vendredi 24 octobre 2025
jacques halbronn Linguistique comparée. Le français est une langue post-latine et à sa suite l'anglais. La diphtongue.
jacques halbronn Linguistique comparée. Le français est une langue post-latine et à sa suite l'anglais. La diphtongue.
De même que nous parlons de surNature ou de post Nature en théologie, nous entendons introduire en linguistique la notion de langue postlatines, ce qui implique la réforme d'un état premier que nous désignons en astrologie septénale comme phase Zéro précédant la phase 45 (90°/2) Il ne s'agit donc pas de présenter le français comme un état premier mais bien plutôt comme un nouveau stade pour les langues latines et comme l'anglais est à la remorque du français, nous pouvons l'inclure dans le groupe "post-latin" mais sous une forme dégradée et non pas sublimée. Nous fournirons ci- dessous quelques exemples du passage de l'italien au français, marqué par un processus systématique de réduction comme Leonardo (da Vinci) devenant Léonard (de Vinci) En ce sens, nous rejoindrons le principe selon lequel la recherche des origines des langues est assez vaine/
On trouve l'italien Amore se francisant en Amour, detto en dit, presidente en président, serra (Corriera della serra) en soir (France Soir) gelato, gelé, trop devient trop, bene devient bien, molino moulin,veramente, vraiment etc
sur le web
"La langue italienne a exercé une influence réelle sur le français, surtout dans le domaine de la musique, de l'art, de l'alimentation et de l'économie. Beaucoup de mots comme piano, cantatrice, spaghetti, banque sont emprunts des racines italiennes. des princesses italiennes et l'influence de la Renaissance italienne."
Dans le cas de l'anglais, nous avons montré qu'il avait préservé, dans nombre de cas, un état premier du français alors même que le français n'avait point préservé celui-ci. En ce sens, on ne saurait séparer les deux langues lesquelles constituent un stade Sur ou post Latin qui domine manifestement notre monde actuel/ On trouve en français, en particulier le triangle formé par l'écrit neutre pouvant se décliner à l'oral au masculin ou au féminin alors que dans d'autres langues, ce triangle est écrasé, l'écrit s'alignant sur l'oral.
L'apport principal du français en tant que langue post latine nous apparait être le processus de diphtongaison.
sur ke web
LA NASALISATION DES VOYELLES EN FRANÇAIS :
PERSPECTIVE HISTORIQUE
Guillaume BONNEAU
Kim SIMARD
Cette étude présente une vue globale de l’évolution des voyelles
nasales du français. Elle synthétise les changements qu’ont subis les
voyelles /a/, /e/, /o/, /i/ et /y/ du XIe siècle jusqu’à aujourd’hui en lien
avec le trait de nasalité. L’article détaille l’évolution diachronique des
voyelles nasales du français et décrit les tendances synchroniques des
voyelles nasales du français parisien et du français québécois. Le
comportement des voyelles nasales sera expliqué dans le cadre de la
théorie de la confusion phonologique et du changement linguistique.
Malgré leur origine commune, les variétés de français parisien et de
français québécois suivent une tendance évolutive distincte".
Selon nous, c'est le passage du féminin au masculin, impliquant un processus de réduction qui aura généré une telle solution. Ainsi, bonne se diphtonguera en "bon". Mais l'on observe que la pratique de la diphtongaison nasale n'a guère pu s'exporter.L'anglais, en dépit de son mimétisme ne rend pas la diphtongue des formes en "ment" (government). Un autre phénoméne est celui du passage du L en U en français: de le devient du, cheval chevaux, normal, normaux, belle devient beau, capello chapeau etc. On voit donc que la diphtiongaison sert de marqueur de genre et de nombre en français. etc L'italien mio devient "mien" alors que le féminin du français ne diphtongue pas: mienne, le e finale anihilant la nasalisation.
JHB 24 10 25
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