Au final Judah finit dans l’esprit des Israélites par être associé à Esaü et Israel à Jacob. On voit que les tensions entre frères qui émaillent le Livre de la Genése et ce à partir d’Abel et de Cain, ce dernier tuant son frère; ne se comprennent qu’à la lumière de la sécession survenue deux siècles environ avant la disparition du dit Royaume d’Israel. Rappelons en passant que c’est le nom qui sera donné au nouvel Etat Hébreu en 1948, de préférence à Sion ou à Judée, probablement en raison de l’omniprésence dans l’Ancien Testament du peuple (Bnei Israel, Kol Israel), voire au dieu d’Israel (dans le Livre de Josué). Rappelons aussi que la prière la plus sacrée des Juifs est le Ecoute Israel (Shéma Israel » et que les Chrétiens se sont voulu un Second ou un Nouvel Israel. Nous avons aussi relevé des différences dans la façon dont Yahvé s’adresse à « son » peuple. Tantôt, il le tutoie et tantôt il s’adresse à l’ensemble du peuple avec un vous au pluriel. Même dans un texte aussi court que le Shéma, les mêmes ordres sont donnés à quelques lignes d’intervalle avec le « tu » et avec le « vous »! Notons que les Dix Commandements usent du « tu » et nous pensons qu’il s’agit là d’une tonalité plus israélite que judéenne.
On aurait pu croire qu’un tel résultat aurait été le fait des Israélites. Or, selon Finkelstein, il s’agirait plutôt d’une décision politique au sein du Royaume de Judah de se concilier les bonnes grâces des ressortissants ou descendants des immigrés du Royaume du Nord, bénéficiant ainsi, en quelque sorte d’une « loi du retour » comme c’est le cas de nos jours pour les Juifs de la Diaspora.
Par delà les arguments archéologiques que nous n’avons pas repris, il ressort que la thèse de Finkelstein nous semble la seule en mesure d’expliquer l’hyper-présence du mot Israel dans l’Ancien Testament. A un moment nous avions pensé que cette association entre le nom d’Israel et le peuple hébreu était bien plus ancienne que le schisme post Salomon. Mais comme on l’a dit, la seule connexion entre Jacob et Israel tient dans quelques lignes d’un unique chapitre. Or ces lignes nous semblent calquées sur le récit de la Tour de Babel, quand l’échelle est décrite comme « montant jusqu’au ciel ». On pense aussi au dialogue entre Moise et Yahvé dans le Livre de l’Exode, quand Jacob demande à l’ange quel est « son nom ».
Ce passage est d’ailleurs signé puisqu’il se termine ainsi :: » C’est pourquoi les enfants d’Israël (Benei Israel) ne mangent point – aujourd’hui encore (sic)- le nerf sciatique qui tient la cavité de a cuisse parce que Jacob fut touché à la cavité de la cuisse sur le nerf sciatique ». Or, la formule « Benei Israel » est totalement absente du Livre de la Genése et n’apparait que dans le Livre de l’Exode/. D’ailleurs, pendant tout le reste du récit- jusqu’au 50e chapitre, Jacob ne sera jamais désigné sous le nom d’Israel/ Le Livre de la Génése revient toutefois, dans ses toutes dernières lignes à une telle référence: « Et Joseph adjura les enfants d’Israël (Benei Israel) en disant etc ». Il nous apparait ainsi que le Livre de la Genése n’aura été « contaminé » par le « virus » israélite que très ponctuellement. Cela tient à ce qu’il doit relever du récit national judéen avec quelques interpolations alors que les autres livres du Pentateuque seraient à la base marqués par le récit israélite, avec là encore quelques interpolations judéens. Soit une cote mal taillée.
Nous avions observé un phénoméne assez semblable dans nos travaux sur les Centuries de Nostradamus (cf notamment notre post-doctorat de 2007, sur le site propheties.it) et nos études nostradamiques sur ce site, sans oublier le dossier paru dans la Revue Française d’Histoire des textes, 2011) en montrant que les sept premières centuries,introduites par la Préfacé à César avaient été marquées par le camp catholique de la Ligue et les trois dernières par le camp réformé d’Henri de Navarre (IV) , ce qui coupait la France en deux, d’ouest en Est, cette fois. Les deux séries de centuries avaient fini par paraitre ensemble mais tout en étant chacune précédée par des textes en prose spécifiques à chacune d’entre elles.
