jeudi 31 mars 2016
mercredi 30 mars 2016
mardi 29 mars 2016
vendredi 25 mars 2016
jeudi 24 mars 2016
mercredi 23 mars 2016
jacques Halbronn. Sexo-cyclologie. Du stade androgynal au stade phallque. Créations I et II.
Le stade androgynal et le stade phalique au regard de la sexo-cyclologie
par Jacques Halbronn
Nous exposerons ici le dernier état de nos travaux dans le domaine de la S. C. Pour nous, il y a un premier stade que nous qualifierons d'androgynal et qui correspond au premier récit de la Création du Monde en six jours. La femme correspond anatomiquement - vagin excepté, au personnage de l'androgyne notamment de par son absence de phallus (externe) alors que l'homme tel qu'on le connait encore de nos jours correspond au sade de la deuxiéme Création du monde quand il est dit dans la Genése que Dieu vit qu'Adam était seul et donc que ce n'était pas "bien" (tov) comme il l'avait cru initialement.
L'Adam du stade II a asservi l'Adam du stade I et cela est raconté dans la Genése quand il est dit que Dieu mis la femme sous la dépendance d'Adam, ce qu'il faut comprendre comme la soumission de l'androgyne à l'Adam phallique capable de transférer son sperme sur un androgyne aménagé et qui donc ne correspondait plus non plus au plan de la première Création.
Sur le plan cyclologique, nous dirons que la conjonction (Saturne-le carré des étoiles fixes royales) favorise l'Adam phallique(homme) et soumet l'Adam androgynal (femme). Ce stade correspond analogiquement à la nouvelle lune, laquelle s'oppose à la pleine lune par sa finesse alors que la pleine lune est "grosse", "enveloppée", "ronde", ce qui correspond à l'androgyne qui est en quéte de totalité et qui ne pense pas l'altérité comme un relais de fonctionnement.
En d'autres termes, la conjonction implique un délestage, un régime amaigrissant permettant de retrouver sa "ligne", sa "forme" d'origine en évacuant le surpoids. Quand advient la disjonction, l'on cesse d'observer une telle cure et l'on tend à se recharger, à grossir, ce qui conduit à un monde "obése" où les formes d'origine ne sont plus perceptibles.
Même si la femme actuelle a perdu sa fonctionalité androgynale sur le plan sexuel, elle en a conservé de nombreux aspects sur le plan tant anatomique (absence de phallus, utérus) mais surtout sur le plan psychique en ce sens qu'elle tend instinctivement vers une dimension holistique (le tout, le "whole" en anglais). Elle a du mal avec la prise en compte de l'autre et elle tend à tout résoudre par ses seuls moyens.
A contrario, l'homme du stade phallique est mu par l'instinct inverse, à savoir utiliser autrui pour se dispenser d'un certain nombre de corvées, ce qu'on peut appeler une subconscientisation externe (notre environnement naturel, social) comme il existe une subconscientisation interne (notre organisme physiologique)
C'est ainsi que l'homme tend à utiliser la femme dans le cadre de ses objectifs alors que la femme tout en se pliant à ses exigences, n'en reste pas moins marquée par un fort besoin d'autonomie de type androgynal, ce qui risque fort de découcher sur un "double bind".
JHB
23 03 16
par Jacques Halbronn
Nous exposerons ici le dernier état de nos travaux dans le domaine de la S. C. Pour nous, il y a un premier stade que nous qualifierons d'androgynal et qui correspond au premier récit de la Création du Monde en six jours. La femme correspond anatomiquement - vagin excepté, au personnage de l'androgyne notamment de par son absence de phallus (externe) alors que l'homme tel qu'on le connait encore de nos jours correspond au sade de la deuxiéme Création du monde quand il est dit dans la Genése que Dieu vit qu'Adam était seul et donc que ce n'était pas "bien" (tov) comme il l'avait cru initialement.
L'Adam du stade II a asservi l'Adam du stade I et cela est raconté dans la Genése quand il est dit que Dieu mis la femme sous la dépendance d'Adam, ce qu'il faut comprendre comme la soumission de l'androgyne à l'Adam phallique capable de transférer son sperme sur un androgyne aménagé et qui donc ne correspondait plus non plus au plan de la première Création.
Sur le plan cyclologique, nous dirons que la conjonction (Saturne-le carré des étoiles fixes royales) favorise l'Adam phallique(homme) et soumet l'Adam androgynal (femme). Ce stade correspond analogiquement à la nouvelle lune, laquelle s'oppose à la pleine lune par sa finesse alors que la pleine lune est "grosse", "enveloppée", "ronde", ce qui correspond à l'androgyne qui est en quéte de totalité et qui ne pense pas l'altérité comme un relais de fonctionnement.
En d'autres termes, la conjonction implique un délestage, un régime amaigrissant permettant de retrouver sa "ligne", sa "forme" d'origine en évacuant le surpoids. Quand advient la disjonction, l'on cesse d'observer une telle cure et l'on tend à se recharger, à grossir, ce qui conduit à un monde "obése" où les formes d'origine ne sont plus perceptibles.
Même si la femme actuelle a perdu sa fonctionalité androgynale sur le plan sexuel, elle en a conservé de nombreux aspects sur le plan tant anatomique (absence de phallus, utérus) mais surtout sur le plan psychique en ce sens qu'elle tend instinctivement vers une dimension holistique (le tout, le "whole" en anglais). Elle a du mal avec la prise en compte de l'autre et elle tend à tout résoudre par ses seuls moyens.
A contrario, l'homme du stade phallique est mu par l'instinct inverse, à savoir utiliser autrui pour se dispenser d'un certain nombre de corvées, ce qu'on peut appeler une subconscientisation externe (notre environnement naturel, social) comme il existe une subconscientisation interne (notre organisme physiologique)
C'est ainsi que l'homme tend à utiliser la femme dans le cadre de ses objectifs alors que la femme tout en se pliant à ses exigences, n'en reste pas moins marquée par un fort besoin d'autonomie de type androgynal, ce qui risque fort de découcher sur un "double bind".
JHB
23 03 16
mardi 22 mars 2016
Jacques Halbronn, Du Shabbat au Shavoua Tov. Le rééquilibrage
Le « Shavoua Tov » animé par Jacques Halbronn, à partir du mois
d’avril 2016
Tous les samedis de
18h30 à 20h.
Au 8, rue de la Providence . 75013 Paris. M° Place d’Italie
Le principe est de rééquilibrer la pratique juive
du week end en proposant un second volet , autour de la Havdalah et du
principe de Création.
Pratiquer le « Shavoua Tov» c’est commencer la
nouvelle semaine dans un esprit prenant le contrepied du Shabbat qui est une
fin de cycle. Il s’agit d’amorcer un
nouveau cycle hebdomadaire en célébrant le temps actif de la Création et non sa
suspension.
Ce Shabbat bis qui vise à intégrer à terme au sein de la synagogue
une pratique qui fera immédiatement suite à la fin du « premier shabbat »,
sera axé sur des activités créatives et notamment sur l’improvisation musicale.
Il comportera
une réflexion sur le Shéma Israel, les Dix Commandements, sur la différence
entre hommes et femmes et sur les 5 premiers chapitres de la Genése, ce qui
inclura une certaine pratique de l’hébreu ancien et moderne.
Il est inadmissible que le temps central de la vie
juive se limite en pratique à un temps de fin de cycle. Il importe sue cette
fin de cycle soit immédiatement suivie du départ d’un nouveau cycle . D’où l’idée
d’un rééquilibrage de la fin de semaine qui doit aussi être un début de semaine
.
On passe ainsi du Shabbat au Shavoua Tov.
Collation proposée. PAF : 7
euro.
Tel 06 60 75 52 48
lundi 21 mars 2016
mercredi 16 mars 2016
mardi 15 mars 2016
lundi 14 mars 2016
jacques halbronn Rééquilibrage du Shabbat au prisme du masculin et du féminin
Vers un rééquilibrage du Shabbat
au prisme du masculin et du féminin
Par jacques
Halbronn
Nous avons montré que l’esprit du
Shabbat était radicalement opposé à celui des Dix Commandements puisqu’il prend le contre-pied des Six Jours
de la Création. Cet esprit est féminin,
en ce sens qu’il se situe dans le prolongement du processus qui l’a précédé
tout comme la naissance d’un enfant est déclenchée, enclenchée par l’homme pénétrant la femme et la
fécondant, deux opérations nécessaires à la procréation et qui ne dépendent pas
de la femme.
Pourquoi dans ce cas le Shabbat
serait-il considéré comme le temps le
plus précieux de la vie juive alors qu’il n’en exprime que la dimension
féminine, avec des interdits qui n’ont rien à voir avec l’esprit des Dix
Commandements ?
On proposera donc de procéder à un
rééquilibrage en repensant le
déroulement de la semaine juive.
On proposera ici une solution
relativement économique de compromis et non un dispositif plus radical que nous
avons exposé par ailleurs.
L’idée centrale présidant à cette
réforme du déroulement du rituel du Shabbat consiste à le prolonger un peu à la
façon d’un Ouroboros, à savoir en
marquant à la fois la fin d’un cycle et le début du cycle suivant, étant
entendu que ce n’est pas la fin qui conduit au début mais l’inverse en
dépit de la présentation ci-dessous qui
débute avec le temps féminin pour se prolonger par la célébration du
temps masculin.
On commencera donc le Shabbat de préférence le vendredi à midi car pour
nous midi correspond au féminin, c’est-à-dire en analogie avec le solstice
d’Eté qui est féminin (la nuit commence à reprendre par rapport au jour, pleine
lune) et non au coucher du soleil. Et le
Shabbat se terminera à minuit, soit en analogie avec le solstice d’Hiver qui
est masculin.(le jour commence à reprendre sur la nuit-nouvelle lune).
Mais à minuit, le Shabbat laissera la place à un office
célébrant cette fois le début de la Création, selon un principe cyclique. On lira alors les Dix Commandements au sein
du Shema Israel – où il ne figurent plus actuellement même si l’on s’y référe
globalement sans autre précision) et la synagogue se videra des femmes pour
laisser venir les hommes. Cet office de
Havdalah – où l’on se souhaite une « bonne semaine » ‘(Shavoua Tov)
reprendra également le début du Livre de
la Genése ainsi que le début du chapitre
V .
On peut aussi concevoir une
formule plus réduite avec un Shabbat commençant, comme cela se pratique, à la
tombée du jour et une Havdalah ayant
lieu la nuit venue, le samedi soir. Ce
dispositif réduit serait plus accessible actuellement mais devrait par la suite
s’étendre de midi à minuit.
Il serait en tout état de
cause que la Havadalah (littéralement ce qui sépare, ce qui distingue et cela
vaut non pas tant pour le jour et la nuit mais aussi pour l’homme et la femme)
constitue un office à part entière qui
aurait donc lieu le samedi soir.
dimanche 13 mars 2016
Jacques Halbronn, La "shabbatisation" du travail, la fin du temps de Création.
La shabbatisation ou mise entre parenthèses du travail créatif.
par Jacques Halbronn
Dieu a créé, nous dit le chapitre premier du Livre de la Genése, Adam à son image, mâle et femelle. Formule réitérée au début de son chapitre V. On nous dit dans le Shéma Israel, présenté comme le "credo" du "bar mitzwah", de l'homme engagé à respecter les "commandements" (bar= fils de), que ce Dieu est "un" (Ehad, en arabe Wahad). Or, si on le précise, c'est que cela n'est justement pas si évident que cela. Dieu aurat une face masculine et une phase féminine et le Shabbat correspondrait, selon nous, à la seconde. Cela détermine une dualité du Temps. En ce sens, si le culte ne doit être adressé qu'à un seul dieu, ce dieu n'en est pas moins double, idée que l'on retrouve quelque part avec le culte de la Vierge (NotreDame) dans le catholicisme.
