lundi 20 octobre 2025
jacques halbronn Recherche linguistique. L'ampleur de la domination du français sur l'anglais.
jacques halbronn Recherche linguistique. L'ampleur de la domination du français sur l'anglais.
Poursuivant notre enquête sur tout ce que l'anglais doit au française, soit sur sa "dette" linguistique, on trouvera ci après de nouvelles observations qui font état d'une situation de l'anglaise qui devrait être appréciée à terme comme ingérable et irréversible., en dépit du déni persistant de l'anglosphère.
On insistera notamment sur l'adoption de certains codes de prononciation du français passés en anglais; C'est le cas des formes en "au", ou", "ai" qui sont réalisées "à la française" et qui ne se retrouvent ni en allemand, ni en italien, ni en espagnol. Le francophone abordant l'anglais ne se trouvera donc nullement dépaysé, sous ce registre et cela ne vise pas seulement les emprunts au français ayant fait suite à la Conquéte Normande. Daughter, par exemple face au Tochter allemand. A quel moment le "o" a -t-il été rendu par un 'au" comme autre rendu en anglais par other? Même question pour Tag devenu en anglais Day.
Quelques exemples:
Au: fault, cause, automobile, author(ity), Paul,auxiliary
AI/AY! May, say, day, gay, pay, play, lay, way, pain Voir aussi le cas de vrai donnant "very"
Dans certains cas, la comparaison conduit à s'interroger sur la prononciation initiale du français comme choix devenu choice, voix devenu voice vu qu'en français roi a donné royal. Quid de boy?
Rappelons aussi le cas du passage du P au F : peu donne few, plat donne flat, pair donne fair, peur donne fear
Enfin, le pluriel du nom peut être révélateur: philosophy et philosophies, beauty et beauties, etc, le y du singulier devenant "ies" au pluriel. Ajoutons les barbarismes comme indicate dérivé d'indication.
JHB 20 10 25
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