lundi 31 mars 2025

Jacques halbronn Linguistique comparée (Famille latine/Sémitique). Epistémologie. Préfixes et Suffixes

Jacques halbronn Linguistique comparée (Famille latine/Sémitique). Epistémologie. Préfixes et Suffixes Nous avons déjà eu l'occasion de rappeler que la finale en "ed" du prétérit et du participe passé en anglais venait de l'ancien français (les bleds); ce qui pose la question de l'usage de l'accent sur la lettre "e" en français "moderne". Le cas de l'infinitif nous semble particulièrement intéressant à étudier au prisme du rôle du verbe auxiliaire avoir tant pour le passé que pour le futur. Il a mangé, il mangera. Il est clair, en effet, qu'initialement, le passé composé de la première conjugaison ne se terminait pas par un "é" Rappelons que la conjugaison en "ir" n'est pas concernée (écrit/e). Or, nous avons dans le dispositif actuel Il a mangé / il mangera. Il a écrit, il écrira On peut se demander si au départ, on n'avait pas "il a écrire" au lieu "il a écrit" puisque, au futur, on trouve il écrira et non pas il écrita (sic).... Mais l'on peut se demander si on n'avait pas à l'origine, il a manger , ce qui conduit logiquement à il mangera. Nos observations visent la consonne "r" , dans les deux groupes, laquelle aurait disparu dans les deux cas si ce n'est que l'emprunt de l'anglais au français met en avant une finale en "ed" du participe français et non pas en "er". La finale er semble être au demeurant sensiblement plus attestée que la finale ed. Un infirmier/une infirmière etc. On devrait donc ne pas changer la prononciation française en vigueur mais rétablir l'écrit, sachant que, selon nous, l'infinitif est neutre à l'écrit et n'est impacté par des marqueurs qu'à l'oral Le mise en place du é reléve d'un facheux alignement de l'écrit sur l'oral, ce qui vient sensiblement perturber l'agencement grammatical. D'une façon générale, l'accent -quel qu"il soit( sur le "e" tend à éliminer une consonne, tout comme l'apostrophe une voyelle. L'anglais "forest" correspond au français "forêt tout comme l'allemand Fenster au français fenestre. En fait, le français procéde à l'inverse de l'hébreu:préfixation du passé et suffixation du futur; Selon nous, il faut partir de l'infinitif et compléter par le verbe avoir, soit en position préfixale, soit en position suffixale. Au niveau de l'écrit, on en restera à la forme infinitive avec le dans tous les cas de figure J'ai manger(sic) (devenu manged (cf le "ado" de l'espagnol), puis mangé), et je mangerai. On aura forme en "er" pour le participe passé, au masculin et en ère, au féminin. Cela ne devrait pas trop surprendre vue la fréquence en français des finales en er et ere. exemple Premier/première. Logiquement, le passé devrait correspondre à des préfixes et le futur à des suffixes. C'est le cas pour les langues latines et notamment pour le français: j'ai mangé (ed,er), je mangerai, Le verbe avoir a ici valeur d'affixe. A contrario, les langues sémitiques inversent le processus en usant du suffixe pour marquer le passé et du préfixe pour marquer le futur. Cela pourrait s'expliquer pour l'hébreu en raison du "vav conversif" (usité dans Genése I, avec le Vayomer) tout comme dans la "Shema Israel" avec le VaAhavta)) car cette pratique ( dont nous ignorons son existence pour l'arabe) va faire - comme son nom l'indique - d'un passé un futur et d'un futur un passé. C'est ainsi que "tu aimeras" devient dans le "Shema Israel" "tu as aimé" alors que '"il a dit" devient "et il dira"! On pourrait aussi s'intérroger tant qu'à faire sur la question de la lecture de gauche à droite ou de droite à gauche qui distingue les deux familles de langues. JHB 31 03 25

jeudi 27 mars 2025

jacques halbronn Linguistique comparée. Epistémologie. Le probléme des accents sur la lettre "e" en français.

jacques halbronn Linguistique comparée. Epistémologie. Le probléme des accents sur la lettre "e" en français. Nous avons déjà eu l'occasion de rappeler que la finale en "ed" du prétérit et du participe passé en anglais venait de l'ancien français (les bleds); ce qui pose la question de l'usage de l'accent sur la lettre "e" en français "moderne". Le cas de l'infinitif nous semble particulièrement intéressant à étudier au prisme du rôle du verbe auxiliaire avoir tant pour le passé que pour le futur. Il a mangé, il mangera. Il est clair, en effet, qu'initialement, le passé composé de la première conjugaison ne se terminait pas par un "é" Rappelons que la conjugaison en "ir" n'est pas concernée (écrit/e). Or, nous avons dans le dispositif actuel Il a mangé / il mangera. Il a écrit, il écrira On peut se demander si au départ, on n'avait pas "il a écrire" au lieu "il a écrit" puisque, au futur, on trouve il écrira et non pas il écrita (sic).... Mais l'on peut se demander si on n'avait pas à l'origine, il a manger , ce qui conduit logiquement à il mangera. Nos observations visent la consonne "r" , dans les deux groupes, laquelle aurait disparu dans les deux cas si ce n'est que l'emprunt de l'anglais au français met en avant une finale en "ed" du participe français et non pas en "er". La finale er semble être au demeurant sensiblement plus attestée que la finale ed. Un infirmier/une infirmière etc. On devrait donc ne pas changer la prononciation française en vigueur mais rétablir l'écrit, sachant que, selon nous, l'infinitif est neutre à l'écrit et n'est impacté par des marqueurs qu'à l'oral Le mise en place du é reléve d'un facheux alignement de l'écrit sur l'oral, ce qui vient sensiblement perturber l'agencement grammatical. D'une façon générale, l'accent -quel qu"il soit( sur le "e" tend à éliminer une consonne, tout comme l'apostrophe une voyelle. L'anglais "forest" correspond au français "forêt tout comme l'allemand Fenster au français fenestre.. Une réforme du français écrit impliquerait la suppression de tous les accents et de toutes les apostrophes qui ne sont que des aides à la prononciation, ce qui reléve d'une tradition orale qui a généralement su se maintenir en franiçais. En fait, c'est tout l'enseignement de la lecture orale de l'écrit qui serait à revoir. En fait, à la base, à un stade indéterminé, on a l'infinitif lequel, à l'oral, selon la conjoncure, se transmure en futur par l'adjonction du verbe avooir ou en passé en plaçant le verbe avoir en position préfixale Il importe de séparer clairement les deux temps, de l'indétermination et de la détermination; JHB 28 03 25

jacques habronn Café philo Mcdo avec Ahmed. La problématique de l'auxil...