Le temps de la Création serait évidemment "masculin" et le Shabbat en prendrait le contre-pied et en inverserait en quelque sorte les valeurs. En ce sens, l'on comprend les interdictions du Shabbat (un des Dix Commandements). Le Juif doit au cours de la semaine alterner valeurs masculines et féminines.
Le temps du Shabbat mettrait entre parenthèses le travail "créatif", celui de la Création mais l'on peut aisément passer à l'activité créatrice des hommes laquelle serait comme devant être suspendue pendant la durée du Shabbat. Or, ce temps, nous pensons qu'il doit être égal à celui de la Création, soit trois jours et demi, la moitié de 7 jours. C'est pour nous une déviance que de prôner 6 +1 au lieu de deux fois 3 et demi (ou 7 demi-journées).
D'aucuns nous objecteront que l'on ne peut chomer pendant la moitié du temps. Mais un tel argument ne prend pas la mesure de la "shabbatisation" du travail, c'est à dire d'un travail non créatif et qui se répand toujours plus de nos jours. ll suffit d'observer les taches qu s'accomplissent lors du Shabbat pour prendre la mesure d'un certain nivellement des activités requises et qui sont minimales comme de lire des textes déjà existants et non d'en concevoir de nouveaux, ce qui reléve du temps de la Création. Autrement dit, bien des gens vivraient en permanence - et surtout les femmes- dans le temps du Shabbat au regard de la médiocrité de leurs activités, répétitives, routinières, machinales. En ce sens, le Shabbat serait le temps où les hommes descendent au niveau des femmes, ce qui n'est pas sans faire penser à la coutume de Saturnales, à Rome, d'autant que Saturne est lié au samedi (en anglais Saturday, Shabtai étant le nom hébraiquede la planéte dans l'hébreu médiéval)
En ce sens, il est tout à fait normal que le temps du Shabbat mette les femmes en avant, les invite à venir lire les textes consacrés, et pourquoi les rabbins en ce sens ne seraient-ils pas des femmes, comme le propose le judaisme "libéral" puisque ces tâches sont de toute façon de second ordre? Il nous semble même fâcheux que les hommes se prétent à de telles pratiques si peu créatrices.
En bref, on aura compris que notre civilisation actuelle vit une telle dualité dans le rapport au travail et que le modéle du Shabbat tend à nous envahir. Selon nous, nous avons là un modéle historique qui fait alterner des pérodes masculines et féminines - sur une base de 2000 ans environ chacune et il nous apparai que nous devons basculer vers une nouvelle ère masculine, qui fasse refluer l'esprit du Shabbat, tout comme le Solstice 'hiver annonce le reflux de la nuit (ainsi que le minuit). D'où l'importance de la semaine qui nous rappelle qu'après le temps du Shabbat succéde un nouveau temps "créatif".
Les femmes sont redevables d'autres valeurs et les Dix Commandements visent le temps de la Création et le Shabbat a ses propres commandements qui sont exposés dans un des Dix Commandements à savoir tout ce qui est interdit le Shabbat et qui est permis autrement. Les valeurs de la femme juive (la "bat Mitzwa", par opposition au "bar Mitzwa") sont donc radicalement différentes et l'entrée dans le monde du Shabbat est l'entrée dans le monde du féminin. C'est notre approche et nous ne prétendons pas que cette description soit pleinement assumée par le "judaïsme" actuel ni par ceux qui entendent en traiter de l'extérieur. On a là un excellent exemple de ce que nous appellerons une approche antithétique, laquelle vise à restituer l'ordre (en hébreu "seder") que les sociétés ont entendu instaurer et qui n'est celui de la Nature, laquelle restait incompréhensible ni celui (syjnthèse) de que cet ordre est devenu (synthèse), avec un certain degré de corruption qui le défigure.
Ce stade antithétique est celui de l'Humanité dans son
exigence structurelle. Il est notamment caractérisé
par l'instauration du diviseur 4 que l'on retrouve dès le
chapitre II de la Genése quand il est dit que le fleuve
qui coule au Jardin d'Eden comporte quatre bras. Une
telle précision n'est évidemment pas de l'ordre des
"faits" mais correspond à une certaine représentation
du monde (Weltanschauung)
Nous dirons aussi que le Shabbat est un temps
nocturne- d'où sa célébration à la tombée du jour (ou
de la nuit, comme on voudra)- un temps hivernal
féminin qui prolonge par des expédients le temps
estival. Selon nous, les prières du Shabbat qui
louent Dieu de faire venir le soir sont d'essence féminine.
et s'opposent donc à l'esprit des Dix Commandements.
La nuit, l'hiver, l'homme a besoin de recourir à des
substituts, à commencer par le feu (l'électricité) alors
que le jour, l'Eté, l'homme peut se contenter de ce qui existe naturellement. Certes, il y a quelque créativité et ingéniosité à se passer de ce qui est "frais", "vivant" pour conserver les produits et les transformer en une nourriture disponible (vaches maigres succédant aux vaches grasses, selon un cycle de 7 ans) tout comme perpétuer un discours oral vivant au moyen de l'écrit mort. Les femmes aiment à redonner un peu d'apparence de vie à ce qui est mort, tant physiquement que spirituellement et là encore qui ne voit que les valeurs des deux sexes sont radicalement opposées sinon incompatibles, toxiques les unes envers les autres? La disposition de la synagogue (orthodoxe) sépare nettement l'espace des hommes de celui des femmes et c'est une erreur majeur du judaisme libéral de nier une telle différence qui ne permet de saisir les vrais enjeux du Shabbat.
13. 03. 16
vendredi 11 mars 2016
De la shabbatisation du travail créatif. Un Dieu mâle et femellle
jacques Halbronn De la shabbatisation ou mise entre parenthèses du travail créatif.
De la shabbatisation ou mise entre parenthèses du travail créatif.
par Jacques Halbronn
Dieu a créé, nous dit le chapitre premier du Livre de la Genése, Adam à son image, mâle et femelle. Formule réitérée au début de son chapitre V. On nous dit dans le Shéma Israel, présenté comme le « credo » du « bar mitzwah », de l’homme engagé à respecter les « commandements » (bar= fils de), que ce Dieu est « un » (Ehad, en arabe Wahad). Or, si on le précise, c’est que cela n’est justement pas si évident que cela. Dieu aurat une face masculine et une phase féminine et le Shabbat correspondrait, selon nous, à la seconde. Cela détermine une dualité du Temps. En ce sens, si le culte ne doit être adressé qu’à un seul dieu, ce dieu n’en est pas moins double, idée que l’on retrouve quelque part avec le culte de la Vierge (NotreDame) dans le catholicisme.
Le temps de la Création serait évidemment « masculin » et le Shabbat en prendrait le contre-pied et en inverserait en quelque sorte les valeurs. En ce sens, l’on comprend les interdictions du Shabbat (un des Dix Commandements). Le Juif doit au cours de la semaine alterner valeurs masculines et féminines.
Le temps du Shabbat mettrait entre parenthèses le travail « créatif », celui de la Création mais l’on peut aisément passer à l’activité créatrice des hommes laquelle serait comme devant être suspendue pendant la durée du Shabbat. Or, ce temps, nous pensons qu’il doit être égal à celui de la Création, soit trois jours et demi, la moitié de 7 jours. C’est pour nous une déviance que de prôner 6 +1 au lieu de deux fois 3 et demi (ou 7 demi-journées).
D’aucuns nous objecteront que l’on ne peut chomer pendant la moitié du temps. Mais un tel argument ne prend pas la mesure de la « shabbatisation » du travail, c’est à dire d’un travail non créatif et qui se répand toujours plus de nos jours. ll suffit d’observer les taches qu s’accomplissent lors du Shabbat pour prendre la mesure d’un certain nivellement des activités requises et qui sont minimales comme de lire des textes déjà existants et non d’en concevoir de nouveaux, ce qui reléve du temps de la Création. Autrement dit, bien des gens vivraient en permanence – et surtout les femmes- dans le temps du Shabbat au regard de la médiocrité de leurs activités, répétitives, routinières, machinales. En ce sens, le Shabbat serait le temps où les hommes descendent au niveau des femmes, ce qui n’est pas sans faire penser à la coutume de Saturnales, à Rome, d’autant que Saturne est lié au samedi (en anglais Saturday, Shabtai étant le nom hébraiquede la planéte dans l’hébreu médiéval)
En ce sens, il est tout à fait normal que le temps du Shabbat mette les femmes en avant, les invite à venir lire les textes consacrés, et pourquoi les rabbins en ce sens ne seraient-ils pas des femmes, comme le propose le judaisme « libéral » puisque ces tâches sont de toute façon de second ordre? Il nous semble même fâcheux que les hommes se prétent à de telles pratiques si peu créatrices.
En bref, on aura compris que notre civilisation actuelle vit une telle dualité dans le rapport au travail et que le modéle du Shabbat tend à nous envahir. Selon nous, nous avons là un modéle historique qui fait alterner des pérodes masculines et féminines – sur une base de 2000 ans environ chacune et il nous apparai que nous devons basculer vers une nouvelle ère masculine, qui fasse refluer l’esprit du Shabbat, tout comme le Solstice ‘hiver annonce le reflux de la nuit (ainsi que le minuit). D’où l’importance de la semaine qui nous rappelle qu’après le temps du Shabbat succéde un nouveau temps « créatif ».
Les femmes sont redevables d’autres valeurs et les Dix Commandements visent le temps de la Création et le Shabbat a ses propres commandements qui sont exposés dans un des Dix Commandements.
11. 03. 16
par Jacques Halbronn
Dieu a créé, nous dit le chapitre premier du Livre de la Genése, Adam à son image, mâle et femelle. Formule réitérée au début de son chapitre V. On nous dit dans le Shéma Israel, présenté comme le « credo » du « bar mitzwah », de l’homme engagé à respecter les « commandements » (bar= fils de), que ce Dieu est « un » (Ehad, en arabe Wahad). Or, si on le précise, c’est que cela n’est justement pas si évident que cela. Dieu aurat une face masculine et une phase féminine et le Shabbat correspondrait, selon nous, à la seconde. Cela détermine une dualité du Temps. En ce sens, si le culte ne doit être adressé qu’à un seul dieu, ce dieu n’en est pas moins double, idée que l’on retrouve quelque part avec le culte de la Vierge (NotreDame) dans le catholicisme.
Le temps de la Création serait évidemment « masculin » et le Shabbat en prendrait le contre-pied et en inverserait en quelque sorte les valeurs. En ce sens, l’on comprend les interdictions du Shabbat (un des Dix Commandements). Le Juif doit au cours de la semaine alterner valeurs masculines et féminines.
Le temps du Shabbat mettrait entre parenthèses le travail « créatif », celui de la Création mais l’on peut aisément passer à l’activité créatrice des hommes laquelle serait comme devant être suspendue pendant la durée du Shabbat. Or, ce temps, nous pensons qu’il doit être égal à celui de la Création, soit trois jours et demi, la moitié de 7 jours. C’est pour nous une déviance que de prôner 6 +1 au lieu de deux fois 3 et demi (ou 7 demi-journées).
D’aucuns nous objecteront que l’on ne peut chomer pendant la moitié du temps. Mais un tel argument ne prend pas la mesure de la « shabbatisation » du travail, c’est à dire d’un travail non créatif et qui se répand toujours plus de nos jours. ll suffit d’observer les taches qu s’accomplissent lors du Shabbat pour prendre la mesure d’un certain nivellement des activités requises et qui sont minimales comme de lire des textes déjà existants et non d’en concevoir de nouveaux, ce qui reléve du temps de la Création. Autrement dit, bien des gens vivraient en permanence – et surtout les femmes- dans le temps du Shabbat au regard de la médiocrité de leurs activités, répétitives, routinières, machinales. En ce sens, le Shabbat serait le temps où les hommes descendent au niveau des femmes, ce qui n’est pas sans faire penser à la coutume de Saturnales, à Rome, d’autant que Saturne est lié au samedi (en anglais Saturday, Shabtai étant le nom hébraiquede la planéte dans l’hébreu médiéval)
En ce sens, il est tout à fait normal que le temps du Shabbat mette les femmes en avant, les invite à venir lire les textes consacrés, et pourquoi les rabbins en ce sens ne seraient-ils pas des femmes, comme le propose le judaisme « libéral » puisque ces tâches sont de toute façon de second ordre? Il nous semble même fâcheux que les hommes se prétent à de telles pratiques si peu créatrices.
