jeudi 22 septembre 2022

jacques Halbronn Etudes de linguistique comparée: français, anglais, allemand

jacques halbronn Etudes en linguistique comparée: français, anglais, allemand. Ce « trio » de langues est nécessaire pour espérer cerner la genése de ces trois langues. On ne saurait notamment ambitionner de saisir l’histoire de la langue anglaise sans une certaine connaissance du français et de l’allemand mais l’allemand, lui même, est-il complétement décryptable sans l’aide du français? On a vu- dans d’autres études, que le passage du masculin au féminin en allemand avait du subir une certaine forme de corruption au niveau des codes phoniques et donc phonologiques. (ein/eine et un /une) du fait de la perte de la diphtongue « in ». Les codes de prononciation des langues ont certainement du obéir à un modéle symétrique à exhumer, ce qui nous permet de les reconstituer. C’est ainsi que la forme française « au » et « ou » est attestée phoniquement en anglais; could, would, you etc Un cas remarquable est « other » où le « o » remplace le ‘au » du français « autre ».On trouve aussi : daughter (en allemand Tochter); fault, assault, authentic etc/ Rappelons que le « ou » français devait à l’origine se prononcer comme le u umlaut de l’allemand, et que c’est le « u » qui devait se prononcer « ou ». On trouve en anglais view à partir de « vue » français, avec le son « ou » en anglais et d’ailleurs dans la prononciation des lettres de l’alphabet en anglais, la lettre « u » est rendue par le son « you ». Voir aussi « stupid » prononcé « stioupid) En ce qui concerne la prononciation anglaise de la forme »ble »(possible, rendu en anglais « possibel), on notera que le substantitif français est possibilité. Enfin, norons qu’à l’origine des formes anglaises « such » et « much » on trouve, selon nous, en allemans solch et manch. JHB 22 09 22

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