jacques halbronn Linguistique comparée. Le français et son traitement de l'accompli et de l'inaccompli.

jacques halbronn Linguistique comparée. Le français et son traitement de l'accompli et de l'inaccompli. On aura compris qu'il n'est pas question pour nous de valider un quelconque statu quo dès lors qu'il ne correspond pas à nos exigences critiques et ce, quand bien même, le dit statu quo aurait été valider tant dans l'espace que dans le temps social. C'est ainsi, qu'à l'aune de nos dernières réflexions, il ressort que la formation actuelle du futur en français (entre autres langues latines) reléve d'un contre-sens comme il apparait de par la comparaison avec l 'hébreu (entre autres langue sémitiques) Au départ du systéme matriciel, le passé se servait de préfixes et le futur de suffixes. comme dans le cas de l'hébreu lequel pratique, dans le Pentateuque le vav conversif. C'est ainsi que l'énoncé des Dix Commandements passe par l'usage repété de la lettre Thav, correspondant à la deuxiéme peronne (At/ata/Atem) en position préfixal (le futur étant assimilé à l'impératif) Par ailleurs, le passé en hébreu et en arabe est marqué par un suffixe repris du pronom personnel A cela près que le passé de la première personne du singulier est en "tou" ou en "ti" alors qu'il devrait être en "ni", "nou", calqué sur la première personne (Ani Ana, Anahnou) Il y a là une anomalie impactant l'ensemble des langues sémitiques tout comme nous avons pu relever des anomalies impactant l'ensemble des langues latines; Autre anomalie, en hébreu, la seconde personne du singulier aura été inversée: At et Ata correspondent actuellememen au Tu féminin et au Tu masculin alors que cela devrait être l'inverse, la forme At est tyiquement masculine du fait qu'elle ne rend pas de finale vocalique. (cf l'exemple du français petite/petit) Or, le probléme va affecter la formation du verbe français au passé -première personne- qui se présente de nos jours avec une finale en "ta" et non en "t". Prenons le cas du Shema Israel. qui débute par VeAhavta" (vav inversif) : tu aimeras, s'adressant à tout homme juif En réalité, le français, au niveau matriciel, grammatical, fonctionne sur les deux registres. Avec l'auxiliaire avoir, il contrôle aussi bien le passé (composé) que le futur. J'ai aimé versus J'aimerai. JHB 27 03 25

mardi 25 mars 2025

jacques halbronn Critique inguistique. Première Partie

es halbronn Critique linguistique. Iere partie On aura compris qu'il n'est pas question pour nous de valider un quelconque statu quo dès lors qu'il ne correspond pas à nos exigences critiques et ce, quand bien même, le dit statu quo aurait été valider tant dans l'espace que dans le temps social. C'est ainsi, qu'à l'aune de nos dernières réflexions, il ressort que la formation actuelle du futur en français (entre autres langues latines) reléve d'un contre-sens comme il apparait de par la comparaison avec l 'hébreu (entre autres langue sémitiques) Au départ du systéme matriciel, le passé se servait de préfixes et le futur de suffixes. comme dans le cas de l'hébreu lequel pratique, dans le Pentateuque le vav conversif. C'est ainsi que l'énoncé des Dix Commandements passe par l'usage repété de la lettre Thav, correspondant à la deuxiéme peronne (At/ata/Atem) en position préfixal (le futur étant assimilé à l'impératif) Par ailleurs, le passé en hébreu et en arabe est marqué par un suffixe repris du pronom personnel A cela près que le passé de la première personne du singulier est en "tou" ou en "ti" alors qu'il devrait être en "ni", "nou", calqué sur la première personne (Ani Ana, Anahnou) Il y a là une anomalie impactant l'ensemble des langues sémitiques tout comme nous avons pu relever des anomalies impactant l'ensemble des langues latines; Autre anomalie, en hébreu, la seconde personne du singulier aura été inversée: At et Ata correspondent actuellememen au Tu féminin et au Tu masculin alors que cela devrait être l'inverse, la forme At est tyiquement masculine du fait qu'elle ne rend pas de finale vocalique. (cf l'exemple du français petite/petit) Or, le probléme va affecter la formation du verbe français au passé -première personne- qui se présente de nos jours avec une finale en "ta" et non en "t". Prenons le cas du Shema Israel. qui débute par VeAhavta" (vav inversif) : tu aimeras, s'adressant à tout homme juif JHB 25 03 25

Jacques halbronn Astrologie septennale et Anthropolinguistique

jacques halbronn Astrologie septennale et Anthropolinguistique. L’interdisciplinarité est une absolue nécessité pour valider un dispositif a fortiori quand le même auteur maitrise les différents domaines qu’il lui incombe de connecter. Dès lors, nous dirons que la phase cardinale, en Astrologie septennale, correspond à l’oral, au « fini » alors que la phase mutable correspond à l’écrit en raison de sa polysémie et de son indétermination Récapitulons, l’oral est lié au passage de la puissance à l’acte, mettant fin à l’indéfinition de l’écrit. A l’oral, on est dans la cristallisation des clivages, c’ »est donc un stade ultime, final, un aboutissement, un accouchement et non pas un commencement, ce qui doit caractériser le stade cardinal. A contrario, la phase de Saturne en signes mutables correspond à un début,, à l’enfance comme au départ d’une course dont on ignore l’identité du vainqueur à l’arrivée. Théologiquement, la Création est une conclusion qu’il faut assumer d’entrée de jeu. C’est le temps cardinal (le fait accompli) qui laissera la place, à la fin du cycle de 7 ans à un état gazeux-en mutation On doit donc prévoir avec l’entrée de Saturne en Bélier (thème du Colloque des 29-30 mars) à 840 jours (soit 2 ans et 4 mois) durant laquelle, l’ordre établi par la Création de notre monde, devra être respecté. JHB 25 03 25

lundi 24 mars 2025

jacques halbronn Anthropolinguistique Epistémologie. De l’infinitif au futur . La suffixation à l’oral