En bref, on aura compris que notre civilisation actuelle vit une telle dualité dans le rapport au travail et que le modéle du Shabbat tend à nous envahir. Selon nous, nous avons là un modéle historique qui fait alterner des pérodes masculines et féminines – sur une base de 2000 ans environ chacune et il nous apparai que nous devons basculer vers une nouvelle ère masculine, qui fasse refluer l’esprit du Shabbat, tout comme le Solstice ‘hiver annonce le reflux de la nuit (ainsi que le minuit). D’où l’importance de la semaine qui nous rappelle qu’après le temps du Shabbat succéde un nouveau temps « créatif ».
Les femmes sont redevables d’autres valeurs et les Dix Commandements visent le temps de la Création et le Shabbat a ses propres commandements qui sont exposés dans un des Dix Commandements.
11. 03. 16
jeudi 10 mars 2016
mercredi 9 mars 2016
Le nouveau timing du Shabbat. Passage du 6 + 1 au 3 et demi x 2
Le nouveau temps du Shabbat
par Jacques Halbronn
Le (quatriéme) Commandement sur le respect et l'observance du Shabbat n'en précise pas la durée, si ce n'est qu'il y est question du septiéme jour.
"Souviens-toi du jour du Chabbat pour le sanctifier. Durant six jours tu travailleras, et tu auras fait tout ton travail ; et le septième jour c’est le Chabbat pour l’Éternel ton D.ieu : tu ne feras aucun travail, toi, et ton fils et ta fille, ton esclave mâle ou femelle, ton bétail, et l’étranger qui est dans tes murs. Car en six jours l’Éternel a fait le ciel, la terre, la mer et tout ce qu'ils renferment, et il s’est reposé le septième jour; c’est pourquoi l’Éternel a béni le jour du Chabbat et l’a sanctifié."
Nous remettons en question un tel agencement car nous pensons que toute dualité de temps doit correspondre à une égalité de durée à l'instar de celle des saisons et de celle du jour et de la nuit. En cela nous préconisons une Shabbat commençant le mercredi à midi et une semaine débutant le dimanche à 0h (minuit),ce qui correspond à ce qu'on appelle la Havdalah, c'est à dire à ce qui marque la "différence" entre la semaine qui s'achève et la suivante. Cela correspond à deux phases de 3 jours et demie chacune et donc par voie de conséquence il en sera de même quant au récit de la Création. Dieu se repose à la moitié du 4e jour et non à la fin du 6e jour. Il faut voir dans l'importance accordée au 6 l'influence de certaines théories pythagoriciennes qui vouaient un culte au nombre 6? C'est le premier nombre "parfait" car il est égal à la somme de ses diviseurs distincts de lui-même comme d'ailleurs le 28 ( 28 = 1 + 2 + 4 + 7 + 14) qui marque le cycle de la Lune mais aussi celui de Saturne.Or, le 7 apparait quand on divise 28 par 4. Le nombre 7 est en revanche, un nombre premier d'où les demis.
Si l'on divise la semaine en deux temps de trois ans et demi, on a un cap à midi et un autre à minuit, ce qui correspond analogiquement au solstice d'Eté et à celui d'Hiver et l'on sait que le christianisme a mis en avant Minuit (naissance de Jésus à Betléhem) et le solstice d'hiver ( 25 décembre, sans parler du Ier janvier qui lui fait suite comme Kippour fait suite à Rosh Hashana)
Mais quel est l'esprit du Shabbat? Il s'agit d'un temps de pause, de repose, après l'activité, l'effervescence d'un temps d'élaboration. C'est aussi le passage de l'élevage des animaux à celui de leur abattage (rituel).. .Il y a donc quelque chose de l'ordre de la Mort dans le Shabbat. C'est un temps d'arrêt, de retraite où l'on vit sur ce que l'on a amassé. C'est celui des 7 vaches maigres qui dévorent les 7 vaches grasses (Songe de Pharaon interprété par Joseph qui y voit deux temps égaux de 7 années..
Le Shabbat est aussi le temps d'un certain immobilisme. On doit mettre fin au mouvement. On ne bouge plus . On vit sur ses provisions, ses acquis. En ce sens, c'est un temps féminin alors que la première phase est masculin, avec des valeurs bien différentes. Rappelons que pour nous les Dix Commandement s'adressent avant tout au "bar mitzwa" (l'homme qui vient tout juste d'avoir 13 ans, qui commence un nouveau cycle de 12 ans (ce qui renvoie aux 12 tribus mais surtout aux 12 mois de l'année soli-lunaire)
A la fin du Shabbat, donc dans la nuit du samedi au dimanche, à minuit, reprend un nouveau cycle avec à ,nouveau 3 jours et demi de travail, c'est à dire de fécondation, de création alors que le second temps de 3 jours et demi est celui de l'accouchement, de la délivrance, dans tous les sens du terme.
Il convient d'ailleurs de transposer cette structure sabbatique au niveau d'un cycle de 7 ans, axé non plus sur la Lune mais sur Saturne dont on a dit que tous deux s'articulaient sur le 28.On retrouve là la régle de un jour pour an qui est attestée dans le Pentateuque et dans les Prophétes ( au sein du Tanakh (Torah, Neviim, Ketoubim)
JHB
par Jacques Halbronn
Le (quatriéme) Commandement sur le respect et l'observance du Shabbat n'en précise pas la durée, si ce n'est qu'il y est question du septiéme jour.
"Souviens-toi du jour du Chabbat pour le sanctifier. Durant six jours tu travailleras, et tu auras fait tout ton travail ; et le septième jour c’est le Chabbat pour l’Éternel ton D.ieu : tu ne feras aucun travail, toi, et ton fils et ta fille, ton esclave mâle ou femelle, ton bétail, et l’étranger qui est dans tes murs. Car en six jours l’Éternel a fait le ciel, la terre, la mer et tout ce qu'ils renferment, et il s’est reposé le septième jour; c’est pourquoi l’Éternel a béni le jour du Chabbat et l’a sanctifié."
Nous remettons en question un tel agencement car nous pensons que toute dualité de temps doit correspondre à une égalité de durée à l'instar de celle des saisons et de celle du jour et de la nuit. En cela nous préconisons une Shabbat commençant le mercredi à midi et une semaine débutant le dimanche à 0h (minuit),ce qui correspond à ce qu'on appelle la Havdalah, c'est à dire à ce qui marque la "différence" entre la semaine qui s'achève et la suivante. Cela correspond à deux phases de 3 jours et demie chacune et donc par voie de conséquence il en sera de même quant au récit de la Création. Dieu se repose à la moitié du 4e jour et non à la fin du 6e jour. Il faut voir dans l'importance accordée au 6 l'influence de certaines théories pythagoriciennes qui vouaient un culte au nombre 6? C'est le premier nombre "parfait" car il est égal à la somme de ses diviseurs distincts de lui-même comme d'ailleurs le 28 ( 28 = 1 + 2 + 4 + 7 + 14) qui marque le cycle de la Lune mais aussi celui de Saturne.Or, le 7 apparait quand on divise 28 par 4. Le nombre 7 est en revanche, un nombre premier d'où les demis.
Si l'on divise la semaine en deux temps de trois ans et demi, on a un cap à midi et un autre à minuit, ce qui correspond analogiquement au solstice d'Eté et à celui d'Hiver et l'on sait que le christianisme a mis en avant Minuit (naissance de Jésus à Betléhem) et le solstice d'hiver ( 25 décembre, sans parler du Ier janvier qui lui fait suite comme Kippour fait suite à Rosh Hashana)
Mais quel est l'esprit du Shabbat? Il s'agit d'un temps de pause, de repose, après l'activité, l'effervescence d'un temps d'élaboration. C'est aussi le passage de l'élevage des animaux à celui de leur abattage (rituel).. .Il y a donc quelque chose de l'ordre de la Mort dans le Shabbat. C'est un temps d'arrêt, de retraite où l'on vit sur ce que l'on a amassé. C'est celui des 7 vaches maigres qui dévorent les 7 vaches grasses (Songe de Pharaon interprété par Joseph qui y voit deux temps égaux de 7 années..
Le Shabbat est aussi le temps d'un certain immobilisme. On doit mettre fin au mouvement. On ne bouge plus . On vit sur ses provisions, ses acquis. En ce sens, c'est un temps féminin alors que la première phase est masculin, avec des valeurs bien différentes. Rappelons que pour nous les Dix Commandement s'adressent avant tout au "bar mitzwa" (l'homme qui vient tout juste d'avoir 13 ans, qui commence un nouveau cycle de 12 ans (ce qui renvoie aux 12 tribus mais surtout aux 12 mois de l'année soli-lunaire)
A la fin du Shabbat, donc dans la nuit du samedi au dimanche, à minuit, reprend un nouveau cycle avec à ,nouveau 3 jours et demi de travail, c'est à dire de fécondation, de création alors que le second temps de 3 jours et demi est celui de l'accouchement, de la délivrance, dans tous les sens du terme.
Il convient d'ailleurs de transposer cette structure sabbatique au niveau d'un cycle de 7 ans, axé non plus sur la Lune mais sur Saturne dont on a dit que tous deux s'articulaient sur le 28.On retrouve là la régle de un jour pour an qui est attestée dans le Pentateuque et dans les Prophétes ( au sein du Tanakh (Torah, Neviim, Ketoubim)
Ézéchiel 4 :4-6…Puis
couche-toi sur le côté gauche, mets-y l'iniquité de la maison d'Israël,
et tu porteras leur iniquité autant de jours que tu seras couché sur ce
côté. Je te compterai un nombre de jours égal à celui des années de
leur iniquité, trois cent quatre-vingt-dix jours; tu porteras ainsi
l'iniquité de la maison d'Israël. Quand tu auras achevé ces jours,
couche-toi sur le côté droit, et tu porteras l'iniquité de la maison de
Juda pendant quarante jours; je t'impose un jour pour chaque année.…
Nombres 14:34
De même que vous avez mis quarante jours à explorer le pays, vous
porterez la peine de vos iniquités quarante années, une année pour
chaque jour; et vous saurez ce que c'est que d'être privé de ma
présence.
Rappelons que le temps du Shabbat ne saurait
s'aligner d'office sur celui de la semaine ordinaire car qu'est ce qui
nous prouve que la semaine en vigueur et que les Juifs partagent avec
les Chrétiens et les Musulmans soit restée ce qu'elle était au départ.
A contrario, la détermination du premier jour du mois hébraique est
bel et bien fixée par le tout début (croissant) de chaque "nouvelle
lune" (soit la conjonction de la Lune avec le Soleil). pourquoi le
Shabbat ne serait -il pas fonction de la nouvelle lune et des autres
temps de la Lune puisque cela correspond à une division en 4?
De
même, nous pensons qu'il importerai que les Juifs respectassent le
cycle de 7 ans et qu'ils célébrent la conjonction de Saturne avec l'une
des 4 étoiles fixes "royales" (Aldébaran, Regulus, Antarés, Fomalhaut)
connues de toute Antiquité bien avant même la distinction entre planétes
et étoiles.
Le deuxiéme temps du cycle de 7 ans, au bout de 3
ans et demi, correspond à ce que nous appelons la "disjonction" et cela
est marqué par le fait que Saturne se situe à égale distance entre deux
étoiles fixes royales consécutive. Or, on comprend ainsi pourquoi les
Juifs ont en quelque sorte deux débuts d'année, décalés de six mois,
Pâques (Pessah) au printemps et Rosh Hashana, à l'automne, ce qui
correspond à la polarité midi/minuit.