JHB
23. 02. 17
par Jacques Halbronn
Les ouvrages d’Israel Finkelstein viennent corrobporer et prolonger nos réflexions sur la question d’Israel à l’époque et dans le contexte bibliques. (cf Le Royaume biblique oublié. Ed Odile Jacob, 2013 etc)
Comme tout un chacun ou presque, nous avions appris qu’avaient existé face à face deux royaumes, à la suite de la mort du roi Salomon, celui de Judah, au sud et d’Israël au nord, que celui d’Israel avait disparu en -722 et celui de Judah avait été marqué en -586 par la destruction du Premier Temple et la Captivité de Babylone.
Un jour, nous avons commencé à nous demander comment dans ce cas, les Hébreux pouvaient être désignés couramment dans le Livre de l’Exode et dans bien d’autres de l’Ancien Testament, sous le terme « Fils d’Israël » (Bnéi Israel)..
Car en admettant même que cette expression ait pu être utilisée avant le schisme, comment avait-elle pu perdurer jusqu’à nos jours sans que cela ne trouble quiconque alors que le nom même d’Israel était associé à un frère ennemi? Il y avait là une invraisemblance troublante.
Par ailleurs, nous avions noté que dans le Livre de la Genése, le rapport entre Jacob et le nom d’Israel n’était avancé que dans un seul et unique chapitre, le 32e.
On s’était également demandé, à un certain stade, comment il se faisait que Judah n’ait pas été compté parmi les « père » (Avoth), à la suite d’Abrahal, Isaac et Jacob alors que Jacob avait désigné,au chapitre 49 de la Génése, Judah, pour diriger la fratrie. Cela dit, le songe de Joseph disait plus ou moins la même chose. Dans un cas, c’est un homme Joseph et dans l’autre, une tribu , bien après la mort du dit Judah, au sein de laquelle émergera la dynastie davidienne contre laquelle se dressera le dit Royaume d’Israel.
Israel Finnkelstein nous donne le fin mot de l’affaire: En voici quelques extraits issus de ses ouvrages dont la Bible dévoilée, Paris, Bayard, 2002, écrit avec N. A. Silbermann. :
« Il est vrai toutefois que certaines traditions israelites furent incorporées dans la Bible hébraïque, qu »il s’agisse du cycle de Jacob dans la Genése etc «
« Cet auteur tira profit du fait qu’après 720 av JC le terme Israel était disponible tant au plan territorial qu’au plan politique
« La chute d’Israel ouvre la voie à un autre « Israel » – les Bnei Israel, le Peuple d’Israel, constitué des douze tribus installées sur l’ensemble du territoire des deux royaumes hébreux. Au cours de cette transformation les textes originaires du Royaume du Nord, seront incorporés à la Bible, pour former une part de la grand épopée hébraique »
« La construction idéologique d’une grande Monarchie unifiée qui aurait régné sur tout le peuple d’Israel (Nord et Sud confondus- à partir de Jérusalem est un produit de cette période »
« La courte existence du royaume d’ »Israel qui dura en tout et pour tout deux petits siècles donna aussi naissance à un concept de grand avenir, le peuple d’Israel »
Résumons-nous, l’afflux de réfugiés du Royaume d’Israel vers le Royaume de Judah, après la défaite de -722 allait changer le caractère du dit Royaume de Judah, lequel devait intégrer ces éléments. En ce sens la chute du Royaume d’Israel mettait fin au schisme et contraignait à la pratique d’une certaine forme de syncrétisme assez hétérogéne.