jacques halbronn Anthropolinguistique Epistémologie. De l’infinitif au futur . La suffixation à l’oral. Nous avions déjà signalé que le futur en français dérivait de l’infinitif. Le mot même d’infinitif est à rapprocher d’indéfini. Dans notre dispositif, il correspond à un état virtuel, latent en attente de précision, d’orientation à l’instar de l’adjectif et du participe. wzb Le verbe à l’infinitif et le verbe conjugué . »Tous les verbes sont conjugués. Le verbe à l’infinitif est toutefois conjugué à un mode impersonnel, sans sujet. Il est aussi la forme nominale du verbe ». Un tel second stade reléve au départ de l’oralité alors que le premier se situe au niveau de l’écrit lequel s ‘ouvre à plusieurs lectures, du moins avant qu’une certaine pratique n’en vienne à le corrompre, en l’alignant abusivement sur l’oral, ce qui aura égaré bien des linguistes dans leur entreprise de description des langues. Le passage à l’oral implique un processus d’addition, de suffixation. C’est ainsi que l’infinitif « manger » donnera « mangerai », en se servant du verbe avoir ‘ai, as, as, ons etc). L »anglais n’a pas su adopter cette approche suffixale et, comme l’allemand, il fait précéder l’infinitif d’un auxiliaire (shall, will, werden ) La suffixation caractérise le genre et à l’oral – mais seulement à l’oral, il convient de préciser le masculin et le féminin. L’anglais a raison de ne pas le préciser en amont (oral) mais il ne réussit pas pour autant à marquer le genre. Il en reste donc même à l’oral au stadde « neutre ». L’allemand , quant à lui, distingue déjà à l’écrit le genre à commencer par l’usage de l’article indéfini (ein (e) mais là encore, il ignore la régle que pratique le français quand il distingue à l’oral le « un » (perte du n) et le « une » (maintien du n). Idem pour petit et petite. D’autres langues comme l’italien ou l’espagnol, se contentent du « o » pour marquer le masculin et du « a » pour marquer le féminin au lieu de jouer sur l’alternance voyelle/consonne comme en français (Jean/ Jeanne) Dans le cas de l’hébreu, l’adjectif au féminin comporte un « a » final (d »où le shewa rendu phonétiquement par une apostrophe) mais au masculin, il se termine par une consonne: qatan; q’tana -(petit/petite) mais sans recourir à la diphtongaison. A ce propos, rappelons que l’apostrophe élimine les voyelles alors que l’accent (sur le e) élimine les consonnes à l’oral, ce qui a d’ailleurs conduit le participe français en « ed à remplacer le d par un é (ce dont témoigne l’emprunt anglais) mais dans ce cas, cela compromet la formation du féminin de la première conjugaison du français en « er » , ce qui n’est pas le cas, en revanche, pour l’infinitif en « ir » : écrit (e). Il est temps de reformuler les régles de prononciation du français mais en insistant sur l’importance du stade oral car il importe de rétablir la conscience de l’état neutre à l’écrit, ce que l’anglais a réussi à faire mais sans parvenir à clarifier correctement le processus phonologique/ JHB 24 03 25

jacques halbronn Critique anthroolingustique de la pensée d'Oswald Spengler (Déclin de 'Occident)