La tradition prophétique
juive a conservé le souvenir de ce temps de 3 ans et demi sous la forme
de 42 mois (3x12 + 6) et de 1260 jours.(360x3 + 180). On en trouve
notamment la trace dans le Livre de Daniel et dans le "Nouveau
testament", dans l'Apocalypse de Jean.
Rappel (à p&rtir d'un texte que nous reprenons ici)!
" |
La
prophétie des 1260 jours est mentionnée sept fois dans les livres de
Daniel et de l'Apocalypse. Ce ne sont pas, comme certains le supposent,
plusieurs périodes de 1260 jours. C'est une seule période. Elle est
mentionnée sept fois à cause de son importance. Dans le livre de Daniel
aux chapitres 7:25 et 12:7, et aussi dans l'Apocalypse 12:14, c'est un
temps, des temps et la moitié d'un temps. Dans l'Apocalypse, aux
chapitres 11:2 et 13:5, ce sont 42 mois; aux chapitres 11:3 et 12:6,
mille deux cent soixante jours. Dans La prophétie biblique, l'année est
de 360 jours, et si vous multipliez 360 par 3.1/2, vous en viendrez au
nombre - 1260. Quand il s'agit de temps, un jour équivaut à une année.
(voyez Ezéchiel 4:6 et Nombres 14:34). Donc, la bible contient des
données importantes pour nous aider à calculer la prophétie des 1260
jours - qui sont en fait 1260 ans littéraux."
"On
notera la formule: c'est un temps, des temps et la moitié d'un temps"
qu'il faut lire, un temps + deux temps + la moitié d'un temps, ce qui
donne 3 et demi.
|
On
notera d'ailleurs que le samedi est associé en anglais à Saturne
(Saturday) et que le nom hébraique de la planéte Saturne n'est autre que
Shabtaï '(prénom qui sera celui du "prophéte" Shabtai Zevi au XVIIe
siècle), ce qui est évidemment à relier au Shabbat.
JHB
Jacques Halbronn, Le retour au patriarcat et le cycle précessionnel
L'Ecologie et le retour au patriarcat autarcique
par Jacques Halbronn
Le XXIe siècle pourrait être le début d'une nouvelle ère, que nous définirions comme un retour de l'Humanité à des valeurs masculines qu'elle aurait abandonnées depuis belle lurette. Autrement dit, nous aurions vécu depuis des siècles selon des valeurs que l'on peut qualifier de féminines mais sans le savoir, tel un Monsieur Jourdain qui ignorait qu'il faisait de la prose.
Nous fonderons notre argumentation sur l'existence d'un certain nombre d'interdits, de tabous: celui de l'inceste, celui de la viande de porc, celui de l'anthropophagie et sur les interdits des Dix Commandenents lesquels témoignent de clivages et de mutations.
Rappelons que pour nous les valeurs masculines peuvent être résumées par la notion d'autarcie alors que les valeurs féminines le seraient par celle d'échange.
Qu'est ce que l'autarcie? Au sens plein du terme, cela signifie ne compter que sur soi, ne dépendre d'aucun apport extérieur, sinon au niveau personnel du moins à celui du groupe auquel on appartient.
S'oppose au principe d'autarcie, par voie de conséquence, ce qui enfreint cette régle, c'est à dire qui fait appel à des éléments et à des références extérieurs.
Que révéle le débat écologique? Il met en cause les effets d'un tel recours à ce qui n'est pas humain et plus largement à ce qui est lointain, ce qui exige des déplacements couteux en énergie.
Le tabou de l'inceste est une attaque contre l'autarcie du groupe. Il invite à aller vers d'autres groupes (exogamie), et donc il met en cause le principe d'autarcie du dit groupe.
Le tabou de l'anthrophagie irait, selon nous, dans le même sens et fustigerait encore une fois l'autarcie qui conduit l'homme à manger de l'homme.. Il est proposé à la place la viande de porc qui lui ressemblerait au goût.
Or, si l'on étudie l'esprit des Dix Commandements, force est de constater qu'il constitue une véritable charte de l'autarcie, c'est à dire qu'il invite instamment à se satisfaire de ce que l'on a, sans faire appel à des auxiliaires, notamment lors du Shabbat, comme ce serait le cas si l'on faisait travailler d'autres personnes à notre place..
Ceux qui disent naivement que tels sont les fondements éthiques d'une société font fausse route car l'on a pu observer que les sociéts peuvent parfaitement fonctionner en dehors de tels principes de non recours à d'autres ressources que celles qui nous sont propres. En ce sens, il est possibile que le christianisme en prenne le contrepied et valorise d'autres valeurs, que nous qualifierons de féminines.
La prise de conscience écologique annoncerait, selon nous, le retour prochain des valeurs masculines d'autarcie qui correspondent au génie masculin.
Quid de l'interdit du porc? Il n'est nullement indifférent que les Chrétiens aient jugé bon d'ignorer un tel interdit car en acceptant de manger la viande d'un animal, l'on remettait en question le principe d'autarcie consistant à ne compter que sur soi. L'interdit sur le porc a pour corollaire le retour à l'anthropophagie.
Le film de science fiction "Soleil Vert" - qui met en scéne le retour à une forme de cannibalisme - ouvre des perspectives sur un tel retour dicté par un délire démographique qui n'a aucune justification sérieuse puisqu'il va à l'encontre d'une politique écologique digne de ce nom. Or étrangement, il ne semble pas que les écologistes en aient à la démographie mais se servent d'elle et de sa spirale - comme d'une fatalité- pour asseoir certaines de leurs demandes.
Etrangement, cela rejoint la théorie des ères précessionnelles faisant alterner signes masculins (bélier et verseau) avec signes féminins ( taureau et poissons)
JHB
08 03.16
par Jacques Halbronn
Le XXIe siècle pourrait être le début d'une nouvelle ère, que nous définirions comme un retour de l'Humanité à des valeurs masculines qu'elle aurait abandonnées depuis belle lurette. Autrement dit, nous aurions vécu depuis des siècles selon des valeurs que l'on peut qualifier de féminines mais sans le savoir, tel un Monsieur Jourdain qui ignorait qu'il faisait de la prose.
Nous fonderons notre argumentation sur l'existence d'un certain nombre d'interdits, de tabous: celui de l'inceste, celui de la viande de porc, celui de l'anthropophagie et sur les interdits des Dix Commandenents lesquels témoignent de clivages et de mutations.
Rappelons que pour nous les valeurs masculines peuvent être résumées par la notion d'autarcie alors que les valeurs féminines le seraient par celle d'échange.
Qu'est ce que l'autarcie? Au sens plein du terme, cela signifie ne compter que sur soi, ne dépendre d'aucun apport extérieur, sinon au niveau personnel du moins à celui du groupe auquel on appartient.
S'oppose au principe d'autarcie, par voie de conséquence, ce qui enfreint cette régle, c'est à dire qui fait appel à des éléments et à des références extérieurs.
Que révéle le débat écologique? Il met en cause les effets d'un tel recours à ce qui n'est pas humain et plus largement à ce qui est lointain, ce qui exige des déplacements couteux en énergie.
Le tabou de l'inceste est une attaque contre l'autarcie du groupe. Il invite à aller vers d'autres groupes (exogamie), et donc il met en cause le principe d'autarcie du dit groupe.
Le tabou de l'anthrophagie irait, selon nous, dans le même sens et fustigerait encore une fois l'autarcie qui conduit l'homme à manger de l'homme.. Il est proposé à la place la viande de porc qui lui ressemblerait au goût.
Or, si l'on étudie l'esprit des Dix Commandements, force est de constater qu'il constitue une véritable charte de l'autarcie, c'est à dire qu'il invite instamment à se satisfaire de ce que l'on a, sans faire appel à des auxiliaires, notamment lors du Shabbat, comme ce serait le cas si l'on faisait travailler d'autres personnes à notre place..
Ceux qui disent naivement que tels sont les fondements éthiques d'une société font fausse route car l'on a pu observer que les sociéts peuvent parfaitement fonctionner en dehors de tels principes de non recours à d'autres ressources que celles qui nous sont propres. En ce sens, il est possibile que le christianisme en prenne le contrepied et valorise d'autres valeurs, que nous qualifierons de féminines.
La prise de conscience écologique annoncerait, selon nous, le retour prochain des valeurs masculines d'autarcie qui correspondent au génie masculin.
Quid de l'interdit du porc? Il n'est nullement indifférent que les Chrétiens aient jugé bon d'ignorer un tel interdit car en acceptant de manger la viande d'un animal, l'on remettait en question le principe d'autarcie consistant à ne compter que sur soi. L'interdit sur le porc a pour corollaire le retour à l'anthropophagie.
Le film de science fiction "Soleil Vert" - qui met en scéne le retour à une forme de cannibalisme - ouvre des perspectives sur un tel retour dicté par un délire démographique qui n'a aucune justification sérieuse puisqu'il va à l'encontre d'une politique écologique digne de ce nom. Or étrangement, il ne semble pas que les écologistes en aient à la démographie mais se servent d'elle et de sa spirale - comme d'une fatalité- pour asseoir certaines de leurs demandes.
Etrangement, cela rejoint la théorie des ères précessionnelles faisant alterner signes masculins (bélier et verseau) avec signes féminins ( taureau et poissons)
JHB
08 03.16
Une nouvelle théorie de l'Histoire des religions à partir des étoiles fixes et du zodiaque tropique
La configuration étoiles fixes - zodiaque tropique et les ères
par Jacques Halbronn
Certaines observations nous conduisent à aborder la question du rapport entre étoiles fixes et signes du zodiaque tropique, mariage qui peut surprendre au premier abord. ¨Mais l'on sait que les étoiles fixes changent périodiquement de "signes". C"est ainsi qu'Antarés est passée du signe du Scorpion à celui du Sagittaire ou que Regulus a quitté le signe du Lion pour celui de la Vierge, deux étoiles fixes que nous avons suivies dans notre propre thème, ayant Mars placé à la limite du Lion et de la Vierge en tropique.
En fait, poser le probléme ainsi aboutirait à inverser la présentation habituelle des ères précessionnelles autour du fameux "point vernal" qui pointerai successivement dans une constellation puis dans une autre, ce qui nous est présenté comme le fondement même de la théorie des ères précessionnelles
On sait, en effet, que nous accordons la plus grande importance à la "croix" des 4 étoiles fixes royales et notamment à l'alignement de Saturne sur une telle série, au rythme moyen de 7 ans pour passer de l'une à l'autre, en conjonction, ce qui est la base de notre cycle de 7 ans.(cf nos travaux en sexo-cyclologie).
Le temps nécessaire pour qu'une étoile fixe -quelle qu'elle soit- met pour changer de signe tropique ( car bien évidemment elle ne saurait changer de constellation) équivaudrait à la durée d'une ère précessionnelle de 2160 ans. On rappellera que nous avons publié en 1979 Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau (Ed Albatros-Autre Monde).
Or, récemment, notre étude des tabous, ceux de l'inceste, du porc, de l'anthrophagie et des interdits liés aux "Dix Commandements" de l'Ancien Testament, nous a conduit à revenir à l'idée d'une certaine alternance civilisationnelle sur la longue durée. Nous aurions pu tout aussi bien ne pas la raccorder à la théorie des ères mais nous avons préféré repenser cette théorie qui dans sa formulation classique ne nous seyait guère et s'inscrivait mal au sein de l'ensemble de notre œuvre.
Ajoutons qu'il ne s'agit pas ici d'un retour à une symbolique zodiacale mais simplement à un découpage en 12 secteurs, qui ont une valeur de marqueur de temps. Nous en resterons donc à une approche à base 2 et non à base 12. Un temps valorisant une éthique masculine et un temps valorisant une éthique fémiinine (cf notre récente étude autour de la crise écologique. On y retrouve la même dialectique que pour le cycle de 7 ans mais sur une bien plus longue durée, tout comme les 7 jours correspondent à un autre registre paralléle au niveau hebdomadaire.