Cela donna le résultat que l’on connait à savoir des pans entiers de l’Histoire (réelle ou supposée) des Hébreux désignés comme les enfants d’Israël. Certes, l’on nous dira que tel était bien le nom de Jacob à l’occasion de son combat avec l’ange. Mais, il semble bien que cette connexion Jacob-Israel ait été une invention d’Israel.pour tirer la couverture à lui! Au final Judah finit dans l’esprit des Israélites par être associé à Esaü et Israel à Jacob. On voit que les tensions entre frères qui émaillent le Livre de la Genése et ce à partir d’Abel et de Cain, ce dernier tuant son frère; ne se comprennent qu’à la lumière de la sécession survenue deux siècles environ avant la disparition du dit Royaume d’Israel. Rappelons en passant que c’est le nom qui sera donné au nouvel Etat Hébreu en 1948, de préférence à Sion ou à Judée, probablement en raison de l’omniprésence dans l’Ancien Testament du peuple (Bnei Israel, Kol Israel), voire au dieu d’Israel (dans le Livre de Josué). Rappelons aussi que la prière la plus sacrée des Juifs est le Ecoute Israel (Shéma Israel » et que les Chrétiens se sont voulu un Second ou un Nouvel Israel. Nous avons aussi relevé des différences dans la façon dont Yahvé s’adresse à « son » peuple. Tantôt, il le tutoie et tantôt il s’adresse à l’ensemble du peuple avec un vous au pluriel. Même dans un texte aussi court que le Shéma, les mêmes ordres sont donnés à quelques lignes d’intervalle avec le « tu » et avec le « vous »! Notons que les Dix Commandements usent du « tu » et nous pensons qu’il s’agit là d’une tonalité plus israélite que judéenne.
On aurait pu croire qu’un tel résultat aurait été le fait des Israélites. Or, selon Finkelstein, il s’agirait plutôt d’une décision politique au sein du Royaume de Judah de se concilier les bonnes grâces des ressortissants ou descendants des immigrés du Royaume du Nord, bénéficiant ainsi, en quelque sorte d’une « loi du retour » comme c’est le cas de nos jours pour les Juifs de la Diaspora.
Par delà les arguments archéologiques que nous n’avons pas repris, il ressort que la thèse de Finkelstein nous semble la seule en mesure d’expliquer l’hyper-présence du mot Israel dans l’Ancien Testament. A un moment nous avions pensé que cette association entre le nom d’Israel et le peuple hébreu était bien plus ancienne que le schisme post Salomon. Mais comme on l’a dit, la seule connexion entre Jacob et Israel tient dans quelques lignes d’un unique chapitre. Or ces lignes nous semblent calquées sur le récit de la Tour de Babel, quand l’échelle est décrite comme « montant jusqu’au ciel ». On pense aussi au dialogue entre Moise et Yahvé dans le Livre de l’Exode, quand Jacob demande à l’ange quel est « son nom ».
Ce passage est d’ailleurs signé puisqu’il se termine ainsi :: » C’est pourquoi les enfants d’Israël (Benei Israel) ne mangent point – aujourd’hui encore (sic)- le nerf sciatique qui tient la cavité de a cuisse parce que Jacob fut touché à la cavité de la cuisse sur le nerf sciatique ». Or, la formule « Benei Israel » est totalement absente du Livre de la Genése et n’apparait que dans le Livre de l’Exode/. D’ailleurs, pendant tout le reste du récit- jusqu’au 50e chapitre, Jacob ne sera jamais désigné sous le nom d’Israel/ Le Livre de la Génése revient toutefois, dans ses toutes dernières lignes à une telle référence: « Et Joseph adjura les enfants d’Israël (Benei Israel) en disant etc ». Il nous apparait ainsi que le Livre de la Genése n’aura été « contaminé » par le « virus » israélite que très ponctuellement. Cela tient à ce qu’il doit relever du récit national judéen avec quelques interpolations alors que les autres livres du Pentateuque seraient à la base marqués par le récit israélite, avec là encore quelques interpolations judéens. Soit une cote mal taillée.
Nous avions observé un phénoméne assez semblable dans nos travaux sur les Centuries de Nostradamus (cf notamment notre post-doctorat de 2007, sur le site propheties.it) et nos études nostradamiques sur ce site, sans oublier le dossier paru dans la Revue Française d’Histoire des textes, 2011) en montrant que les sept premières centuries,introduites par la Préfacé à César avaient été marquées par le camp catholique de la Ligue et les trois dernières par le camp réformé d’Henri de Navarre (IV) , ce qui coupait la France en deux, d’ouest en Est, cette fois. Les deux séries de centuries avaient fini par paraitre ensemble mais tout en étant chacune précédée par des textes en prose spécifiques à chacune d’entre elles.