jacques halbronn Critique anthtropolinguistique de la pensée d’Oswald Spengler (Déclin de l’Occident) Nous avons développé récemment la notion de neutralité dans le domaine de l’anthropolinguistique Le neutre est un état indéterminé, « indéfini » – au sens grammatical d’article indéfini par opposition à article défini. Par ailleurs, nous avons insisté sur la dialectique entre le chef et la population dont il la charge. Spengler – autant que nous le sachions- n’aura pas assez accordé d’importance à cette relation entre une personnalité et un collectif, situation illustrée particulièrement dans le Livre de l’Exode (Pentateuque). Or, pour nous, une population reléve du stade préalable de la neutralité, avec le passage du signifiable au signifié., tout ce qui est signifiable ne passant pas nécessairement, automatiquement, au stade du signifié. Nous avons également approfondi la question de la Matrice, laquelle reformate la matière pour lui confére une certaine forme, tout en préservant la spécificité de ce qui se voit ainsi formaté. Enfis, Spengler ne semble pas avoir recherché un quelconque support cosmique repérable à sa théorie de l’Histoire. Notre théorie du Neutre oppose l’écrit à l’oral. L’écrit est voué à basculer, en connaissance de cause, à l’oral, vers le masculin ou vers le féminin, vers le singulier ou le pluriel, vers le passé ou vers le futur, ce qui signifié que l’écrit ne saurait empiéter sur l’oral, le pré-déterminer. Or, force est de constater que ce principe est rarement respecté de nos jours, du fait d’une tendance à vouloir aligner l’écrit sur l’oral. Nos travaux sur les relations entre le français et l’anglais, ont mis en évidence d’un état premier du français articulé sur la neutralité, attesté par la caractère « invariable » de l’adjectif en anglais. En fin de compte, le français actuel aura su préserver jusqu’à un certain point son oralité alors que l’anglais n’aura pas réussi à déterminer, à définir l’écrit lors du passage au stade oral. Dans le cas de l’allemand, langue dans laquelle écrit Spengler, comment y traite-t-on de l’article « indéfini » « ein », à rapprocher du « un » français. On a bien le duo « ein ». »eine » mais cette dualité est déjà affirmée à l’écrit, à la différence de l’anglais alors qu’à l’écrit, on ne devrait touver que la forme « ein », laquelle reste seulement à préciser à l’oral . Qui plus est la forme « eine » pour marquer le féminin ne respect pas la dialectique voyelles.consonnes dont nous avons traité dans différents texte, le masculin devant ici être comme en français « diphtongué » un/une. Dès lors, Spengler ne disposait pas d’une matrice valable dans sa langue lui permettant d’appréhender le passage du neutre (indéfini/présent) au déterminé. (défini) Spengler n’a pas compris le rôle à accorder au « signifiant », lequel permet de passer du signifiable au signifié. Ce signifiant, c’est le Chef, le Leader, le Fûhrer, le Messie sans l’intervention duquel le signifiable « population »(Volkgeist) ne sera pas activé. Rappelons que pour le lecteur de la Bible, le chef est complétement distinct, étranger au peuple, qu’il aura reçu mission d’orienter.(cf Exode III) Cette notion d’activation semble assez étrangère à Spengler (cf David Engels Oswald Spengler Introduction au Déclin de l’Occident (ed Nouvelle Librairie, 2024) Avec l’anthropolinguistique, il nous est possible de mettre en évidence un paralléle entre structures sociales et régles de grammaire , notamment autour de l’usage de l’article » défini » et de l’article « indéfini »: Web Quand employer l’article défini en français ? La forme de l’article défini est le au masculin singulier, la au féminin singulier (l’ lorsque le mot qui suit commence par une voyelle) et les au pluriel (féminin et masculin). L’article défini est employé : lorsqu’on désigne une chose ou une personne en particulier. Exemple : Léna est la copine de François. lorsqu’on se réfère à une personne ou une chose déjà identifiée ou bien lorsqu’on opère une généralisation. Exemple : Elle paie l’addition. après aimer, adorer, préférer, détester Exemple : Elle adore les hot-dogs. web « En grammaire, un article indéfini est une sous-catégorie de déterminant indéfini, qui participe à l’actualisation du nom noyau en indiquant simplement que le représenté, le référent (la chose, l’animal, la personne dont il s’agit), existe bien, mais demeure inconnu des actants de l’énonciation : c’est l’outil type de la détermination incomplète. Il s’oppose ainsi à l’article défini, qui lui, présuppose que le référent soit connu des actants de l’énonciation. En français, l’article indéfini prend deux formes au singulier : « un » et « une » ; et une seule au pluriel : « des » (forme mixte ou forme épicène) : Un jardin ; une maison ; des jardins ; des maisons. Remarques sur l’article indéfini singulier « L’article indéfini singulier a la même forme que l’adjectif numéral cardinal (« un / une »). Si cette forme renvoie globalement un référent inconnu du locuteur, il s’agit de l’article. Si au contraire cette forme ne renvoie qu’à une quantité unitaire, il s’agit de l’adjectif numéral. C’est le contexte linguistique ou extra-linguistique qui seul permet cette déduction : Une hirondelle est revenue. Si l’on sous-entend « une hirondelle quelconque… », « une, pas deux, ni trois… », « une » peut être analysé comme un adjectif numéral cardinal. Il peut prendre une valeur générale, proche du défini singulier appliqué à l’espèce : Un chien ne trahit jamais son maître. Pour signifier « Le chien ne trahit jamais son maître », ou « Les chiens ne trahissent jamais leur maître ». Il peut adopter une forme particulière appelée article partitif. » Résumons-nous: l’article indéfini correspond à un stade antérieur à celui de l’article défini, c’est le passage de la puissance à l’acte. C’est un préalable correspondant à la notion que nous avons établie dans de précédents textes de signifiable, notion non développée par Saussure qui se contenait d’opposer signifié et signifiant alors que l’on est en présence d’un dispositif ternaire, le neutre étant le sommet d’un triangle masculin/féminin, passage de la matière à la forme. Il ressort que Spengler n’a pas disposé du bon modèle linguistique, en dépit du fait que l’allemand comporte un article défini neutre « das » à coté de « der » et de « dit », d’où le « es » reprise par Freud dans ses topiques. web Une explication tautologique: Der Die Das – Les règles du genre en allemand « En allemand, il existe trois genres : le masculin (« der »), le féminin (« die ») et le neutre (« das »). Le genre d’un nom est reconnaissable à l’article qui le précède. Le nom en lui-même ne nous fournit aucune indication qui nous permettrait de deviner son genre. La seule manière de reconnaître le genre d’un nom allemand est de les apprendre par cœur. Pour vous aider, il existe des règles de grammaire. Attention, comme dans toutes les langues, il existe aussi des exceptions en allemand. » en fait, on est avec le neutre en diachronie et avec les deux genres en synchronie. JHB 24 03 25

lundi 17 mars 2025

jacques halbronn Crtitique linguistique La thèse d'une Matrice Morphonologique Universelle (MMU)

jacques halbronn Critique linguistique. La thèse d'une Matrice Morphonologique Universelle (MMU) Selon notre approche anthropothéologique, l'Humanité aura subi, à un certain moment de son Histoire un formatage ou un reformatage en régle, selon une dialecrique matière/forme. Un tel processus soumet les différents substrats langagiers à un seul et même modéle mais détermine des effets divers, selon le matériau concerné. On qualifiera ce processus de Matrice Morphonologique Universelle en ce que cela traite, comme on s'en longuement expliqué ailleurs, du rapport de l'écrit "neutre" à l'oral, voué à des marqueurs de genre et de nombre. Par delà la différences des dits substrats, l'on dit être en mesure de faire apparaitre la mise en oeuvre d'un même matrice, à condition, toutefois, de faire la part des emprunts, des corruptions de toutes sortes susceptibles d'avoir joué,ce qui, on l'aura compris, relativise singulièrement l'importance accordée aux données lexicales vouées à être transmutées tout en se pliant à un seul et même modéle/http://nofim.unblog.fr/2024/07/28/jacques-halbronn-linguistique-comparaison-du-francais-et-de-lhebreu-dialectique-de-lecrit-et-de-loral/ Nous allons, ici, mettre en évidence l'existence d'un même matrice à l'oeuvre entre le français, l'hébreu, l'allemand, ce qui révolutionne le champ de la linguistique comparée. Si l'on prend ainsi l'adjectif hébreu masculin "gadol" (grand, en français) et féminin "guedola" (grande; en français), l'on observe que le féminin dispose d'un sheva, qui n'est pas censé se prononcer - ile faut dire gdola- ce qui renforce le poids consonantique du mot (les consonnes correspondant au régime du féminin et les voyelles, celui du masculin, le voyelles étant séparées dans l'aphabet hébraïque au point qu'on les présente comme "diacritiques) web "Un diacritique ou signe diacritique (du grec ancien : διακριτικός / diakritikós, qui distingue ) est un signe accompagnant une lettre ou un graphème pour en modifier le sens ou la prononciation." Nous dirons que le signe diacritique vient mettre fin à la neutralité de l'écrit consonantique en le faisant basculer vers un genre ou un nombre donnés. Mais est ce que c'est le masculin qui débouche sur le féminin ou bien l'inverse? Il en est de même en hébreu pour le pluriel, gadol versus guedolim, à prononcer gdolim" Ideù pour l"écrit qatan qui devient au féminin "qtana" Cela dit, il semble qu'en hébreu moderne, le sheva n'est plus perçu comme une connexion entre deux consonnes mais comme la base d'une formation syllabique On notera que l'anglais qui a été fortement marqué par ses emprunts à un français non impacté par l'alignement assez vain de l'écrit sur l'oral, aura conservé, préservé, l'idée de neutralité pour les adjectif, ce qui laisse en principe, au locuteur le soin de "préciser" son propos, à l'oral. En revanche, de la sorte, le françàis aura su sauvegarder un mode différencié de prononciation, jusqu'à nos jours. D'autres langues germaniques auront emprunté avec plus ou moins de bonheur au modéle/moule français,comme l'allemand qui distingue à l'écrit le masculin et le féminin, ce qui correspond à un lien plus tardif que pour l'anglais avec le français mais sans en comprendre pleinement le bon mode d'emploi. Au lieu de diphtonguer la forme masculine "ein", il l'oppose à sa forme féminine :"eine", ce qui est une double erreur, tant pour le masculin que pour le féminin Enfrançais actuel, on a "grand", où le "d" final ne se prononce pas et grande, où le "e" final ne se prononce pas pour l'excellente raison qu'il est censé indiquer que la consone finale doit se faire entendre!.Lutte intéressant entre un féminin cherchant à évacuer les voyelles et un masculin ayant pour objet de se démarquer des consonnes, autant que faire se peut. Faut il en conclure que le "sheva" n'est nullement une voyelle mais bien une anti-voyelle, dont la fonction serait de "neutraliser" la voyelle?https://bibliques.com/hebreu/hebreu-03/ Si l'on prend le domaine du verbe en hébreu, on a l'exemple de "Mahshava" (pensée) à partir de Ani Hoshev: (Moi pensant) On voit que le"o" de Hoshev a été remplacé par un sheva muet dans son substantif, Dans le cas de la formation du futur en français, à partir de l'infinitif, le shewa jouera un rôle majeur: manger - je mangerai. Dans manger, l'on ne prononce par la consonne finale "r" et dans "mang'rai", on ne prononce par le E qui ne s'entend que suivi d'une consonne au sein d'une même syllabe. On observe ainsi le basculement d' une domination "vocalique" vers un domination "consonantique, tension constamment à 'l'oeuvre dans un sens ou dans l'autre/ On a signalé l'importance des dégradations du modéle, lesquelles peuvent tenir à des initiatives d'alignement de l'écrit sur l'oral quand la population ne maitrise plus les codes/ C'est ainsi qu'il est faux de déclarer que "petite" se prononce ainsi à cause du "e" final à l'écrit alors qu'à l'écrit, on doit rester à un stade de neutralité, d'indétermination. La MMU implique de rendre au locuteur- celui qui parle- toute sa place, à savoir de gérer l'écrit et non de s'y soumettre JHB 17 03 25