L'entrée d'Antarés dans le signe du Sagittaire (et notons que Rudhyar s'intéressa au changement de signe d'une autre étoile fixe royale Regulus, ce qui revient à peu près au même). aurait initié le retour à une phase masculine d'un grand cycle (Grande Année de 24000 ans etc)./ avec ce que cela implique de retour à une humanité entendant assumer une certaine autarcie dont on capte immédiatement les enjeux écologiques puisque l'idée d'autarcie tend à ménager ce qui est à l'extérieur. Inversement, nous quitterions une ère "féminine" qui aura terriblement puisé autour d'elle, sur elle et sous elle et dont on assiste au déclin.
On laissera donc de côté ici une symbolique duodénaire à laquelle nous sommes allergiques de par sa lourdeur pour une symbolique duelle qui se réfere au Yin et au Yang, au Jour et à la Nuit, à l'Été et à l'Hiver.
Il reste que cet ouvrage collectif de 1979, paru sous notre direction, il y aura bientôt 40 ans, peut être considéré comme annonciateur car nous avons la faiblesse de croire que tout ce que nous faisons au cours de notre vie concourt dans un même sens, quand on laisse le temps au temps.
JHB
par Jacques Halbronn
Certaines observations nous conduisent à aborder la question du rapport entre étoiles fixes et signes du zodiaque tropique, mariage qui peut surprendre au premier abord. ¨Mais l'on sait que les étoiles fixes changent périodiquement de "signes". C"est ainsi qu'Antarés est passée du signe du Scorpion à celui du Sagittaire ou que Regulus a quitté le signe du Lion pour celui de la Vierge, deux étoiles fixes que nous avons suivies dans notre propre thème, ayant Mars placé à la limite du Lion et de la Vierge en tropique.
En fait, poser le probléme ainsi aboutirait à inverser la présentation habituelle des ères précessionnelles autour du fameux "point vernal" qui pointerai successivement dans une constellation puis dans une autre, ce qui nous est présenté comme le fondement même de la théorie des ères précessionnelles
On sait, en effet, que nous accordons la plus grande importance à la "croix" des 4 étoiles fixes royales et notamment à l'alignement de Saturne sur une telle série, au rythme moyen de 7 ans pour passer de l'une à l'autre, en conjonction, ce qui est la base de notre cycle de 7 ans.(cf nos travaux en sexo-cyclologie).
Le temps nécessaire pour qu'une étoile fixe -quelle qu'elle soit- met pour changer de signe tropique ( car bien évidemment elle ne saurait changer de constellation) équivaudrait à la durée d'une ère précessionnelle de 2160 ans. On rappellera que nous avons publié en 1979 Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau (Ed Albatros-Autre Monde).
Or, récemment, notre étude des tabous, ceux de l'inceste, du porc, de l'anthrophagie et des interdits liés aux "Dix Commandements" de l'Ancien Testament, nous a conduit à revenir à l'idée d'une certaine alternance civilisationnelle sur la longue durée. Nous aurions pu tout aussi bien ne pas la raccorder à la théorie des ères mais nous avons préféré repenser cette théorie qui dans sa formulation classique ne nous seyait guère et s'inscrivait mal au sein de l'ensemble de notre œuvre.
Ajoutons qu'il ne s'agit pas ici d'un retour à une symbolique zodiacale mais simplement à un découpage en 12 secteurs, qui ont une valeur de marqueur de temps. Nous en resterons donc à une approche à base 2 et non à base 12. Un temps valorisant une éthique masculine et un temps valorisant une éthique fémiinine (cf notre récente étude autour de la crise écologique. On y retrouve la même dialectique que pour le cycle de 7 ans mais sur une bien plus longue durée, tout comme les 7 jours correspondent à un autre registre paralléle au niveau hebdomadaire.
L'entrée d'Antarés dans le signe du Sagittaire (et notons que Rudhyar s'intéressa au changement de signe d'une autre étoile fixe royale Regulus, ce qui revient à peu près au même). aurait initié le retour à une phase masculine d'un grand cycle (Grande Année de 24000 ans etc)./ avec ce que cela implique de retour à une humanité entendant assumer une certaine autarcie dont on capte immédiatement les enjeux écologiques puisque l'idée d'autarcie tend à ménager ce qui est à l'extérieur. Inversement, nous quitterions une ère "féminine" qui aura terriblement puisé autour d'elle, sur elle et sous elle et dont on assiste au déclin.
On laissera donc de côté ici une symbolique duodénaire à laquelle nous sommes allergiques de par sa lourdeur pour une symbolique duelle qui se réfere au Yin et au Yang, au Jour et à la Nuit, à l'Été et à l'Hiver.
Il reste que cet ouvrage collectif de 1979, paru sous notre direction, il y aura bientôt 40 ans, peut être considéré comme annonciateur car nous avons la faiblesse de croire que tout ce que nous faisons au cours de notre vie concourt dans un même sens, quand on laisse le temps au temps.
JHB
mardi 8 mars 2016
lundi 7 mars 2016
samedi 5 mars 2016
Jacques Halbronn, Etat et Laïcité. La question juive
Etat et Laïcité. Gérer la diversité. La question juive.
par Jacques Halbronn
Le présent texte vise à élaborer une nouvelle idée de l’Etat ou en tout cas à la préciser
sensiblement tant le débat actuel nous semble confuse autour notamment de la mission
laïque de l’Etat.
Le mot Etat recouvre deux sens qui se complétent : c’est à la fois un territoire et une
autorité s’exerçant sur le dit territoire. Ce territoire peut évoluer dans le temps et donc les
populations qui sont englobées de facto au sein d’un tel espace, aussi bien par annexion que par sécession ou par démantélement d’une structure impériale par exemple. C »‘est ainsi que la mission du dit Etat va aussi devoir évoluer en rapport avec l’arrivée ou le départ de certaines populations. Il peut aussi s’agir de clivages idéologiques au sein même de la société locale, comme avec les Guerres de religion, qui sont aussi des guerres « civiles », »intestines »; Par ailleurs, les différentes composantes de cet Etat peuvent être liées à celles d’autres Etats, comme dans le cas des communautés juive et musulmans en France par rapport au conflit
israélo-arabe. Il est dans la mission primordiale de l’Etat de réguler de telles tensions internes.étant entendu qu’au sein de chaque communauté, puissent s’exprimer des formes
d’hostilité envers un autre au sein du dit Etat, en interne.
En ce sens, nous dirons que la laïcité implique l’existence d’un certain « communautarisme » puisque cette laïcité a justement pour fonction d’en maitriser les aspects les plus délicats.
De tout temps, l’Etat aura eu pour fonction de maintenir au sein d’un même territoire une
certaine sociodiversité historique et géographique, avec des vagues d’immigration ou
d’i(en cas de conquéte). Quand il échouait, il menaçait ipso facto son intégrité et son
« indivisibilité ».
Le cas de la « communauté » juive constitue une situation particulière. Il semble que les juifs
aient joué un certain rôle dans l’imaginaire européen et notamment chrétien. La France aura accordé au statut des Juifs en son sein une place remarquable, à la veille de la Révolution
Française.(cf le Discours de l’abbé Grégoire). On pourrait même dire que la rupture avec l’Ancien Régime passait par l’émancipation des Juifs sur le territoire, quel qu’il puisse être, de la France (cf ainsi le Décret Crémieux sur la juifs d’Algérie en 1870). Parallélement, l’Angleterre
allait suivre une trajectoire assez comparable par rapport non seulement à ‘ses » Juifs – du moins en principe – à l’égard des Juifs du monde entier, ce qui sous-tendait une certaine politique d’immigration qui changea de nature avec l’instauration, sous la tutelle anglaise, d’un Foyer Juif en Palestine, au lendemain de la Grande Guerre.
Au lendemain de la Première Guerre Mondiale, la Grande Bretagne obtint de la part de la Société des Nations un mandat sur la « Palestine » à charge pour elle d’instaurer un « Jewish Home » (un Foyer Juif) ce à quoi elle s’était engagée dès la fin de 1917 par la voix de son ministre Lord Balfour s’adressant au président Rothschild de la communauté juive anglaise. Il est vrai que cela tenait à des raisons d’ordre religieux, du fait de l’existence d’un certain sionisme chrétien qui considérait que le retour des Juifs en Palestine faisait partie d’un plan divin.
Mais la France avait également des visées sur cette région, mémoire des croisades oblige mais aussi Emancipation des Juifs sous la Révolution. De fait, la France de l’après affaire Dreyfus, se positionna comme terre d’accueil pour les juifs du monde entier et ce d’autant plus que les Anglais se mirent à pratiquer une politique de plus en plus restrictive d’accueil des Juifs en Palestine, sous la pression des composantes musulmanes de leur vaste Empire de l’époque. En ce sens Napoléon allait dans le sens du respect de la spécificité d’une « nation » juive en France. Ces puissances – l’anglaise ou la française- avaient ainsi adopté une attitude qui correspondait aux attentes d’un Theodore Herzl, dans son Judenstaat (l’Etat Juif ou Etat des Juifs). Nous pensons que c’est commettre un contresens que d’avoir instauré un Etat juif indépendant déconnecté de toute couverture « impériale » (ONU novembre 1947) hors du champ d’un empire dont il serait une composante. Tant l’empire ottoman que les empires « occidentaux » -y compris d’ailleurs l’Autriche Hongrie où il était né (à Budapest) correspondaient à une structure qui le séduisait. Autrement dit « son » Etat Juif devait être une communauté cohabitant avec d’autres communautés au sein d’un Etat que l’on peut sans anachronisme qualifier de laïc. Le seul point important était que cet Etat supranational, supra-communautaire, devait s’engager non seulement t à protéger « ses » juifs » mais accepter d’accueillir leurs coreligionnaires du monde entier, à l’avenir tout en obtenant des autres composantes du dit Etat une tolérance pour cette présence juive. C’est une tâche que l’Etat vichyssois n’a pas su assumer et en cela il aura trahi l’engagement de la France (cf. l’abbé Grégoire). Mais cela tient aussi à sa défaite face à l’Allemagne en 1940. En revanche, l’on ne peut que saluer les efforts du gouvernement actuel de la France en vue de s’assurer de la protection de la communauté juive face aux autres communautés placées sous son autorité, à commencer par la communauté arabo-musulmane, ce qui aura conduit à sécuriser l’accès aux lieux de cultes israélites sur tout le territoire français à partir de 2015. On notera que Herzl avait jugé bon d’exclure la solution française car il craignait qu’aucun Etat ne soit en mesure de maitriser les relations et les tensions entre communautés et notamment la question de l’immigration juive en France. Or, le projet herzlien était indissociable d’un processus migratoire.
Mais cette rivalité entre France et Angleterre autour de l’idée de Foyer Juif, doit probablement être replacée dans une perspective singulièrement plus ancienne et qui passe par un certain mimétisme existant entre les deux pays. On peut ainsi penser que l’intérêt des Anglais pour les Juifs pourrait avoir été peu ou prou calqué sur l’engouement de la France –avec l’émancipation des Juifs de France- sous la Révolution.
JHB
05. 03. 16
vendredi 4 mars 2016
Café Tao du samedi 19 mars 2016 PAris XIII
CAFÉ-TAO
Animé par Jean-Luc Berlet et Sylvie Combalat
Samedi 19 Mars 2016
à 16HOO
Faut-il mettre son ego à l’égout ?
Au café culturel Le Ballon rouge
17, rue Abel Gance Paris 13e
(Métro 6 Quai de la gare ou bus 89)
« Un égoïste est incapable d’aimer un ami. Mais il ne peut pas se passer d’amis : ilne s’aimerait jamais assez à lui tout seul. » Eugène Labiche
On oppose souvent à juste titre le culte de l’ego de l’Occident à l’humilité de l’Orient. Si un ego surdimensionné est incontestablement une mauvaise chose, faut-il pour autant vouer notre ego aux gémonies ? Et n’y at-il pas quelque chose de suspect dans l’effacement trop radical de cet ego qui constitue notre identité ?