JHB
23. 02. 17
mercredi 22 février 2017
Les secrets révélés de la Bible. Documentaire de Thierry Ragobert
Les secrets révélés de la Bible 01 - YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=jf3rbKwdF7U
15 avr. 2012 - Ajouté par Rex Regum
Quand est né le judaïsme ? Quelles étaient les croyances des premiers Israélites ? Comment la Bible a-t-elle été ...
mardi 21 février 2017
lundi 20 février 2017
vendredi 17 février 2017
jacques Halbronn L'intrusion d'Israel dans le Livre de l'Exode. Un processus de substitution
L’intrusion d’Israel dans le Livre de l’Exode. Un processus de substitution
par Jacques Halbronn
Le fait qu’à la mort de Salomon, les tribus du Nord n’aient plus reconnu le pouvoir de celles du Sud,et aient adopté le nom d’Israël, face au Royaume de Juda, devrait nous avoir enseigné que la présende de la mention d’Israel dans le Livre de l’Exode n’a rien d’évident et serait même suspecte.
Nous avons déjà déclaré que nous soupçonnions qu’il y ait pu y avoir des interpolations dans le corpus du Pentateuque visant à substituer en quelque sort Israel à Judah, faisant ainsi du peuple du Nord le bénéficiaire de l’alliance avec Yahvé. Le fait que Yahvé ne cite pas le ,nom de Judah après celui de Jacob, quand il s’adresse à Moïse, nous semble assez révélateur mais aussi le fait que Jacon ait pris le nom d’Israel, dans le Livre de la Genése.
On peut même se demander si les tribus d’Israel ne correspondaient aux occupants d’origine, face à l’invasion des Hébreux. Le second Livre des Chroniques témoigne de l’existence, en tout cas, d’un certain joug subi par le Nord au profit du Sud et dont les tribus du Nord espéraient alléger le poids à la mort de Salomon. Comme cela ne se fit pas, ils réclamèrent leur indépendance.
Les mentions d’Israel ne manquent pas à commencer par le célébre Shéma Israel que Moise adresse au « peuple ». Est-il si évident qu’il ait eu à employer ce terme d’Israel? ?Nous y voyons, pour notre part, comme a déjà été dit, un processus de substitution à l’encontre de Judah.
Rappelons que pour nous, le tétragramme devait initialement comporter la lettre Daleth (valeur 4), ce qui le rapprochait du nom de Juda (Yehouda). En supprimant le Daleth, la connexion était ainsi rompue et l’explication donnée dans le texte ne serait qu’un leurre. Je suis celui qui est, en jouant sur le fait que la suppression du Daleth génére la racine correspondant au verbe être, en hébreu alors que la forme Juda vient du verbe qui signifie remercier (que l’on retrouve en hébreu moderne dans Toda, merci)
Selon nous, ce qu’on appelle l’Ancien Testament comporte des éléments assez disparates et dans sa rédaction finale, il semble probable que certaines formulations n’étaient plus perçues selon leur véritable enjeu tout comme dans les Centuries de Nostradamus, le premier et le second volets circulèrent selon nous séparément car liés à des des camps opposés avant d’être réunis.
C’est ainsi que le chapitre 49 de la Genése désigne bien Judah comme le personnage central auquel devront se soumettre ses frères mais l’on trouve aussi à un autre endroit la même promesse à l’intention de Joseph, un autre frère, qui rêvait que ses frères se prosternaient devant lui. Les deux scénarios cohabitent ainsi allégrement, à quelques chapitres d’intervalle!
Enfin, rappelons la question des Samaritains qui demeuraient en Galilée et non en Judée et qui développèrent des pratiques paralléles non plus axée sur Jérusalem mais sur le Mont Garizin. Il semblerait que le canon biblique ait intégré un nombre significatif d’éléments favorables au Royaume d’Israel et que l’on n’en ait plus eu conscience lors de sa compilation ultime.