dimanche 16 mars 2025

jacques halbronn Linguistique du français. Le vrai rôle des consonnes et des voyelles

jacques halbronn Linguistique du français. Le vrai rôle des consonnes et des voyelles . Pour faire suite à notre mémoire de 1989 sur le "systéme du français", présenté à Louis- Jean Calvet ( Univesité Paris V) nous aborderons la question du passage de l'écrit à l'oral qui constitue certainement la plus marquante originalité ce cette langue. Entendons par là l'utilisation de la différence consonnes - voyelles en tant que marqueur de genre, ce qui est devenu complétement étranger aux autres langues européennes que nous connaissons, y compris les "latines" qui se contenent de jouer sur les seules voyelles; o pour le masculin, a pour le féminin au lieu de faire alterner les deux types de lettres. En ce qui concerne l'allemand, il semble qu'il y ait eu déperdition d'un tel code. On trouve bien ein et eine (comme en français un et une) mais l'allemand ne rend pas la diphtongue du "ein", ce qui empêche la voyelle finale '"ein" de faire pendant à la consonne finale (eine). Quant à l'anglais, il ne distingue pas l'adjectif au masculin de l'adjectif au féminin et d'ailleurs, il ne recourt à aucun marqueur pour le pluriel des adjectifs et des participes. Venons -en aux trois procédés intervenant en français pour renforcer un tel dualisme. Il y a l'apostrophe qui élimine la prononciation de la voyelle 'je t'aim). Il y a l'accent qui neutralise la prononciation de la consonne ( mangé au lieu de l'ancienne forme manged (e) et enfin, il y a la liaison qui renforce le processus consonantique aux dépends du processus vocalique.(Allons- enfants de la patrie! ) ; Le féminin du français renforce les consonnes alors que le masculin français renforce les voyelles. Qu'en est-il pour l'hébreu? On trouve à l'écrit une forme plus bréve et donc vocalique pour le masculin si ce n'est que la consonne n'est pas neutralisée pour autant, pas plus qu'elle ne l'est, on l'a vu, pour l'allemand Bien pis, en ce qui concerne le pronom personnel , c'est Ata qui est censé marquer la seconde sdu masculin et le AT celle du féminin, ce qui est l'inverse de ce que préconise le systéme. JHB 12 02 25