Entrée libre avec consommation requise
jacques halbronnn Le mythe de la caverne comme clef du rapport à la parole
Jacques Halbronn, LEs femmes et le mythe de la Caverne. L’instrumentalisation du langage.
LEs femmes et le mythe de la Caverne: le signe de deux humanités. Instrulmentalisation du langage.
par Jacques Halbronn
Ci -dessous un résumé (Wikipedia) du mythe de la Caverne:
« Dans une demeure souterraine, en forme de caverne, des hommes sont enchaînés. Ils n’ont jamais vu directement la lumière du jour, dont ils ne connaissent que le faible rayonnement qui parvient à pénétrer jusqu’à eux. Des choses et d’eux-mêmes, ils ne connaissent que les ombres projetées sur les murs de leur caverne par un feu allumé derrière eux. Des sons, ils ne connaissent que les échos. « Pourtant, ils nous ressemblent »
« Que l’un d’entre eux soit libéré de ses chaînes et accompagné de force vers la sortie, il sera d’abord cruellement ébloui par une lumière qu’il n’a pas l’habitude de supporter. Il souffrira de tous les changements. Il résistera et ne parviendra pas à percevoir ce que l’on veut lui montrer. Alors, Ne voudra-t-il pas revenir à sa situation antérieure ? S’il persiste, il s’accoutumera. Il pourra voir le monde dans sa réalité. Prenant conscience de sa condition antérieure, ce n’est qu’en se faisant violence qu’il retournera auprès de ses semblables. Mais ceux-ci, incapables d’imaginer ce qui lui est arrivé, le recevront très mal et refuseront de le croire : « Ne le tueront-ils pas ? » «
Nous relierons ce texte à la thèse actuellement considérée selon laquelle notre humanité serait le résultat du croisement entre deux filiations humaines bien distinctes, que l’on associerait éventuelllement à l’homme de Cro-magnon et à l’homme de Néanderthal, ce dernier ayant été finalement dominé patr le premier au cours de la « Préhistoire ». Il y aurait eu, à un certain stade, symbiose.
Notre interprétation est la suivante: les femmes descendraient de l’homme de Néanderthal et les hommes de l’homme de Cro-magnon (homo sapiens).
Ces considérations ne sont ici qu’assez secondaires et l’on se concentrera sur ce que nous enseigne le mythe platonicien de la Caverne. Il y aurait eu une humanité confinée dans des cavernes, dans un espace clos et une autre, en prise au quotidien avec des horizons sensiblement plus vastes.
Selon nous, ces deux modes de vie expliqueraient les différences psychiques entre hommes et femmes.
Les êtres vivant à l’intérieur des cavernes ne pouvaient développer un visuel très puissant, puisque cela ne leur aurait guère été d’utilité. En revanche, ils dévelioppèrent d’autres sens, plus pratiques compte tenu des circonstances comme le goût, l’odorat, le toucher.
A contrario, les êtrs vivant hors des cavernes auraient singulièrement épanoui leur sens de la vue, avec une approche panoramique du monde, le regard portant au loin à la différence de l’autre humanité plutôt à courte vue.
Or, il nous apparait qu’un tel clivage reste toujours d’actualité, en ce début de XXIe sècle comme si les hommes et les femmes avaient perpétué un mode de fonctionnement ne correspondant plus au mode de vie qui en avait été la cause. La subjectivité intérieure l’emportant sur l »objectivité extérieure.
Nous brosserons ici très briévement le portrait de ces deux humanités condamnées à cohabiter et dont la Bible pourrait nous avoir parlé quand il y est questiion, au début de la Genése, d’un dieu qui associe à l’homme (Adam un être qui s’appelle la femme. Cet épisode doit être ratttaché selon nous à l »Arche de Noé, où il est question de couples d’animaux qui seront sauvés du Déluge annoncé. Adam au départ se suffisant à lui-même se voit octroyé une auxiliaire, qui prendra par la suiite le nom d’Eve.(Genése, chapitres II à VI)
Le rapport des femmes à la parole nous apparait comme uin facteur tout à fait remarquable et qui les distinguent fortement des hommes. Il est clair que dans une grotte, les gens vont plus communiquer par la parole que par des signes et des gestes alors qu’à l’extérieur de la caverne, l’on peut ainsi communiquer de loin en loin alors que la parole ne porte pas très loin.
La parole dans un monde féminin- qui reperend en fait celui de la Caverne- est signe de vie, de présence dès lors que l’on ne s’y voit pas nettement les uns les autres, que l’on ne peut se dévisager. A contrario, lorsque l’on se voit même de loin, à quoi bon parler pour signifier que l’on est là puisque cela peut s’observer sans que l’on ait rien à prouver. Ainsi, dans la caverne, on ne sait que ce que l’on veut bien vous dire et l’on peut touit aussi bien ne rien dire et ne pas révéler sa présence, ce qui est exclus dans le monde hors de la caverne.
Autrement dit, la fonction de la parole, dans le monde féminin, n’accorde finalementr que peu d’importance au message et bien plus au médium. Ce qui compte , c’est que l’on donne signe de vie même si l’on dit n’importe quoi.
A contrario, dans le monde des hommes, la parole n’est pas instrumentalisée pour ne plus servir que de signe de vie et l’on peut penser que les êtres de la caverne auront adopté le langage qui se parlait hors de la caverne comme une façon plus commode de se signaler que par le contact physique ou le flair.
Encore de nos jours, force est de constater qu’hommes et femmes n’entretiennnet pas le même rapport au langage. On notera en particulier qu’il leur importe peu de tenir des propos originaux ou de repéter, de s’approprier ceux d’autrui. L’important, c’est d’être capable de « faire du bruit » car la caverne a besoin de cela, que chacun puisse être identifié par sa voix, le contenu important bien peu. Le rire joue un rôle important comme manifestation bruyante d’une joie en pleine obscurité. D’ailleurs, les salles « obscures » de spectacle tendent à reproduitre l’obscurité voire le cadre même de la caverne et y encouragent une communication appropriée, assez frustre d’ailleurs, ne serait-ce que par le biais des applaudissements qui sont une expression des plus frustres et qui contraste fortement avec la qualité du spectacle, notamment dans le registre musical. APrès que l’on ait joué un beau quatuor, le public se met à taper dans les mains, sans que cela ne choque personne. Or, c’est bien dans ces moments là que le clivage réapparait de la façon la plus criante. La chambre à coucher semble avoir une fonction -caverne comparable d’autant qu’elle est le lieu du contact physique, de la mobilisation de certains sens de proximiité, à la différence du « salon » (cf les Salons du XVIIIe siècle). L’appartement, de par la répartition qui lui donne son nom, télmoigne de cette division fonctionnelle.
La parole reste une source importante de conflits entre les sexes: d’un côté les femmes reprochent aux hommes de se confronter, de débattre (-les joutes verbales), de créer une atmosphière pesante et de l’autre, les hommes reprochent aux femmes l’inanité de leurs propos selon la formule : ce qu’elles disent qui leur revient n’est pas intéressant et ce qui chez elles est intéressant n’est pas de leur cru. Ou encore, les hommes sont souvent excédés par des « bavardages » entre femmes, dans des lieux publics. Or, pour ces femmes, il est important de ne pas faire silence car le silence indique un refus de faire acte de présence alors que pour les hommes, qui ont des yeux pour voir, le bruit les empêche de réfléchir car ils n’apprécient pas que l’on parle pour ne rien dire. On dira qu’ils ne s’entendent plus penser face à des femmes qui s’échinent à meuibler l’espace de la caverne et croient bien faire. Chassez le naturel, il revient au galop!
JHB
04. 03 16
par Jacques Halbronn
Ci -dessous un résumé (Wikipedia) du mythe de la Caverne:
« Dans une demeure souterraine, en forme de caverne, des hommes sont enchaînés. Ils n’ont jamais vu directement la lumière du jour, dont ils ne connaissent que le faible rayonnement qui parvient à pénétrer jusqu’à eux. Des choses et d’eux-mêmes, ils ne connaissent que les ombres projetées sur les murs de leur caverne par un feu allumé derrière eux. Des sons, ils ne connaissent que les échos. « Pourtant, ils nous ressemblent »
« Que l’un d’entre eux soit libéré de ses chaînes et accompagné de force vers la sortie, il sera d’abord cruellement ébloui par une lumière qu’il n’a pas l’habitude de supporter. Il souffrira de tous les changements. Il résistera et ne parviendra pas à percevoir ce que l’on veut lui montrer. Alors, Ne voudra-t-il pas revenir à sa situation antérieure ? S’il persiste, il s’accoutumera. Il pourra voir le monde dans sa réalité. Prenant conscience de sa condition antérieure, ce n’est qu’en se faisant violence qu’il retournera auprès de ses semblables. Mais ceux-ci, incapables d’imaginer ce qui lui est arrivé, le recevront très mal et refuseront de le croire : « Ne le tueront-ils pas ? » «
Nous relierons ce texte à la thèse actuellement considérée selon laquelle notre humanité serait le résultat du croisement entre deux filiations humaines bien distinctes, que l’on associerait éventuelllement à l’homme de Cro-magnon et à l’homme de Néanderthal, ce dernier ayant été finalement dominé patr le premier au cours de la « Préhistoire ». Il y aurait eu, à un certain stade, symbiose.
Notre interprétation est la suivante: les femmes descendraient de l’homme de Néanderthal et les hommes de l’homme de Cro-magnon (homo sapiens).
Ces considérations ne sont ici qu’assez secondaires et l’on se concentrera sur ce que nous enseigne le mythe platonicien de la Caverne. Il y aurait eu une humanité confinée dans des cavernes, dans un espace clos et une autre, en prise au quotidien avec des horizons sensiblement plus vastes.
Selon nous, ces deux modes de vie expliqueraient les différences psychiques entre hommes et femmes.
Les êtres vivant à l’intérieur des cavernes ne pouvaient développer un visuel très puissant, puisque cela ne leur aurait guère été d’utilité. En revanche, ils dévelioppèrent d’autres sens, plus pratiques compte tenu des circonstances comme le goût, l’odorat, le toucher.
A contrario, les êtrs vivant hors des cavernes auraient singulièrement épanoui leur sens de la vue, avec une approche panoramique du monde, le regard portant au loin à la différence de l’autre humanité plutôt à courte vue.
Or, il nous apparait qu’un tel clivage reste toujours d’actualité, en ce début de XXIe sècle comme si les hommes et les femmes avaient perpétué un mode de fonctionnement ne correspondant plus au mode de vie qui en avait été la cause. La subjectivité intérieure l’emportant sur l »objectivité extérieure.
Nous brosserons ici très briévement le portrait de ces deux humanités condamnées à cohabiter et dont la Bible pourrait nous avoir parlé quand il y est questiion, au début de la Genése, d’un dieu qui associe à l’homme (Adam un être qui s’appelle la femme. Cet épisode doit être ratttaché selon nous à l »Arche de Noé, où il est question de couples d’animaux qui seront sauvés du Déluge annoncé. Adam au départ se suffisant à lui-même se voit octroyé une auxiliaire, qui prendra par la suiite le nom d’Eve.(Genése, chapitres II à VI)
Le rapport des femmes à la parole nous apparait comme uin facteur tout à fait remarquable et qui les distinguent fortement des hommes. Il est clair que dans une grotte, les gens vont plus communiquer par la parole que par des signes et des gestes alors qu’à l’extérieur de la caverne, l’on peut ainsi communiquer de loin en loin alors que la parole ne porte pas très loin.
La parole dans un monde féminin- qui reperend en fait celui de la Caverne- est signe de vie, de présence dès lors que l’on ne s’y voit pas nettement les uns les autres, que l’on ne peut se dévisager. A contrario, lorsque l’on se voit même de loin, à quoi bon parler pour signifier que l’on est là puisque cela peut s’observer sans que l’on ait rien à prouver. Ainsi, dans la caverne, on ne sait que ce que l’on veut bien vous dire et l’on peut touit aussi bien ne rien dire et ne pas révéler sa présence, ce qui est exclus dans le monde hors de la caverne.