JHB
par Jacques Halbronn
Le fait qu’à la mort de Salomon, les tribus du Nord n’aient plus reconnu le pouvoir de celles du Sud,et aient adopté le nom d’Israël, face au Royaume de Juda, devrait nous avoir enseigné que la présende de la mention d’Israel dans le Livre de l’Exode n’a rien d’évident et serait même suspecte.
Nous avons déjà déclaré que nous soupçonnions qu’il y ait pu y avoir des interpolations dans le corpus du Pentateuque visant à substituer en quelque sort Israel à Judah, faisant ainsi du peuple du Nord le bénéficiaire de l’alliance avec Yahvé. Le fait que Yahvé ne cite pas le ,nom de Judah après celui de Jacob, quand il s’adresse à Moïse, nous semble assez révélateur mais aussi le fait que Jacon ait pris le nom d’Israel, dans le Livre de la Genése.
On peut même se demander si les tribus d’Israel ne correspondaient aux occupants d’origine, face à l’invasion des Hébreux. Le second Livre des Chroniques témoigne de l’existence, en tout cas, d’un certain joug subi par le Nord au profit du Sud et dont les tribus du Nord espéraient alléger le poids à la mort de Salomon. Comme cela ne se fit pas, ils réclamèrent leur indépendance.
Les mentions d’Israel ne manquent pas à commencer par le célébre Shéma Israel que Moise adresse au « peuple ». Est-il si évident qu’il ait eu à employer ce terme d’Israel? ?Nous y voyons, pour notre part, comme a déjà été dit, un processus de substitution à l’encontre de Judah.
Rappelons que pour nous, le tétragramme devait initialement comporter la lettre Daleth (valeur 4), ce qui le rapprochait du nom de Juda (Yehouda). En supprimant le Daleth, la connexion était ainsi rompue et l’explication donnée dans le texte ne serait qu’un leurre. Je suis celui qui est, en jouant sur le fait que la suppression du Daleth génére la racine correspondant au verbe être, en hébreu alors que la forme Juda vient du verbe qui signifie remercier (que l’on retrouve en hébreu moderne dans Toda, merci)
Selon nous, ce qu’on appelle l’Ancien Testament comporte des éléments assez disparates et dans sa rédaction finale, il semble probable que certaines formulations n’étaient plus perçues selon leur véritable enjeu tout comme dans les Centuries de Nostradamus, le premier et le second volets circulèrent selon nous séparément car liés à des des camps opposés avant d’être réunis.
C’est ainsi que le chapitre 49 de la Genése désigne bien Judah comme le personnage central auquel devront se soumettre ses frères mais l’on trouve aussi à un autre endroit la même promesse à l’intention de Joseph, un autre frère, qui rêvait que ses frères se prosternaient devant lui. Les deux scénarios cohabitent ainsi allégrement, à quelques chapitres d’intervalle!
Enfin, rappelons la question des Samaritains qui demeuraient en Galilée et non en Judée et qui développèrent des pratiques paralléles non plus axée sur Jérusalem mais sur le Mont Garizin. Il semblerait que le canon biblique ait intégré un nombre significatif d’éléments favorables au Royaume d’Israel et que l’on n’en ait plus eu conscience lors de sa compilation ultime.
JHB
jeudi 16 février 2017
mercredi 15 février 2017
mardi 14 février 2017
La paracha de la semaine par le Rav Yossef Tordjmann
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11 janv. 2015 - Ajouté par Yossef Tordjmann
Cours dédié à la mémoire des quatre victimes d'Hypercasher Yoav Hattab, Philippe Braham, Yohan Cohen ...Rav Yossef Tordjmann présente: La Techouva d' A'her (de l' 'Autre ...
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10 mai 2015 - Ajouté par Yossef Tordjmann
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2 nov. 2014 - Ajouté par Yossef Tordjmann
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20 juil. 2014 - Ajouté par Yossef Tordjmann
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6 août 2013 - Ajouté par Yossef Tordjmann
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30 sept. 2013 - Ajouté par Yossef Tordjmann
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