samedi 8 mars 2025

jacques halbronn Le franglais de William Shakespeare

jacques halbronn Le franglais de William Shakespeare. L’expression « franglais » (chère à Etiemble) peut tout à fait s’appliquer à l’anglais et cela ne date pas d’hier. Quand on étudie les oeuvres théatrales de Shakespeare, lequel va nous apparaitre comme un des propagateurs de ce franglais autrement plus net que celui dénoncé par l’auteur de « Parlez vous franglais », l’on ne peut qu’être frappé par la masse des emprunts au français. Déjà, on trouve, en chapeau, les formes « Persons represented ». en tête de chacune des pièces. On trouve la forme « Enter » chaque fois qu’un personnage arrive sur scène. Les mots « Act », « Scene » et « Part qui balisent chaque oeuvre, sont pris du français tout comme « servant », « attendant », « officer’ « prince », « niece’, uncle, Commander, guard, courtier, messenger, soldier, trumpet, Public Place » cf The Completre Works ogf Shakespeare, Spring Books The influence of French on Shakespeare’s language Cultural Differences Published on 11/07/2022 jacques halbronn Le franglais de William Shakespeare. dans LINGUISTIQUE Countries can adopt a lingua franca that is different from their mother tongue and use it in different areas of everyday life. According to the linguist David Crystal, a second language is necessary for countries and their citizens to be integrated into diplomacy, business and science. Several generations ago, people opted to learn French as their second language, but after a few decades English took over. Two nations (France and England) and also the United States, have been rivals in politics and economics for decades and when it comes to language, the world struggle for leadership still seems to be real. It is a very complicated issue related with many questions: Why is English the “world language”, how was French displaced and what influence does French have on English? Index of contents French conquering Europe and the Western World How did French permeate English after the Norman conquest of Britain? Two languages seek global dominance in contemporary times How did French and English relate to each other after World War II? The globalisation of English French keeps being valuable 1. French conquering Europe and the Western World The process of language evolution has before and after since the Battle of Hastings (1066), led by William the Conqueror. When England was occupied by the Normans, French became the English aristocracy’s new language. However it was not until 1634 internationally recognised throuh the Académie Française and its founder Cardinal Richelieu. Classical French originas date back to the 18th century as a diplomatic language, displacing Latin for international treaties after the Treaty of Rastatt (1714). Most European courts began to incorporate French; therefore, it was the predominant language in many European legal systems, like in Britain until 1733. The thoughts of the Enlightenment that emerged in France shed their light throughout Europe in this language. In the meantime, French ideas spread all over the world in great part due to the French Revolution and reached countries like Canada or the West Indies. French was used for loads of texts and philosophical works such as Diderot’s Encyclopédie. This language’s era of prestige reached a new peak in the 19th century when the Ottoman diplomacy implemented French as legal language for more than million people in 1914. French conquered Europe lexically, culturally and militarily in the midst of the age of Enlightenment and with the help of the French Revolution. 2. How did French permeate English after the Norman conquest of Britain? The Norman Conquest in 1066 affected the relationship between the French and the English. The Norman dialect, Old French, became the new court’s official language. As a result, English was clearly influenced by French. At that time, English was not one solid language, but a collection of dialects, which allowed French to penetrate on a linguistic level. Today’s English vocabulary contains many French terms. Between 1250 and 1400, the influence of the French lexicon on English was most intense, and then declined, but was never completely lost. In addition to the borrowing of commonly used words, also less frequently used but equally valid synonyms also permeated the English language. Another change was the use of some plurals, such as ‘shoes’ or ‘houses’, which end as in French with ‘s’, due to its Latin origin. However, before that the English plural used to be ‘housen’ and ‘shoen’. 3. Two languages seek global dominance in contemporary times By the 18th and 19th centuries, the influence of the English language increased worldwide, partly because of the Industrial Revolution that began in England. The country developed new technologies and scientific breakthroughs; people had to learn English in order to understand these innovations. England built its empire on the English language. After the First World War and after the Treaty of Versailles was signed, many countries all around the world noticed English influence. The end of World War II left Europe destroyed and England bankrupt. The United States exercised de facto dominance over America, so there was not much left of the hostility and rivalry between the English and the French. 4. How did French and English relate to each other after World War II? The British Empire managed to overcome France’s influence with the post-war financial recovery, in which its scientific and commercial power spread from India to Australia and the West Indies. The Empire founded universities and global commerce, which made it became a superpower in the 19th century. Britain and the United States independently made use of the same language, generating a more productive and efficient economy with tremendous influence. English dominates in economic matters, leaving aside the power of French in philosophy. Nevertheless, French is still used in European countries, Canada and some English colonies. 5. The globalisation of English American English is more globally influential in its spoken and written expression. That’s why also British English has integrated some American English words such as “kids” and “cool”. Instead of pronouncing he British English ‘sh’ it has become more common to use ‘sk’. English grammar is changing; the British present perfect (“I’ve just eaten”) is becoming rarer as it is replaced by the American “I just ate”. The American English spelling is also taking over the British English encyclopaedias. This enables a coexistence of many English variants that share a common core language. The vocabulary, phonetics, expressions and dialects of native and non-native speakers are different, so one might think that this combination is typical for the globalisation of English. 6. French keeps being valuable Yes, English is in control of many areas. But is French no longer valuable? Culturally, the best known and most relevant European philosophers and thinkers are from France: Foucault, Derrida, Bourdieu, Baudrillard and their French contemporaries who dominate intellectual discourse in the West. The French language remains relevant and a wide-spread language in the world, with 79 million native speakers and 370 million non-native speakers. JHB 08 02 2 5

vendredi 7 mars 2025

jacques halbronn Les trois temps grammaticaux et la division zodiacale ternaire des saisons

jacques halbronn Les trois temps grammaticaux et la division zodiacale ternaire des saisons Il est éminemment souhaitable anthropologiquement de relier les catégories astrologiques à des catégories linguistiques. Ainsi, nous dirons que la phase Cardinale met la priorité sur la restauration du passe, d'un retour aux sources, aux énergies qui ont pu se dissiper, se dilapide. On pense à Trump et à son "America great again"il y a 7 ans comme aujourd'hui puisque tous les 7 ans la même phase revient. En suite l'on glisse vers la phase Fixe qui est celle du temps présent et enfin, Saturne atteint la phase mutable qui est celle du futur. Chaque phase de 840 jours sacrifie peu ou prou les valeurs des autres phases. En phase pérsente, on ne tient plus trop compte des conséquences à venir ni d'ailleurs de ce qui avait constitué au départ la dynamique concernée. Le temps présent, c'est le stade neutre alors que le temps passé, c'est le masculin et le temps futur, le féminin.D'où l'importance de parvenir à de bonnes définitions des genres, sans quoi la prévision astrologique s'en trouve hypothéquée. L'homme est au départ de la grosesse et la femme à son aboutissement, à son achèvement. La phase cardinale qui se profile à l'horizon 2025-26, avec l'arrivée de Saturne en bélier (point vernal) aura pour enjeu de restaurer les fondements de disciplines comme l'Astrologie, la Linguistique, la Théologie, ce qui exige des talents, des génie assez rares. La phase suivante demandera moins de capacités et la phase mutable se projette sur un futur à inventer. Le Droit constitutionnel devra impérativement intégrer une telle cyclicité et le calendrier qui va avec au lieu de s'en tenir à un calendrier factice. La phase "fixe" (Saturne en taureau, lion, scorpion, verseau) est celle du stade neutre, celle qui peut basculer soit vers le masculin, soi vers le féminin tout comme le "présent" est à cheval sur le passé et le futur. JHB 07 02 25

jeudi 6 mars 2025

Jacques halbronn Astrology and Linguistics. The fixed signs correspond to the neutral gender in grammar, nor male (cardinal) neither female (mutable).