Autrement dit, la fonction de la parole, dans le monde féminin, n’accorde finalementr que peu d’importance au message et bien plus au médium. Ce qui compte , c’est que l’on donne signe de vie même si l’on dit n’importe quoi.
A contrario, dans le monde des hommes, la parole n’est pas instrumentalisée pour ne plus servir que de signe de vie et l’on peut penser que les êtres de la caverne auront adopté le langage qui se parlait hors de la caverne comme une façon plus commode de se signaler que par le contact physique ou le flair.
Encore de nos jours, force est de constater qu’hommes et femmes n’entretiennnet pas le même rapport au langage. On notera en particulier qu’il leur importe peu de tenir des propos originaux ou de repéter, de s’approprier ceux d’autrui. L’important, c’est d’être capable de « faire du bruit » car la caverne a besoin de cela, que chacun puisse être identifié par sa voix, le contenu important bien peu. Le rire joue un rôle important comme manifestation bruyante d’une joie en pleine obscurité. D’ailleurs, les salles « obscures » de spectacle tendent à reproduitre l’obscurité voire le cadre même de la caverne et y encouragent une communication appropriée, assez frustre d’ailleurs, ne serait-ce que par le biais des applaudissements qui sont une expression des plus frustres et qui contraste fortement avec la qualité du spectacle, notamment dans le registre musical. APrès que l’on ait joué un beau quatuor, le public se met à taper dans les mains, sans que cela ne choque personne. Or, c’est bien dans ces moments là que le clivage réapparait de la façon la plus criante. La chambre à coucher semble avoir une fonction -caverne comparable d’autant qu’elle est le lieu du contact physique, de la mobilisation de certains sens de proximiité, à la différence du « salon » (cf les Salons du XVIIIe siècle). L’appartement, de par la répartition qui lui donne son nom, télmoigne de cette division fonctionnelle.
La parole reste une source importante de conflits entre les sexes: d’un côté les femmes reprochent aux hommes de se confronter, de débattre (-les joutes verbales), de créer une atmosphière pesante et de l’autre, les hommes reprochent aux femmes l’inanité de leurs propos selon la formule : ce qu’elles disent qui leur revient n’est pas intéressant et ce qui chez elles est intéressant n’est pas de leur cru. Ou encore, les hommes sont souvent excédés par des « bavardages » entre femmes, dans des lieux publics. Or, pour ces femmes, il est important de ne pas faire silence car le silence indique un refus de faire acte de présence alors que pour les hommes, qui ont des yeux pour voir, le bruit les empêche de réfléchir car ils n’apprécient pas que l’on parle pour ne rien dire. On dira qu’ils ne s’entendent plus penser face à des femmes qui s’échinent à meuibler l’espace de la caverne et croient bien faire. Chassez le naturel, il revient au galop!
JHB
04. 03 16
Jacques Halbronn Pour une sociologie de la mixité
mars 2016 ~ 0 Commentaire ~ Modifier
Jacques Halbronn Sociologie de la mixité (sexe, âge, culture)
Sociologie de la mixité (sexe, âge, culture)
Par Jacques Halbronn
On ne saurait confondre mixité et parité. La mixité exige que l’on fase coexister des valeurs différentes alors que la parité consiste à ignorer toutes différences du fait de la provenance des personnes.
Faire coexister des valeurs différentes implique évidemment de les identifier en tant que telles. Le sexe est probablement celui qui aura le plus souffert d’un certain obscurantisme, au sens premier de tenir et de maintenir dans l’obscurité, plus ou moins délibérément.
Le plus souvent, les sociétés ne pronent ni la parité, ni la mixité mais une sorte d’universalité qui voudrait que par définition, par pincipe, l’on soit supposé partager les mêmes valeurs et d’ailleurs ne dit-on pas aime ton prochain comme toi-même?
Mais précisément, la mixité ne consiste aucunement de supposer que l’autre a les mêmes valeurs que nous ou plutôt du groupe auquel nous appartenons de facto. Le probléme, c’est quand on appartient à un groupe sans l’avoir voulu, désiré. Est-ce que l’on a choisi, par exemple, d’être une femme, est-ce que l’on s’en est fait une idée par avance qui nous aura amené à adopter le statut de femme ou d’homm comme l’on choisit un métier, une religion, une destination ou lorsque l’on se fait à l’idée de prendre de l’âge en pensant à ses parents.
En pratique, force est de constater que l’on a affaire à des groupes qui ne fonctionnent pas dans le respect de la miixité des valeutrs quand bien même comporteraient-ils des membres des deux sexes, ce qui n’est pas vraiment une condition, une garantie suffisantes.
Il s »agira donc de groupes qui pourront être identifiés par le sociologue comme ayant une dominante masculin ou féminine, au regard des valeurs qui en constituent comme une sorte de Surmoi.
Au départ, certes, nombre de groupes ne se présentaient aucunement comme marqués par le masculin ou le féminin mais avec le temps, une certaine tendance aura fini par s’imposer et dès lors enfermer le dit groupe dans un certain carcan, ce qui aura pour résultat d’exclure de facto sinon de jure les personnes étrangères aux valeurs qui auront ainsi fini par prédominer. Nous avons déjà décri, dans d’auitres textes et diverses vidéos, ce que pouvaient donner certaines dérives, le décalage entre l’objet du groupe et ce qu’il était devenu insensblement étant flagrant. C’est ainsi que tel orateur venu parler devant une assemblée se déclara surpris de n’y trouver que des femmes alors que ce n’était nullement la raison d’être offiicielle de la dite assemblée. Chassez le naturel il revient au galop. Tout se passe comme si les grandes déclarations sur la parité conduisaient par des chemins détournés à narguer celles-ci, à leur faire un pied de nez.
Il n’est pas non plus ici question de déveliopper nos théses sur les différences de mentalités, voire de sensorialités entre groupes d’hommes et groupes de femmes – autour notamment du mythe de la Caverne- mais bien des éléments montrent qu’il y a incompatibilité entre les « sensibilités » – pour parler comme les Anglais ‘(hurt my feelings) des groupes de femmes et des groupes d’hommes, ce qui conduit à penser que les interrelations devront être de relative bréve durée.
C’est ainsi que nous pensons que ce que l’on nomme le champ de la laïcité- et cela englobe aussi la question des hommes et des femmes - concerne un espace -temps rédui, c’est à dire à une intesection entre deux ensembles. Le couple est évidemment à la charnière de tels ensembles. Il offrre l’avantage de ne pas en principe avoir à supporter le poids du collectif de chaque partenaire, sauf lors de réceptiions, de repas où régne une certaine promiiscuité. pas toujours bien controlée et régulée.
Noius suggérons de créer des structures de formaton à la sociologie de la mixité, c’est à dire du vivre ensemble mais pas de façon empirique mais scientifique et en connaissance de cause. On aura compris que faire respecter une mixité des valeurs est tout un art surtoiut lorsque tel groupe comporte une majorité d’hommes ou de femmes, Nous pensons qu’un groupe quii entend préserver son développement futur, se doit de respecter les droits de sa minorité vu que cette minorité pourrait rendre possible à terme un certain rééquilibrage. S’en tenir au rapport de force immédiat, c’est hypothéquer l’avenir du groupe.
Par Jacques Halbronn
On ne saurait confondre mixité et parité. La mixité exige que l’on fase coexister des valeurs différentes alors que la parité consiste à ignorer toutes différences du fait de la provenance des personnes.
Faire coexister des valeurs différentes implique évidemment de les identifier en tant que telles. Le sexe est probablement celui qui aura le plus souffert d’un certain obscurantisme, au sens premier de tenir et de maintenir dans l’obscurité, plus ou moins délibérément.
Le plus souvent, les sociétés ne pronent ni la parité, ni la mixité mais une sorte d’universalité qui voudrait que par définition, par pincipe, l’on soit supposé partager les mêmes valeurs et d’ailleurs ne dit-on pas aime ton prochain comme toi-même?
Mais précisément, la mixité ne consiste aucunement de supposer que l’autre a les mêmes valeurs que nous ou plutôt du groupe auquel nous appartenons de facto. Le probléme, c’est quand on appartient à un groupe sans l’avoir voulu, désiré. Est-ce que l’on a choisi, par exemple, d’être une femme, est-ce que l’on s’en est fait une idée par avance qui nous aura amené à adopter le statut de femme ou d’homm comme l’on choisit un métier, une religion, une destination ou lorsque l’on se fait à l’idée de prendre de l’âge en pensant à ses parents.
En pratique, force est de constater que l’on a affaire à des groupes qui ne fonctionnent pas dans le respect de la miixité des valeutrs quand bien même comporteraient-ils des membres des deux sexes, ce qui n’est pas vraiment une condition, une garantie suffisantes.
Il s »agira donc de groupes qui pourront être identifiés par le sociologue comme ayant une dominante masculin ou féminine, au regard des valeurs qui en constituent comme une sorte de Surmoi.
Au départ, certes, nombre de groupes ne se présentaient aucunement comme marqués par le masculin ou le féminin mais avec le temps, une certaine tendance aura fini par s’imposer et dès lors enfermer le dit groupe dans un certain carcan, ce qui aura pour résultat d’exclure de facto sinon de jure les personnes étrangères aux valeurs qui auront ainsi fini par prédominer. Nous avons déjà décri, dans d’auitres textes et diverses vidéos, ce que pouvaient donner certaines dérives, le décalage entre l’objet du groupe et ce qu’il était devenu insensblement étant flagrant. C’est ainsi que tel orateur venu parler devant une assemblée se déclara surpris de n’y trouver que des femmes alors que ce n’était nullement la raison d’être offiicielle de la dite assemblée. Chassez le naturel il revient au galop. Tout se passe comme si les grandes déclarations sur la parité conduisaient par des chemins détournés à narguer celles-ci, à leur faire un pied de nez.
Il n’est pas non plus ici question de déveliopper nos théses sur les différences de mentalités, voire de sensorialités entre groupes d’hommes et groupes de femmes – autour notamment du mythe de la Caverne- mais bien des éléments montrent qu’il y a incompatibilité entre les « sensibilités » – pour parler comme les Anglais ‘(hurt my feelings) des groupes de femmes et des groupes d’hommes, ce qui conduit à penser que les interrelations devront être de relative bréve durée.
C’est ainsi que nous pensons que ce que l’on nomme le champ de la laïcité- et cela englobe aussi la question des hommes et des femmes - concerne un espace -temps rédui, c’est à dire à une intesection entre deux ensembles. Le couple est évidemment à la charnière de tels ensembles. Il offrre l’avantage de ne pas en principe avoir à supporter le poids du collectif de chaque partenaire, sauf lors de réceptiions, de repas où régne une certaine promiiscuité. pas toujours bien controlée et régulée.
Noius suggérons de créer des structures de formaton à la sociologie de la mixité, c’est à dire du vivre ensemble mais pas de façon empirique mais scientifique et en connaissance de cause. On aura compris que faire respecter une mixité des valeurs est tout un art surtoiut lorsque tel groupe comporte une majorité d’hommes ou de femmes, Nous pensons qu’un groupe quii entend préserver son développement futur, se doit de respecter les droits de sa minorité vu que cette minorité pourrait rendre possible à terme un certain rééquilibrage. S’en tenir au rapport de force immédiat, c’est hypothéquer l’avenir du groupe.
jeudi 3 mars 2016
mercredi 2 mars 2016
mardi 1 mars 2016
Jacques Halbronn Des hérésies astrologiques et judaïques
6 ~ 0 Commentaire ~ Modifier
Des hérésies astrologiques et judaïques
par Jacques Halbronn
Qu’est-ce qu’une hérésie? C’est ce qui s’éloigne de la pensée originelle d’une doctrine, d’un systéme pour lui en substituer une autre, ce qui constitue une dévoyance, un savoir qui se dévoie, qui se fourvoie. Parfois, ce sont ceux qui entendent dénoncer une hérésie qui se voient qualifier d’hérétiques.