Jacques halbronn Astrology and Linguistics. The fixed signs correspond to the neutral gender in grammar, nor male (cardinal) neither female (mutable). In our "Astrology 7" (Septenial Astrology), the fixed signs correspond to the middle of a season, half way between cardinal and mutable signs. We connect this scheme to our linguistic, phonological work abut written and oral expressions, which, recently, has developed the question of neutrality for adjectives, following, up to a certain point, the English approach which does not distinguish the gender. To restitute the original astrology as well as the original language, it has become necessary to confer a central role to the neutral position. Indeed, what is neutral can, depending upon the context, become female (feminine), male (masculine)see: www.lumni.fr/video/le-masculin-et-le-feminin The English language has preseerved the original French spirit which considered that the written level was a matrix, due to develop in one way or another in a second stage. But the French language has succeede to keep the oral traditdion at the expenses of its written level, aligned on the oral level. Hence, one has to combine the two traditions to reconstiue a previous state of human language as given, revealed to Mankind. In the same way, Astrology is also a gift from the Gods and has a similar structure including a neutral state. and two options, cardinal and mutable, while the fixed signs occupy an intermediary status, undetermined. Moreover, the cardinal signes correspond to the past, the fixed signes to the present time, the mutable signes to the future. JHB 07 03 25

Jacques halbronn Café philo Mdcod avec Christophe, Majoub. Apprentiss...

jacquues halbronn Le bilinguisme franco-anglais et la conscience de ...

mercredi 5 mars 2025

jacques halbronn About Gruber's criticisme (2003) of his Nostradamus results since 1981.

jacques halbronn About Gruber’s criticism (2003) of his Nostradamus results since 1981. In 2003, 22 years ago, Elmar Gruber proposed an exhaustive study of my research abouth Centuries Reconsidering the « Nostradamus Plot »: New Evidence for the Critical Evaluation of the Chronology of the Editions of the Prophéties . I intend, in the present text to react to his various rejections of my conclusions which have been in the mean time completed in 2007 (Post Doctorate on the history of nostradamic criticism and 2011 (Revue Française d’Histoire du Livre) . I will start to summarize my main points before discussinge Gruber’s positions toward my work. But, I will start by underlining the fact that you need a certain experience on forgeries not to loose your path in that regard. My 1999 thesis was as a matter of fact not exclusively dedicated to Nostradamus, far from that as it inclued the Protocols of Zion for example.Its title « The French prophetical text. Formation and fortune, covered a much more extended field in time and in authors, which is actually the weak point of most nostradamical studies, mostly concentrated on the life of Nostradamus. Main points: 1 Some imitators of Nostradamus, in the 1570, have been used to produce pseudo-nostradamic literature, as Antoine Crespin. 2 The forgers have used all sorts of documents to nurish their Centuries entreprise as has shown Liaroutzos concerning the use of he Guide des Chemins de France by Charles Estienne. We have recently shown that the work of Guillaume de La Perriere, published in 1552, at Mace Bonhomme publishing house, with as title « Four Centuries » has directly inspired the 1555 edition at the same place. 3 It is therefore clear that the first false edition of the Centuries had the same title, refering to 4 Centuries, which is not the case of the false Mace Bonhomme édition which includes 4 Centuries but the last one uncomplete while we have a 1588 editions (cf Ruzo) « Grandes et Merveilleuses Predictions divisées en 4 centuries » (Rouen, Petit Val). 4 The 1588-89 editions only include the 4 Centuries editions, in spite of the fact that there was 1557 and 1568 editions supposedly already published. 5 the second volume of the Centuries (VIII, IX, X) first included the Epistle to Pope Sixte IV since some quatrains of that group refer implicitely to it and to the year 1567 so that we understand quatrain VIII, 77 mentioning 27 years « Vingt sept ans durera cette guerre ». Precisely, if we ad 1567 to 27, you get 1594 year Henri IV’s coronation. The Epistle was later on replaced by a pseudo Epistle to Henri the Second, which used a first Epistle to this same king introducing the Pressage Merveilleux. The name of Chartres had replaced Chastres in order to prove that Nostradamus had predicted thet the coronation will not take place in Reims but in Chartres, exceptionnally( see .http://www.propheties.it/Researches171-180.htm 5 the 1580 s forgers have used an amount of documents to create an illusion of authenticity and that included false almanachs published in the 1560s. The made a fatal mistake in reproducing the image used by those pirate almanachs in order to illustrate the false 1555-1557 editions of the Prophecies. 6 There wea actually quatrains in the true almanachs of Nostradamus and this was the reason why this form was chosen to constitue the false Centuries The content of those quatrains was derived from prose predictions inclued in the respective almanachs. And this is also the reason why I say that one has to look for the origine of the false quatrains within the true prose production of Nostradamus (cf our Post Doctorate 2007, Le Dominicain Giffré de Rechac etc My introduction on You tube). The relation between prose and verses has been, at that time, a major progress, later than the article by Gruber. 7 The position I had in 2002, in my book on Documents Inexploités, has been completely revised and I had abandoned the idea according to which the revival of Nostradamus took place only a few years after his death (1566) So that my analysis of Androgyn (1570) and Prophéties by Antoine Crespin (1572) was therefore postdated of around 15 years. It appears anyway that Chavigny was a main contributor to such a revival in the 1580-1590s. 8 On the basis of Liaroutzos research, I could prove that the original text of such a source (guide des Chemins de France) was modified so that the mention of Chastres was changed in Chartres to fit with the expected coronation taking place in that City . My Answer to certain Gruber’s points. Gruber argues that the quatrains which I said (1997) have been produced at the time of the League against the city of Tours did not find any echo as if we had kept everything dating from that period. It is a strange coincidence that the missing quatrains of the first 1588 false editions include précisely IV, 46. Gruber does note like when I say that Couillard in his Prophecies, attack an edition of Nostradamus that has not been kept, including an Epistle to Cesar. This is this missing edition which has inspired the false Epistle to Cesar in the same way as there was, as said above, a first Epistle to the King. that does not mean at all that the false editons of the Epistle to Cesar is the exact copy of the previous one in the same way as the false edition of the Epistle to the King would be the exact copy of the previous one. Fortunately we do have a copy of the Epistle (see my 2002 reprint) Gruber ends his attack with an analysis of my statements about Chavigny. This Recueil des Présages Prosaïques includes the draft of the almanachs sent to publication, without the quatrains which were composed by some versificator. Gruber mentions the attempts by Chavigny to connect diverse pieces of the Nostradamus corpus together. So what? The main idea of Chavigny was to demonstrate the unity of the whole, especially in his « Janus Gallicus »(1594) mixing quatrains of almanachs to quatrains of the Centuries in his commentary. JHB 05 02 25

lundi 3 mars 2025

Jacques halbronn Sociolinguistique. Certaines langues sont plus formatrices que d'autres de par la gymnaqtique qu'elles imposent

jacques halbronn Sociolinguistique. Certaines langues sont plus formatrices que d'autres de par la gymnastique qu'elles imposent. Nous prendrons deux exemples que nous connaissons bien, à savoir le français et l'hébreu, l'une étant notre langue maternelle, l'autre une langue dans laquelle nous nous étions immergés dans les années 1968-69 du fait d'un séjour prolongé en Israel. Ces deux langues sont très exigeantes pour des raisons bien différentes mais dans les deux cas du fait de leur dialectique sophistiquée entre l'écrit et l'oral, thème devenu actuellement central dans nos recherches linguistiques. Dans le cas du français, on peut parler d'une forme récurrente d'homonymie si par là on entend des mots qui se ressemblent mais avec des acceptions différentes par opposition aux synonymes qui concernent des mots qui ne se ressemblent pas mais qui ont grosso modo le même sens. Si le français offre une grande fluidité, cela tient au fait qu'à partir d'une même racine, ils instaurent un grand nombre de dérivés/dérivations, c'est à dire que les signifiants du français - pour reprendre la terminologie saussurienne- sont faiblement différenciés et ce d'autant que le français pratique une forme de réduction de son lexique, du fait de ses codes de passage de l'écrit à l'oral, qui peut déconcerter celui qui n'est pas assez attentif et qui a du mal à connecter, à ne pas confondre de qui est assez proche alors que dans une langue truffé de synonymes, l'effort ne sera pas comparable car les mots en usage sont nettement distincts tout comme la prononciation des mots est plus marquée qu'en français. On pense notamment à l'anglais, langue fortement synonymique du fait de ses emprunts et d'une carence de son modéle d'intégration et de formatage.. Paradoxalement, l'anglais peut constituer une forme plus accessible du français du fait de son incapacité à en capter toute la complexité. Dans le cas de l'hébreu, le locuteur face à l'écrit, non aligné sur l'oral, en raison de la mise à l'écart des voyelles - sauf pour des ouvrages religieux (Bible, livres de prières)-va devoir faire un effort assez considérable pour connecter l'oral à l'écrit.En ce sens, tout comme le français, la pratique se révéle particulièrement formatrice. Dans les deux cas, l'analphabétisme constituera un très sérieux handicap, disqualifiant et marginalisant. C'est d'ailleurs un cercle vicieux pour les langues sémitiques en général car la difficulté de décryptage, de déchiffrement, tend à décourager l'apprentissage de l'écrit. De même, l'hébreu figurant dans la littérature synagogale avec ses indications de prononciation (niqoud) sera, notamment dans la "diaspora", plus pratiqué que l'hébreu israélien. Comme on sait, la mauvaise monnaie chasse la bonne

jacques halbronn Linguistique française. L'écrit est neutre et bascule alternativement vers le masculin et le féminin à l'oral

jacques halbronn Linguistique française. L'écrit est neutre et bascule vers le masculin et le féminin à l'oral La lettre "e" en français joue un rôle clef, pivotal dans la relation consonnes/voyelles, tant par sa présence que par son absence.. C'est ainsi que son absence implique de ne point prononcer une consonne finale/(exemple petit/petite) En revanche, quand le "e" se place au milieu d'un mot, il tend à éliminer les voyelles. (exemple je te aime devient " comm' j't'aime") par le biais de l'apostrophe. Quant à la diphtongue (bon/bonne, un/une), elle ne fonctionne plus quand s'ajoute un e. Si l'hébreu sépare à l'écrit consonnes et voyelles, en usant deux "alphabets paralléles, en revanche, le français intervient surtout au niveau de l'oral en constituant des ensemble homogénes, des clusters tantôt à dominante consonne, tantôt à dominante voyelle. les langues que nous pratiquons n'y parviennent pas ou mal/ et ce grâce à un certain usage du "e". L'hébreu dessine différemment certaines lettres selon qu'elles sont finales ou médianes mais sans effe phonologique spécifique Dans cette leçon, nous apprenons les lettres finales (סופיות) : ך, ם, ן, ף. Le problème du français est l'alignement de l'écrit sur l'oral, ce qui vient fausser la dialectique mais facilité l'accés à l'oralité, par le biais des accents (participe passé de la première conjugaison: limited changé en limité et des apostrophes. Cependant, l'emprunt de l'anglais au français aura été antérieur à un tel ajustement et donc cela nous sert à restituer l'état premier de l'écrit. L 'inconvénient, c'est que cet alignement n"aura été que partiel et dans bien des cas, c'est au locuteur de procéder, par lui même, au décodage. En fait, l'écrit correspond selon nous au "neutre". Ce qui a faussé les descriptions jusqu'à ce jour, c'est de ne pas avoir fait la part de l'alignement éventuel sur l'oral; Il importe donc de déconstruire les effets d'un tel procédé qui aura notamment généré l'usage des accents et des apostrophes. Prenons l'exemple de l'adjectif "bon", à l'écrit il doit rester "neutre", même au féminin et ce n'est qu'à l'oral, au vu du contexte, qu'on prononcera ou non le "n" final et que l'on prononcera ou non la diphtongue (on) au masculin; Autrement dit, la forme écrite "bonne" - résultant de l'alignement évoqué plus haut, est à bannir de la langue française telle que nous entendons la restituer, la réformer, la ressourcer. C'est lors du passage à l'oral qu'un certain nombre de choix vont s'imposer lesquels n'ont pas à être prédéterminés à l'écrit. Il serait donc erroné de déclarer que le français ignore grammaticalement le cas du "neutre", par opposition à l'allemand et son "der, die, das"/ Cette valeur neutre est bel et bien centrale dans notre nouvelle description restauratrice du français. L'on peut même supposer que l'allemand aura mal compris, assimilé, traduit certains codes comme on a pu le faire remarquer, dans de précédents articles, à propos du "ein/eine" sur le modéle du "un/une" puisque l'allemand a perdu la pratique de la diphtongue du "ein", au masculin et ne met pas suffisamment en évidence la dialectique voyelle/consonne en tant que marqueur de genre. JHB 03 03 25