On abordera deux cas: l’astrologie dans son rapport à l’astronomie et le judaïsme dans son rapport au christianisme.
I L’astrologie dévoyée.
Nous avons montré que l’astrologie du thème astral est une hérésie dès lors qu’elle opte pour une approche globale du ciel, prenant en compte toutes les données astronomiques brutes. LEs travaux de Gauquelin ne valident aucunement une telle tendance en ce qu’ils n’appréhendent qu’un seul facteur planétaire et ne le relient point à d’autres, notamment par le biais des aspects.
A contrario, les aspects jouent un rôle majeur en astrologie mondiale puisqu’ils sont à la base de toute forme de cyclicité. Il est donc regrettable qu’une technique valable en astrologie mondiale ait été récupérée par l’astrologie individuelle.
Il est faux de croire que l’astrologie doive se servir de tous les facteurs du systéme solaire et Jean-Pierre Nicola a jugé bon, bien à tort, de théoriser un tel postulat avec son « RET’ qui englobe trois transsaturniennes.
NOus avons montré que l’importance du 7 n’était pas numérologique car c’est un nombre premier (cf infra) mais bien cosmique, à savoir que le quart du cycle de la Lune et de celui de Saturne donne 7.
Pour nous la vraie astrologie mondiale ne recourt qu’à Saturne dans son rapport avec 4 étoiles fixes royales qui en divisent le cycle en 4 fois 7 ans.
Autrement dit, l’astrologie qui se sert des aspects en astrologie individuelle entre tous les astres du système solaire est une monstruosité, un syncrétisme.
On peut soupçonner les astronomes d’avoir entrainé l’astrologie sur ce terrain en croyant bien faire.
Ce n’est pas parce que cette hérésie est déjà attestée par Claude Ptolémée dans sa Tétrabible (IIe siècle de notre ère) qu’elle a une quelconque légitimité à se substituer à un état plus ancien de l’astrologie et ce n’est pas parce que cet état plus ancien réapparait de nos jours qu’il ne serait qu’une invention moderne!
II Le judaïsme dévoyé
On sait que le christianisme a largement emprunté au judaïsme. Encore faudrait-il en tirer toutes les conséquences, à savoir qu’il pourrait avoir conservé certains éléments qui auraient disparu du judaisme plus tardif. On rappellera que l’on trouve dans l’histoire des textes et des langues maints exemples de données recueillies par les emprunteurs, les traducteurs et dont l’original serait perdu.
C’est dans cet esprit de respect qu’il importe d’analyser la doctrine chrétienne non pas comme un corpus étranger mais comme une source du judaisme, en quelque sorte, si l’on admet que cette doctrine serait susceptible de nous aider à restituer un judaisme authentique. Mais par ailleurs, le christianisme du fait qu’il se référe à l’Ancien Testament en véhicule certaines errances. C’est donc à une révision du christianisme que l’on invitera, par ailleurs.
On désignera ainsi tout ce qui concerne le solstice d’hiver et l’importance accordée à minuit. Force est de constater que pour les Juifs l’heure de minuit est fortement connotée comme chrétienne et qu’aucun événement religieux n’est censé se relier à Minuit ni d’ailleurs au solstice d’hiver, par analogie.
En fait, l’axe midi-minuit est de la plus grande importance et semble avoir été délaissé par le judaisme au profit de l’axe équinoxial. Quant au méridien, il est remplacé par l’horizon (lever et coucher du soleil) comme le montre le fait que l »on célébre l’entrée du Shabbat à l’entrée de la nuit, ce qui correspond d’ailleurs au moment de l’apparition des étoiles. Le judaisme serait ainsi stellaire et non solaire puisqu’il en arrive à négliger la culmination et l’anti-culmination – midi/minuit (Zénith/Nadir)- du Soleil. Ou si l’on préfére, il remplace l’unité solaire par la multitude stellaire, ce qui semble bien éloigné de l’esprit du monothéisme!
Cet axe prend également tout son sens avec le cycle de 7 ans qui a gardé quelque importance dans le judaisme puisque le Shabbat boucle une semaine de 7 jours. Mais selon nous, il est tout à fait aberrant de décomposer le 7 en 6 + 1 alors que toute division doit se faire en parties égales, comme le veut précisément l’équinoxe (égalité des jours et des nuits). Comment donc expliquer un récit de la Création sur le modéle assymétrique 6 + 1 calqué sur la structure de la semaine?
Or, si l’on divise 7 jours en deux parties égales, on obtient 3 jours et demi. La semaine commence le dimanche matin à 0h (c’est alors que le jour amorce un nouveau cycle)/ Au bout de trois jours et demi, on arrive à mercredi midi. Et si l’on ajoute encore 3 jours et demi, on retrouve samedi à minuit (c’est à dire dimanche à 0h)
Abordons enfin la question même de « Jésus Christ », c’est à dire d’un homme-dieu ou d’un dieu-homme. Est-ce une idée si étrangère au judaïsme originel? Ou si l’on préfére que penser d’une doctrine qui sépare cette entité homme-dieu en deux entités distinctes? Nous y voyons là une volonté d’amoindrir l’image de l’homme, du chef, du « mâle dominant » bref un processus de castration, de désacralisation qui est tout à fait manifeste dans un judaisme « moderne » et « libéral » de nos jours .
Conclusion
Nous avons montré que l’enjeu n’était pas simplement doctrinal mais bien scientifique car pour nous tant l’astrologie que la religion juive sont censées véhiculer des clefs précieuses pour appréhender l’organisation de nos sociétés. Dès lors que l’on nous propose de fausses clefs, c’est comme se doter d’une boussole qui n’indique plus le Nord.
JHB
01 03 16
Jacques Halbronn Des hérésies astrologiques et judaïques.
Des hérésies astrologiques et judaïques
par Jacques Halbronn
Qu’est-ce qu’une hérésie? C’est ce qui s’éloigne de la pensée originelle d’une doctrine, d’un systéme pour lui en substituer une autre, ce qui constitue une dévoyance, un savoir qui se dévoie, qui se fourvoie. Parfois, ce sont ceux qui entendent dénoncer une hérésie qui se voient qualifier d’hérétiques.
On abordera deux cas: l’astrologie dans son rapport à l’astronomie et le judaïsme dans son rapport au christianisme.
I L’astrologie dévoyée.
Nous avons montré que l’astrologie du thème astral est une hérésie dès lors qu’elle opte pour une approche globale du ciel, prenant en compte toutes les données astronomiques brutes. LEs travaux de Gauquelin ne valident aucunement une telle tendance en ce qu’ils n’appréhendent qu’un seul facteur planétaire et ne le relient point à d’autres, notamment par le biais des aspects.
A contrario, les aspects jouent un rôle majeur en astrologie mondiale puisqu’ils sont à la base de toute forme de cyclicité. Il est donc regrettable qu’une technique valable en astrologie mondiale ait été récupérée par l’astrologie individuelle.
Il est faux de croire que l’astrologie doive se servir de tous les facteurs du systéme solaire et Jean-Pierre Nicola a jugé bon, bien à tort, de théoriser un tel postulat avec son « RET’ qui englobe trois transsaturniennes.
NOus avons montré que l’importance du 7 n’était pas numérologique car c’est un nombre premier (cf infra) mais bien cosmique, à savoir que le quart du cycle de la Lune et de celui de Saturne donne 7.
Pour nous la vraie astrologie mondiale ne recourt qu’à Saturne dans son rapport avec 4 étoiles fixes royales qui en divisent le cycle en 4 fois 7 ans.
Autrement dit, l’astrologie qui se sert des aspects en astrologie individuelle entre tous les astres du système solaire est une monstruosité, un syncrétisme.
On peut soupçonner les astronomes d’avoir entrainé l’astrologie sur ce terrain en croyant bien faire.
Ce n’est pas parce que cette hérésie est déjà attestée par Claude Ptolémée dans sa Tétrabible (IIe siècle de notre ère) qu’elle a une quelconque légitimité à se substituer à un état plus ancien de l’astrologie et ce n’est pas parce que cet état plus ancien réapparait de nos jours qu’il ne serait qu’une invention moderne!
II Le judaïsme dévoyé
On sait que le christianisme a largement emprunté au judaïsme. Encore faudrait-il en tirer toutes les conséquences, à savoir qu’il pourrait avoir conservé certains éléments qui auraient disparu du judaisme plus tardif. On rappellera que l’on trouve dans l’histoire des textes et des langues maints exemples de données recueillies par les emprunteurs, les traducteurs et dont l’original serait perdu.
C’est dans cet esprit de respect qu’il importe d’analyser la doctrine chrétienne non pas comme un corpus étranger mais comme une source du judaisme, en quelque sorte, si l’on admet que cette doctrine serait susceptible de nous aider à restituer un judaisme authentique. Mais par ailleurs, le christianisme du fait qu’il se référe à l’Ancien Testament en véhicule certaines errances. C’est donc à une révision du christianisme que l’on invitera, par ailleurs.
On désignera ainsi tout ce qui concerne le solstice d’hiver et l’importance accordée à minuit. Force est de constater que pour les Juifs l’heure de minuit est fortement connotée comme chrétienne et qu’aucun événement religieux n’est censé se relier à Minuit ni d’ailleurs au solstice d’hiver, par analogie.
En fait, l’axe midi-minuit est de la plus grande importance et semble avoir été délaissé par le judaisme au profit de l’axe équinoxial. Quant au méridien, il est remplacé par l’horizon (lever et coucher du soleil) comme le montre le fait que l »on célébre l’entrée du Shabbat à l’entrée de la nuit, ce qui correspond d’ailleurs au moment de l’apparition des étoiles. Le judaisme serait ainsi stellaire et non solaire puisqu’il en arrive à négliger la culmination et l’anti-culmination – midi/minuit (Zénith/Nadir)- du Soleil. Ou si l’on préfére, il remplace l’unité solaire par la multitude stellaire, ce qui semble bien éloigné de l’esprit du monothéisme!
Cet axe prend également tout son sens avec le cycle de 7 ans qui a gardé quelque importance dans le judaisme puisque le Shabbat boucle une semaine de 7 jours. Mais selon nous, il est tout à fait aberrant de décomposer le 7 en 6 + 1 alors que toute division doit se faire en parties égales, comme le veut précisément l’équinoxe (égalité des jours et des nuits). Comment donc expliquer un récit de la Création sur le modéle assymétrique 6 + 1 calqué sur la structure de la semaine?
Or, si l’on divise 7 jours en deux parties égales, on obtient 3 jours et demi. La semaine commence le dimanche matin à 0h (c’est alors que le jour amorce un nouveau cycle)/ Au bout de trois jours et demi, on arrive à mercredi midi. Et si l’on ajoute encore 3 jours et demi, on retrouve samedi à minuit (c’est à dire dimanche à 0h)
Abordons enfin la question même de « Jésus Christ », c’est à dire d’un homme-dieu ou d’un dieu-homme. Est-ce une idée si étrangère au judaïsme originel? Ou si l’on préfére que penser d’une doctrine qui sépare cette entité homme-dieu en deux entités distinctes? Nous y voyons là une volonté d’amoindrir l’image de l’homme, du chef, du « mâle dominant » bref un processus de castration, de désacralisation qui est tout à fait manifeste dans un judaisme « moderne » et « libéral » de nos jours .
Conclusion
Nous avons montré que l’enjeu n’était pas simplement doctrinal mais bien scientifique car pour nous tant l’astrologie que la religion juive sont censées véhiculer des clefs précieuses pour appréhender l’organisation de nos sociétés. Dès lors que l’on nous propose de fausses clefs, c’est comme se doter d’une boussole qui n’indique plus le Nord.
JHB
01 03 16
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